| Sujet: Eléanore Byron [Terminé] Dim 15 Sep - 17:29 | |
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Présentation de
Eléanore Byron VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE
Nom : Byron Prénom : Eléanore Surnom : Beautiful Dragon ou la Dame à la Rose. Date et lieu de naissance : Née à Londres en 1870 Date et lieu d'étreinte : Un soir de bal à Londres à 26 ans en l'année 1896 Age + Statut d'âge : 117 ans ans donc jeune ancilla Génération Xème Faction Sabbat Clan Tzimisce Poste Ancien Templier de Adonis Saint-Claire Disciplines ••• Animalisme •••• Auspex ••• Vicissitude
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Les apparences sont trompeuses A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?
Encore une question où vos yeux peuvent donner une réponse. Seriez-vous idiot à ce point ? Soit, je m'en vais vous répondre aussi bien que je le puis.
Une longue chevelure de feu, héritage divin de ma chère mère à qui je ressemble trait pour trait. Délicatesse d'un visage, blancheur laiteuse d'une peau aussi douce que de la soie. Grâce, d'une danseuse étoile. Tout ce que ma mère fut, je le suis à mon tour aujourd'hui pour avoir reçu une éducation purement anglaise que l'on dit la meilleure du monde.
Je le crois fermement en tout cas. Nos écoles sont un trésor désormais perdu dans les fleurs de l'âge. Il est rare d'avoir un établissement digne de ce nom de nos jours. De mon cher père, cet homme d'esprit qui a aiguisé mes armes spirituelles avec finesse, j'ai acquis son charme anglais, sa prestance et le fait que j'attire l'attention parfois malgré moi. De par mon appartenance, cela peut répugner comme subjuguer. Mais bien heureusement, je sais comment m'y prendre pour faire de mon âme que l'on dit froide et monstrueuse, un mirage de douceur, de tendresse et chaleur. Nul ne saura discerner le vrai du faut avec moi.
Dans la haute société, nous apprenons très tôt à camoufler notre mal être, les britanniques ont un certain flegme et ne montre pas leur sensibilité. Un italien agit sous le coup de la passion, mais un anglais lui, réfléchit avant d'agir. Disons que cela nous permet de faire face aux surprises.
Mon regard si clair peut vous hypnotiser, vous attirer, certaine fois une lueur l'habite, mais est-ce le désir de vous avoir ou bien un désir plus obscur qui prend naissance dans mon être. Idée malsaine et inavouable pour votre âme ô combien trop sensible.
J'ai une préférence pour le style des années folles, là où le glamour a commencé à prendre vie. Là où la femme pouvait dévoiler ses atouts avec candeur et innocence. J'aime porter des tenue qui mettent en valeur mon corps, j'ai me maquiller en faisant en sorte de faire ressortir mon regard et mes lèvres que l'on dit pulpeuse à souhait. Un fruit défendu qui vous donne envie d'y goûter, malgré la malédiction qui pourrait en découler ou bien le bonheur... Tout dépend de qui vous êtes...
Je ressemble à ma mère. Je ressemble à mon père. C'est ce que je dis ici, mais n'oubliez pas. Avant toute chose, je suis moi avant tout autant par le mental que par le physique. Vous ne trouverez jamais deux personnes qui se ressemblent parfaitement. Vous ne trouverez donc pas une autre comme moi.
Je perçois votre regard et je n'ai qu'une chose à dire. Pour voir ce qu'il y a en-dessous de mes vêtements. Il faut amplement le mériter mon cher.
A la découverte de votre esprit QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?
Que puis-je dire sur moi. Je n'aime guère me dévoiler, vous conter qui je suis, quelles sont mes prédispositions, mes intentions... Tout ce qui me fait se doit de rester mystère pour vous. Tout savoir de quelqu'un ne donne pas envie de la connaître. Après tout, le piment de la rencontre a été usurpé de par cette simple question posée par vos soins.
Je suis une femme compliquée. Les ténèbres me sciaient et m'ont toujours troublé aussi loin que je puisse m'en souvenir. Humaine déjà, je voulais savoir ce qui se dissimulait dans les ombres qui effrayaient tant les plus chrétiens des hommes. Ombre égale démon pour ces êtres ignorants, mais pour moi, il signifie ni plus ni moins que la connaissance.
Je suis une femme qui aime apprendre et se nourrir de tout. Je parle bien sûr de nourriture spirituelle. Il m'arrive de les détourner et de les faire voir d'une manière moins alléchante, plus macabre en faite. Après tout, je suis une tzimisce, je ne vois pas les choses comme les autres.
