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 Orphée [Terminé]

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MessageSujet: Orphée [Terminé]   Orphée [Terminé] EmptyJeu 16 Mai - 12:55



Présentation de


Orphée
VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE





Nom : de France
Prénom : Louis-Charles
Surnom : Orphée
Date et lieu de naissance : 27 mars 1785, Versailles.
Date et lieu d'étreinte : 8 juin 1795, Paris.
Age + Statut d'âge : 218 ans, Ancilla.
Génération IX.
Faction Camarilla.
Clan Tremere.
Poste Primogène.
Disciplines Thaumaturgie ; Voie du sang : Niv II ; Télékinésie : Niv V ; Augure : Niv IV.




    Feat. Liam Aiken


Les apparences sont trompeuses
A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?



Que cherche à montrer le sage ? Il ne s’agit point d’exposer la toute puissance d’un clan, pas de cape ni de tatouage ésotérique. C’est juste un enfant, mal habillé en plus. Regardez donc cette tête mélancolique, cette façon dérangeante de mal ajuster le col de sa chemise.

C’est une plaie que de s’adonner au rituel de l’élégance, s’il faut oublier de s’adapter sur certains domaines, alors ce sera au sujet de la mode, de l’apparence. Tel est donc la devise de sire Orphée. Et force de constater qu’il respecte à la règle ce crédo. Notez tout d’abord ses cheveux en batailles, même mal coiffés, on y distingue une forme d’harmonie, surement dut à l’apparence chétive du Sorcier. Alchimiste passionné, il n’est point rare de trouver quelques taches sur ses vêtements, des vestiges et affres de ses nombreuses nuits de travail. Malgré cela, on ne peut affirmer que son choix vestimentaire est dénué de style, vieillot certainement. D’ailleurs à ce propos, Orphée à toujours arboré sa veste en tweed avec fierté. Il est reconnu d’ailleurs pour collectionner les accessoires totalement dépassé, une montre à gousset, son manteau à capeline et bien sur ses fameuses binocles, une habitude toujours intact.

Au demeurant Orphée est petit de taille. Ne surtout pas croire que le sorcier souffre de cet état, en effet même si sa taille n’est guère imposante face aux autres membres du Conseil, ce genre de concept n’a aucune emprise lorsqu’on est vieux caïnite. Ce qui dérange c’est sa nature d’enfant, considéré par certain comme une malédiction, une erreur que tout caïnite ne saurait commettre. Il a vent des histoires absurdes, des croyances infondées, qu’il méprise ce genre de bêtise. Son corps est certes chétif, son intelligence demeure entière.

L’apparence d’Orphée est nuancée par la posture impeccable de ce sorcier. Par de petit détail dans le geste et la parole on reconnait sa filiation d’exception. Car malgré la négligence vestimentaire, il est très à cheval sur les codes de bienséance, son phrasé et sa posture sont toujours appréciés de ses contemporains.

Concernant le faciès, ne lui dite pas qu’il est mignon, sans doute est-il au courant de cette donnée, en fait il n’apprécie guère ce genre de raccourci. Il a juste subi un arrêt brutal de la croissance, irrémédiable surtout. Ses yeux émeraudes captivent, dès lors dans le silence on les remarque, observant tout avec un grand sens méticuleux.

Les plus clairvoyants remarqueront un scintillement au niveau de la montre à gousset. Un fragment de Gae Bolg y-est alors incrusté, vestige de l’arme du légendaire Cu Chulain, un trésor pour Orphée. Sans aucune forme d’assurance, le vampire ne porte aucune arme traditionnelle qui pourrait pallier son manque évident de force physique. Il a mieux que cela, des billes de mercure, avec un talent alchimique on arrive à fabriquer ce genre de merveille. Et avec un peu de magie il est facile de faire exploser ces petites babioles. Même pour un vampire, le sang contaminé par du mercure, on y échappe pas.

Ce qui est le plus frappant outre ces prédispositions envers le mercure, c’est son incroyable facilité à faire croire qu’il s’agit réellement d’un enfant. L’aura de mélancolie, sa prévenance naturelle, sa négligence vestimentaire, mais il ne faut pas s’y tromper car quand on a faim, on montre les crocs et le vampire en est bien doté. Deux jeunes crocs tout aussi tranchants et létaux, et une peau pâle… digne du plus raffiné des cadavres d’enfant de roi.