Femme de poigne, je sais ce que je veux et je l'obtiens, même si je dois passer des décennies pour l'acquérir. Après tout, le temps ne m'atteint pas, j'ai la non-vie devant moi. Dans ce monde, nous apprenons très tôt cet enseignement "Le temps n'a guère d'importance, la patience est réellement une vertu pour nous et lorsque nous obtenons ce que nous souhaitions, le goût de la victoire paraît bien plus savoureux que le doux carmin des mortels." Et je puis vous affirmer que cela est vrai. Toujours j'ai souhaitais me venger sur l'homme qui m'a arraché au mien. Je l'ai aimé comme détesté et regardez à présent, il n'est plus que cendre et souvenir dans notre monde. La mort ultime lui a été offert par mes soins les plus délicats.
Femme cultivé, forte, impassible. Je n'ai plus vraiment en moi d'humanité, mais cela ne veut pas pour autant dire que je ne ressens plus rien. Les sensations sont présentes dans mes chairs mortes et froides, j'ai toujours autant d'émotion lorsque quelque chose me touche et qui concerne les ténèbres de notre existence. Le bonheur, la tendresse et toutes ces belles choses auxquelles se raccrochent les humains ne sont que vent qui passent sur moi.
Je suis une femme impassible envers laquelle on se pose sans cesse des questions. On ignore mes pensées, on ne sait pas ma réaction et c'est justement cela qu'on redoute de moi.
J'aime séduire, être séduite, mais parviendra-t-on à obtenir quelque chose de moi ? Ceci est une autre paire de manche. Mon défunt Sire a tenté cela durant 50 ans et il n'a jamais rien eu. La seule et unique fois où j'ai joué avec lui, ce fut pour lui offrir la mort ultime.
Mais avec vous, est-ce que ce sera par plaisir ou bien parce que j'ai des plans à votre encontre ?
Envers mes frères et mes soeurs sabbatiques, je reste aimable et respectueuse tant que l'on me donne aussi ce qui m'est dû. J'estime que la chose va dans les deux sens et non dans un seul. Nous agissons avec notre bête, mais nous ne sommes pas n'importe quel animal oubliant les règles élémentaires de courtoisie.
Camariste ? Prenez garde. Mieux vaut pour vous que nous ne connaissions pas les voies que nous avons choisies si vous souhaitez ressortir indemne de notre rencontre. Je n'aime guère les camaristes, ces êtres veulent se cacher comme des animaux apeurés et vivre parmi des êtres qui ne sont que peu de chose en ce monde.
Aubains. Tout dépend vos avis, tout dépend votre manière de vous conduire envers moi. Je serais correcte avec vous si vous l'êtes avec moi. Comme dis plus haut, respectez les règles élémentaires et je vous retournerais cette douce faveur.
Humain. vous n'êtes guère grand chose pour moi. Mise à part un repas éventuel ou bien un être chanceux qui pourra rejoindre notre belle famille le Sabbat. Prenez néanmoins garde à la rose que je suis. Rouge de sang, discrète et se dissimulant dans les ombres, je suis épineuse et empoisonnée. Si je m'approche de vous et vous souris, c'est parce que j'ai d'autre plan envers vous et mieux vaut qu'il passe sous silence... Alors, shhhhuuuttttt.....
My life before and after... MA VIE DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...
JOURNAL INTIME D'UNE TZIMSCE
De blanc immaculé, ce journal noircis de mes mots posés. Mes souvenirs défilant et réunissant mes plus secrets souvenirs et mes pensées que jamais je n'avoue. Tant de fois, je me suis rappelé de ce que je fus et de mon ascension humaine et caïnite. C'est dans un recueil secret et personnel que je réunis les moments et les personnes qui m'ont fait évoluer en tant qu'humaine puis en tant que vampire.
Peu ont de l'importance pour moi. Peu ont été digne de rejoindre mes écrits, mais je puis vous assurer, vous qui lisez ces quelques lignes. Que ces personnes réunissent les moments les plus importants de ma vie. C'est grâce à eux que je suis ce que je suis aujourd'hui. Trahison, amour, haine, respect... Tous ces mots seront réunis dans ce journal intime. Parfois, il vous voudra lire entre les lignes pour les percevoir...