A la découverte de votre esprit
QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?



Il s’agit d’une découverte à chaque instant, car la connaissance c’est le pouvoir. Les décennies pleuvent mais la quête demeure intacte, éliminer les mystères peuplant ce monde. Ceci est la voie de l’enfant sorcier, vieux de deux siècles, un roi fantôme.

Vous voudriez sonder un esprit doué d’érudition ? Chaque Tremere dispose d’une mécanique, d’un comportement particulièrement réceptif aux règles, à l’acceptation d’être l’œil et la voix d’anciens sorciers, terrifiant et omniscient. Mais un sorcier âgé sait comment s’affranchir de la monotonie d’être une coquille de norme, enfin certains, car pour quelques sujets, la loyauté aveugle n’est qu’une drogue, une musique apaisante qui ne peut que s’arrêter au prix d’une folie.

Si la clairvoyance est de votre coté, vous avez sans doute deviné qu’Orphée à cessé de se reposer sur cette musique douce, une berceuse pour esprit faible. Il demeure par le sang lié, et même s’il chérit sa liberté, il craint une nuit devoir à comparaitre au Conseil des Anciens. C’est à cause de cette peur indicible qu’il continue à servir le clan comme il se doit de l’être. Non en cause d’une dévotion fanatique, mais aussi par un sincère amour de ce clan, de cette famille.

Il y-a longtemps que le mage à renié son passé d’or et de tragédie. C’est un dévoreur de temps, qui ne cesse de combattre chaque minute, chaque nuit. L’immortalité est un fardeau qui en sommeil peut s’avérer fatale. Il est lecteur pour oublier le temps, il apprend encore et encore pour ne pas être hors du monde. L’enfant Primogène est un don, un génie doté d’une mémoire dont la soif est perpétuelle. Hyper-mnésique son esprit est sensible au moindre détail, mais cela lui joue parfois des tours, car creuser l’insignifiant peut alourdir inutilement la tache et en cela le Sorcier ne sait guère user d’organisation. C’est un être passionné par la recherche, la découverte, ne faisant aucune économie de son énergie à ses désirs d’enquête. L’illustration la plus révélatrice serait sans nul doute l’amour qu’il voue à l’archéologie et l’alchimie.

Seul, souvent seul, Orphée apprécie pourtant la vie en société. C’est un autre apprentissage, hautement différent mais connaître autrui peut s’avérer salvateur en de nombreux point. La connaissance ne saurait être le monopole de l’écrit pour le jeune sorcier. Autrui, voila néanmoins une notion bien dangereuse, à saisir avec délicatesse. Petite clarification, la manipulation est à proscrire pour cet être car pourquoi user de tels artifices ? Aucun de ses intérêts ne passe avant le souci de vérité. Trop souvent à la périphérie de l’arène politique Orphée à développé un cynisme et en quelque sorte un rejet de toutes formes de politisation du discours. Mais au prix de la Mascarade on peut bien concéder la bêtise des roses et des rois. Parfois observer leurs manigances reviendraient presque à un plaisir sadique pour l’enfant sorcier. Ne lui parlez point de pouvoir réel, celui-ci est bien navrant, même si ce dernier est à de rares occasions usé à bon escient. S’il est Primogène, c’est seulement par un souci de protection des intérêts du clan et de ses pairs. Jugé bavard et passionné le discours du sorcier étonne parfois par son contenu, ses allusions, sa complexité. C’est un calculateur qui s’ignore, mais qui demeure attentionné à ne jamais franchir les lignes interdites. Il est joueur et puérile parfois, comment ne point résister au divertissement ? C’est une manière comme une autre d’oublier, de passer le temps…

En question de moralité, Orphée n’apprécie pas la sauvagerie imposée par sa race. Il est tourmenté par l’idée d’être soumis à ce monstre. Imposer un contrôle sur soi, c’est ériger des barrières, ses défenses sont jugées alors sures, mais non infranchissables.
Tout doit être sujet à tempérance et les émotions doivent être minimisées au possible. Orphée est conscient des mystères qui l’entourent, des politiques, des manigances qui s’échafaudent. Surtout ne le sous-estimé point parce qu’il fut agréable, il est une force vive, capable de s’adapter à son environnement, de grandement s’adapter. Un esprit d’analyse hors norme qui aime calculer et prévoir et des yeux qui voient bien plus de ce que l’ordinaire n’autorise.