Bienvenue dans l'esprit d'une Tzimisce fière et incarnation parfaite de son clan. Je suis une ombre dissimulée derrière les ombres. On dit que penser est un pouvoir, alors parmi vous mortels comme caïnites, je décide de passer mon existence à penser...
Lady Evangeline Byron née Evangeline de Fleurville :
Ma très chère mère,
Pendant 9 mois vous m'avez porté en vous priant Dieu pour que je sois garçon et non fille. Afin que je puisse avoir les liberté que vous n'avez pu avoir durant toute votre vie. Très jeune déjà, vous me racontiez que grand-père, votre père, vous a envoyé dans un pensionnat anglais réputé afin de parfaire votre éducation. Ce collège pour jeune fille étant reconnue à votre époque et à la mienne également.
C'est là-bas que l'on vous enseignait la grâce, la tenue, l'éducation, la convenance, point de croix, lecture et autres petites choses qui serviraient à une grande dame plus tard. L'éducation des enfants n'étant donné qu'à des nounous puis plus tard à des précepteurs. Malgré l'annonce de ma nature féminine, vous étiez heureuse lorsque le médecin vous affirma que j'étais un beau bébé en bonne santé. C'était tout ce qui comptez pour vous à ce moment oubliant ainsi votre prière le jour précédent votre mariage.
A vos côtés, j'ai tant appris et j'ai tout osé également. Enfant sauvage, je ne me laissais intimidé par personne. Vagabonde et mutine, je faisais toutes sortes de bêtises, vous me réprimandiez, mais jamais une seule fois vous n'avez levé votre main sur moi. C'était impensable pour vous. Fille j'étais, mais mon âme était celui d'un garçon grimpant aux arbres, jouant comme eux, je faisais tout ce que vous n'aviez pu faire. Les liberté sont plus facilement donné à des petites filles, mais vite reprise lorsque le moment était venu.
Un jour, vous aviez engagé une préceptrice pour commencer mes études que vous faisiez avant vous-même. Mais, vous avez décidé de vous donner corps et âmes à des oeuvres caritatives et à l'église. Fervente croyante, vous trouviez votre force auprès de Dieu. L'on vous admirait et vous respectez, je ne compte plus les fois où je voyais les hommes se retournaient devant votre infini beauté. Ô mère, la nature m'a comblé autant que vous ne l'avez été. Petite fille à la chevelure de feu et aux grands yeux clairs. Je me souviens de votre fierté lorsque l'on me complimentait. Distinction autant française qu'anglaise.
Je vous ai toujours vus forte soutenant le monde à votre façon comme le fait Atlas, mais vous aviez bien plus de grâce et charme. C'est avec vous, que j'ai appris que la femme malgré ces droits bien minime était le pilier de bien des choses. Nous faisons le monde à notre manière dans l'ombre des autres, nous soutenons les puissants, nous créons le pouvoir, car c'est en nous que nous le portons. Pendant 9 long mois, nous portons le pouvoir puis nous lui donnons la vie. De ma génération, peu le savez, peu cherchait à comprendre ce fait ne voulant donner de l'importance aux femmes et pourtant... Ils le savaient.
C'est aussi auprès de vous que je me suis réfugiée lorsque l'annonce de ce mariage a été fait. Pleurant et vous demandant grâce de parler à père, mais vous m'avez convaincu que je devais remplir mon devoir malgré tout. En bonne fille, je vous ai écouté et je n'ai aucunement regretté cette décision. Elle m'a porté loin, elle m'a fait mûrir et vivre de belles expériences autant que de mauvaises. Les joies de la vie de couple, vous le nommiez si bien.
Mais aujourd'hui, ce devoir, je le voue à une chose. Le Sabbat. Je sais que vous seriez outré par mon choix, mais vous le comprendriez si comme moi vous aviez étudié la nature de l'homme et celui du vampire. L'homme est inférieure face à nous. Nous sommes tout, ils ne sont rien, à part du bétail bon à être honoré de nos crocs divins. J'admets... Certains mortels sont bons à nous rejoindre, mais ils sont si rare mère. Je n'ai pu infante que deux ou trois fois et cela est déjà bien assez. Je n'éprouve plus autant de sensibilité et d'humanité qu'avant. Mon cœur n'est plus, mais mon âme brûle d'un feu nouveau est indestructible. Je vois les choses différemment... Je vois ce que vous n'avez pu voir de vos yeux de mortels. Je vois tout simplement la puissance d'un monde que vous redoutiez et qui à moi m'intéressait secrètement. Aujourd'hui je plonge dans la noirceur, je m'y noie et m'y dissimule, j'observe et je pense... Chose que je ne pouvais guère faire de mon vivant.