Sensible, c’est bien sa faiblesse inavouée, mais c’est un trait si facilement détectable. Un défaut qui à voulu être corrigé par le clan même, mais sans succès. La modération des émotions, c’est bien la seule leçon qu’Orphée ait retenu de ses pairs. Formidable capacité que de s’émouvoir, c’est le moteur de toute évolution d’esprit, de toute prise de conscience.
Malheureusement de cette longue vie, la mélancolie est bien le sentiment survivant. Trop persistent, un peu comme un fardeau dont il serait impossible de s’affranchir. Cette maladie dut aux cicatrices d’un lourd passé ne doit pas influer davantage… Et c’est pourquoi, malgré ce poids sur le cœur le sorcier peut rire, être reconnaissant, savoir oublier, parfois…

Le temps est la plaie d’une éternité. Vivre ce temps, c’est le dévorer pour survivre et ne pas couler dans un océan d’ignorance.


My life before and after...
MA VIE  DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...




Que penser d’une histoire à la fin mortelle si noire ? Pourtant une enfance couronnée car duc de Normandie à peine né. Un enfant qui aurait pu-être  n’importe quel autre, mais marqué par le sang bleu qui coulait en ses veines. Un sang maudit, car la ruine du royaume guette et les beaux jours du Trianon vont bientôt s’enflammer. Louis-Charles de France de la dynastie des bourbons a connue l’amour d’un père, d’une mère et la jeunesse dorée dut à son rang, fils légitime de Louis XVI. On dit qu’il est curieux, inventif et démontre de formidables prédispositions pour les études. Toutefois quelque peu réservé, son regard se perd devant les cortèges de ministres appelant son père aux réformes. Jouant aux pieds des princes de sang, des cardinaux, l’enfant perçoit alors la laideur de la politique. Tous vautours, tous accablant le pauvre père, tous voulant sa tête.

Il est normal de faire des erreurs, mais ce n’est pas tolérable lorsque la nation plonge. Le surintendant des finances Turgot souhaite libéraliser l’économie et rendre l’impôt général, obligatoire. La noblesse refuse, les parlementaires ignorent les injonctions royales, la fronde renait. Je les entends alors, la princesse de Lamballe et son air suffisant, « Mais la noblesse ne paye donc point déjà l’impôt du sang. ». Je les écoute disserter, je les vois faire fléchir mon père et je joue à ce jeu, quel était ce jeu… Le bilboquet ? Monsieur Turgot est renvoyé, remplacé par un cardinal très enclin à protéger les intérêts de l’Eglise. L’étau populaire se resserre et une nuit je vois des torches danser devant les grilles. J’ai quatre ans lorsque mon frère ainé meurt de la tuberculose, je fus incapable d’éprouver la moindre tristesse, sans doute trop jeune. Cependant me voila, successeur légitime au trône de France. Les jours sombres s’approchent, terriblement… Mère est dépensière, les fêtes et le Trianon, mon palais préféré. La ou mère et moi étions si proche.

Les Etats généraux forment assemblée nationale souveraine et indépendante, la Bastille tombe et la foule pénètre en Versailles éliminant la totalité de la garde Suisse. Commence alors la captivité, la peur m’étreint mais mère est toujours à mes cotés, il y-a encore ma jeune sœur et père. Son sourire ne trompe personne, je sais que le début de la fin, commence.
Nous sommes sous surveillance désormais, les révolutionnaires craignent la guerre avec l’empire d’Autriche et ils ont raison. Dans la fierté du sang père commet des erreurs et s’oppose aux politiques révolutionnaires, puis dans le désespoir mère conseille la désertion. Que peut un enfant face à la colère d’une nation, que pense t-on lorsque chaque nuit avant de s’endormir on revoit la même valse de torche danser et ces cries, ces protestations. Je repense encore aux sols ensanglantés, trois soldats mort, et un valet. Fuir… Fuir Paris et la colère, fuir ces vautours… Mais Varennes fut notre dernier arrêt avant d’être reconnu et ramené au point de départ.

La guerre est déclarée, l’Autriche refuse de voir ma mère aux mains des révolutionnaires.  Encore une fois le sang est coulé et la terreur s’abat sur le royaume. Traitres, nous sommes désormais logés à la prison du Temple. Maître de France la Convention engendre un fléau, le comité de Salut public. Simulacre de procès pour éliminer tous les traitres et ennemis de la Révolution, Robespierre gouverne par la peur.