Mère, la mort est liberté. La mort est délivrance. La mort est un doux commencement...
Sir Charles Douglas Byron :
Mon cher père,
Il y a tant de chose à dire sur vous que les mots me manquent. Enfant, je m'imprégnais de votre sagesse et de votre don pour attirer l'attention. Lorsque vous parliez, vous aviez ce petit quelque chose qui empêchait les autres de détourner leurs regards. Hommes et femmes étaient subjuguées par le timbre de votre voix et le choix de vos mots.
Vous saviez si bien argumenté et attirer l'attention sur vous avec des mots ou simplement de par votre présence. Est-ce dû à votre rang ? Je ne le crois pas. Vous étiez un leader né et si vous aviez eu la chance, vous auriez pu gouverner l'Angleterre. Mais ce ne fut guère le cas, vous vous contentiez de vos terres, de vos richesses et de tout ce que vous aviez hérité. Qu'elles soient matérielles ou spirituelles.
Anglais jusqu'au bout des ongles, je me souviens avec quelle passion les femmes françaises vous regardaient, tendresse au cœur lorsque fièrement vous teniez la main de votre petit bijoux comme vous m'appeliez si souvent. Vous n'arrêtiez pas de dire que comme mère, je valais bien plus encore que les joyaux de la couronne. Vous me laissiez faire à ma guise voulant que je vive une enfance libre jusqu'à ce que le temps ne me rattrape.
Admiration et amour débordaient de mon cœur comme ce le fut pour mère. Vous m'avez enseigné nombres de choses, vous me laissiez penser et étudier à ma guise. Tout simplement parce que vous pensiez qu'une femme intelligente était bien plus charmante encore qu'une femme qui ne savait rien. Vous répondiez à mes questions et nous les argumentions parfois.
Jeune fille, je me souviens que nous nous promenions et que nous parlions de diverses choses. Nous prenions toutes sortes de sujet par ordre alphabétique et nous en discutions tout en nous promenant profitant du bel air qui s'offrait à nous. Ce temps-là me manque aujourd'hui, peu d'hommes sont aussi instruit que vous ne l'étiez. Peu d'hommes arrivent à votre hauteur malheureusement, l'intelligence et le charme se sont égarés de nos jours...
Lorsque le temps fut arrivé pour moi que de me marier. Lorsque je fis mon entrée dans le monde, à peine le premier bal fut donné que vous aviez eu trois propositions d'épousailles. Mais comme vos ancêtres, vous avez songé au prestige et à la sécurité. Un jeune lord anglais au visage d'ange et au regard sombre. Lui-même ayant fait son entrée, il y a 4 ans de cela. J'avais alors tout juste 17 ans et lui 21 ans.
Ce jour-là, j'ai pensé que vous m'aviez vendu au plus offrant. J'ai alors pensé que la femme n'était qu'une marchandise sans importance et qu'avec vous, je n'étais qu'un jouet distrayant pour combler votre ennui. Que de mauvaises pensées ai-je eu en pleurant sur les genoux de mère. Mais aujourd'hui, j'ai compris que vous vouliez que je ne manque de rien, mais malheureusement vous n'avez pas songé à mon avis sur cette question.
J'ai toujours rêvé de passer mon temps à penser, à philosopher sur la vie, sur la nature humaine et à écrire des ouvrages sur le sujet. Mais de notre temps, les femmes n'avaient guère le droit de faire cela. Peut-être un ouvrage sur comment faire un tricot, à l'éducation des enfants ou encore comment entretenir un jardin, mais pas sur les sujets plus profonds destiné à la gente masculine.
Je pensais que je serais enchaîné aux souhaits de cet homme, ce futur mari dont j'ignorais même à quoi il ressemblait et ce qu'était son caractère, ces préférences, ce qu'il aimait ou détestait. Comme mère, je faisais face à un inconnu et je me sentais si paralysé par la peur. Pourquoi n'avez-vous donc pas cherché à connaître mon avis sur la question ?
Ce n'est que plus tard que je compris que c'était mère qui était l'instigatrice de cet arrangement, sixième sens ou non. Elle a su que cet homme et moi, nous nous entendrions à merveille. Finalement, vous avez été homme à vous fier à l'avis d'une femme. C'est à ce moment que je compris que la femme pouvait parfois décider avec un homme.