J’ai froid, je peine à comprendre, je vis mes dernières années et je vois mon père être enlevé, pour son procès. Le balais de torche me poursuit en rêve, j’entends encore et encore ces cries, je vois le sang, je suis seul, dans l’ombre. Père est jugé coupable, ils assassinent la noblesse, voila comment faire payer l’impôt de sang. Dans sa cellule la princesse de Lamballe est massacrée. Je reste avec mère, mais on me l’élève aussi… Jugée coupable de trahison… Que peut-on comprendre d’un monde ou l’on est futur roi à un monde qui s’écroule ainsi ? J’ai 8 ans lorsqu’on m’enferme à la prison du Temple en une cellule, seul, mais pas oublié. Certains crient mon nom, ils disent que je suis Louis XVII, je règne alors sur la France. Mais comment règne t-on dans une cellule ? Comment règne t-on à huit ans, orphelin, poursuivis par la peur de la haine ? Comment règne t-on… ? Je me suis alors éteint, je croyais avoir finit de danser, je voulais que ces torches cessent.

On me promettait pourtant deux années de souffrances, j’étais mal-nourri, on me laissait survivre dans un cube de pierre, seul… J’ai survécu pendant deux ans, avec le bruit de la guillotine chaque matins, avec le son des râles. Je suis demeuré en silence, puis j’ai finalement expiré dans l’ignorance, après seulement deux années de règne.

Aux portes de la mort, je fus rappelé par une morsure de ma peau malade. Tout n’était que convulsion et tremblement, mais je crus reconnaitre le visage de mère. Sans le savoir je bus le sang nécessaire à ma nouvelle survie et nous priment la fuite par une porte dérobée. Pour le royaume j’étais mort, commença alors la non-vie. Elle s’appelle Valentine d’Heris, ma Dame et je l’ai toujours considéré comme une mère.  J’étais un enfant blessé et malade de l’existence, elle m’apprit alors à voir le monde différemment. Enfant de la nuit, j’avais été choisie par considération de mon sang et parce que ma Dame me connaissait déjà… Elle avait déjà eut l’occasion de me voir au Trianon, moi et mon regard perdu sur une foule qui valsait. Elle s’était renseignée à mon sujet, ma lucidité sur un monde absurde, c’est ce qui lui plaisait en moi.

J’acceptai les règles, j’acceptai de boire le sang des anciens, j’étais devenu un Tremere attaché à la Fondation de Paris. Valentine aimait me voir revivre, me voir m’élever, poursuivre l’évolution de ma pensée, sans pour autant grandir. Je laissa au soin de l’indifférence, le sort de la France, de ses révolutions, de ses guerres, de ses régimes qui se succèdent. J’attachais de l’importance à la connaissance, au développement de mon érudition. Le domaine de l’occulte, les rituels et l’alchimie devinrent mes sujets de prédilection. Et dans l’empire des livres ésotériques, je dévorais tout sur mon passage. J’avouais devenir quelque peu maniaque envers ma dame, exclusif serait le terme plus approprié. Je ne voyais personne et acceptais très difficilement toute séparation, toute intrusion. J’ai encore peur des torches… parfois je les revois… Dans l’alchimie je noyais mon angoisse, dans la soif de sang je faisais pleuvoir les coups de mes jeunes crocs sur mes victimes. J’avais soif d’oublier cette souffrance, cet abandon, cette colère. Le spectre de la Terreur ne m’a jamais quitté.

Incapable de porter mon nom, mère me trouva un surnom approprié, Orphée. Les mystères de l'orphisme symbolisant mon origine, noble et énigmatique. Car quel historien à entièrement décrypté le secret de ma mort, de ma résurrection?  Ce mythe conte l'histoire d'un homme bravant les enfers par amoure, un destin tragique emplit de mélancolie... Cela colle à quelques éléments près.

Avec le docteur Dee, un grand alchimiste Tremere je mit au point mon traité sur les utilisations du Vif-Argent. Un travail salué par Meerlinda l’une des 6 disciples de Tremere. Je devins un spécialiste dans la manipulation du mercure et nombreux sont ceux à avoir été empoisonnés par ce fléau. Ceux qui s’approchaient trop des secrets de la Thaumaturgie s’exposaient au fléau de notre maison. Cela faisait partie de mes prérogatives, surveiller les mortelles. Je côtoyais dès lors les sociétés secrètes, Golden Dawn, Illuminati… Il s’agissait généralement de club de pensée, la réunion d’une pseudo élite, mais parfois certains touchaient de trop près la vérité, trop dangereusement. Au sein de ces sociétés, je jouais généralement le rôle de l’enfant surdoué, aux capacités ésotériques remarquables. De mes yeux, je percevais le mensonge et les pensées, il était aisé pour moi de débusquer ces personnes si proches des secrets Tremere. Allez savoir pourquoi la conscience ne m’a point fait réagir plus tôt. J’ai tué nombre d’individus, par soif ou par obéissance, j’étais un enfant du diable.

Mais vint une nuit, ou les torches furent plus nombreuses, ou l’accumulation des péchés ma poussé au bord de la folie, ou la passion me poussait à restreindre une bête féroce au creux de mon ventre qui me dévorait tant. Je vieillissais et je ne supportais plus les moralistes et politologues de ma propre maison, si obéir signifiait perdre l’âme alors j’userai de modération sur ma future obéissance désormais. C’est le temps de la déchirure, je prit le parti de voyager loin de ma Dame, certainement un peu complice dans mes malheurs. Mais comment lui en vouloir. Je voyageai en Egypte, puis en Grande-Bretagne, parmi mes découvertes je pouvais mentionner fièrement des fragments de la lance Gae Bolg, l’arme du légendaire Cu Chulain. Mes travaux occultes me poussèrent à me pencher sur la traduction d’ouvrages ésotériques, j’élaborai les prémisses de la numérologie, appelé Gématria. Je fondai les théories sur le Notharikon, tentative de traduction des annexes du livre de Nod. J’avouais être passionné par ce récit, notre héritage. Tout ce que j’ai put rassembler à ce sujet forment un trésor, même si ce ne sont que des bribes…

Le temps semblait m’avoir oublié, un siècle s’était écoulé, un siècle de succès. Je rentrai triomphant, l’enfant prodige était devenu Ancilla du clan Tremere, je me souviens encore du regard admiratif de mère. Le même qu’en cette nuit de bal, au Trianon. Ma pensée s’est adoucit, je suis dit-on devenu sociable et sympathique, même si je hais autant la politique qu’auparavant.

On me propose dès lors une fonction de prestige, loin, sur les terres du nouveau monde, Primogène. Cette fois, c’est moi qui abandonne, je dis au revoir à mère, ma Valentine…
L’Amérique me fait peur, le Sabbat me fait peur et je crains ces maudites torches… Il faut le préciser, plus que n’importe quel autre clan, les Tremere souffrent d’une très mauvaise réputation. En fait cette réputation est totalement justifiée. Espérons simplement ne pas trop avoir de problème avec cette fonction. Je reviendrai encore plus influent et érudit mère, je dévorerai le temps en pensant à vous.





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Quelles sont les caractéristiques de votre race ? OK par Nod




Dernière édition par Orphée le Ven 14 Juin - 18:52, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Orphée [Terminé]   Orphée [Terminé] EmptyJeu 16 Mai - 17:39

Petit vilain double post pour signifier que ma fiche est finie.^^
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Nod
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Messages : 1305
Date d'inscription : 18/01/2013
Age : 36

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MessageSujet: Re: Orphée [Terminé]   Orphée [Terminé] EmptyVen 17 Mai - 14:53

Une fiche très agréable à lire.
Fils de Louis XVI, rien que ça ! Un personnage très intéressant et bien construit.
Je te valide ! Bienvenue dans le clan Tremere.
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https://vampiremasca.forumactif.org
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MessageSujet: Re: Orphée [Terminé]   Orphée [Terminé] EmptyVen 17 Mai - 15:18

j'aime bien aussi ! et bienvenue parmi nous !
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MessageSujet: Re: Orphée [Terminé]   Orphée [Terminé] EmptyVen 17 Mai - 15:22

Bienvenue cher confrère, votre présence nous sera précieuse.
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MessageSujet: Re: Orphée [Terminé]   Orphée [Terminé] EmptyVen 17 Mai - 15:29

Je ferai en sorte qu'elle le soit monsieur Julian.^^
Merci pour la validation et les appréciations.^^
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MessageSujet: Re: Orphée [Terminé]   Orphée [Terminé] Empty

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