L'esprit d'une femme est aiguisée et vous en avez fait une arme sans pareille en m'offrant le droit d'étudier de faire ce que je souhaitais. J'ai vécu à une époque où les femmes avaient peu de droit, mais je peux me considérer comme fort chanceuse d'avoir eu les liberté que je souhaitas avec vous.
Mon cher père, mon choix actuel ne porterait peut-être pas notre longue lignée à plus haute estime. Mais les mœurs humaines ne m'atteignent plus vraiment. Je ne m'intéresse qu'à mon clan et au sabbat. Nous sommes nées pour gouverner l'être humain et réduire la Camarilla à un tas de poussière. Après tout dans un sens, je suis vos enseignements. Il ne faut jamais cacher qui l'on n'est vraiment... Et c'est ce que je fais. Sir James Henry Porter :
Mon cher époux,
La première fois que je vous ai vu, ce fut le jour de nos fiançailles. Comme je redoutais ce moment, j'avais peur de connaître l'homme avec qui je partagerais ma vie. J'ignorais alors ce que je saurais plus tard avec vous. Lors de mon entrée dans le monde, vos yeux sont tombés sur moi pour ne plus s'en détacher. J'ai exercé selon vos dires un ensorcellement divin. Je ne me connaissais guère ce don, mais vous me l'avez fait connaître. Il semblerait que j'ai hérité cela de mon très cher père.
A vos côtés, je me suis découverte femme, belle, confiante et forte. Vous n'aviez guère connu votre mère, morte emporté par une pneumonie lorsque vous n'aviez que 3 ans. J'ai joué à vos côtés le rôle de la mère, de la femme, de l'épouse, de l'amante et de l'amie. Vous ne pouviez rien me cacher sans que je réussisse à le remarquer. Même me faire des surprises étaient de l'ordre d'une bataille titanesque.
Ma vie à vos côtés fut bercé par le bonheur, je dois bien l'avouer. Encore maintenant, dans ma non-vie, dans cette âme qui aujourd'hui adule l'ombre de mon monde, il m'arrive de sourire en pensant à vous. Tout comme mon père, les hommes n'arrivent pas à votre cheville. Ils sont si fades, si peu courtois, si peu avenant et tellement manipulable parfois que cela en est navrant.
Vous m'avez tout offert, si je vous avais demandé le monde, vous l'auriez fait sans hésiter je pense. Mais je ne vous demandais que le droit de pouvoir vaquer à mes passions sans me donner aucunes limites tant que j'honorais le nom de ma famille et la vôtre. Vous m'avez laissé alors faire, vous saviez que la liberté me rendait plus belle et plus lumineuse que jamais.
La mort m'offre la même chose, mais seriez-vous encore du même avis si vous me voyez aujourd'hui ? Je l'ignore. D'un côté, je désire ardemment connaître la réponse, mais d'un autre, je m'en moque éperdument.
Avec vous, j'ai deux adorables enfants qui n'ont malheureusement que peu connu leur mère. L'étreinte m'ayant prise très jeune, le jour de mes 26 ans pour être exact. Vous souvenez-vous de ce bal que vous avez organisé déployant des forces inconnues pour me cacher cet évènement ? Vous souvenez-vous de la fierté qui vous a étreint le coeur lorsque j'étais à votre bras ? Je me faisais alors appeler Lady Eléanore Porter, même le Duc, votre cousin était jaloux de vous. Lui ayant hérité d'une femme disgracieuse, gourmande, dépensière et malpolie.
Vous fussiez à ces côtés, le petit mouton noir et le souffre-douleur, mais en grandissant vous étiez devenu l'homme le plus prisé de la société et le plus respecté. Par la force des choses et de par les expériences, vous étiez devenu un homme de poigne, juste et bon.
Lors de ce fameux bal, j'ai selon vous attiré un regard de trop. Car, c'est ce regard qui m'a éloigné de vous. Je me souviens encore qu'après notre valse, j'avais besoin de prendre l'air dans la roseraie. Je me souviens encore de ce délicat parfum titillant mes narines. Si belles. Rouge, jaune, bleu, rose, orange... Un tapis d'arc-en-ciel comme je l'appelais. Aujourd'hui encore, j'aime cette fleur si parfaite et acérés. Je n'ai que peu de souvenir de cette nuit-là, mais à mon réveil, je n'étais point à vos côtés. C'est une existence et un autre homme que j'avais à mes côtés. Je me souviens de sa main plongeant dans mes cheveux passant par mes épaules puis le long de mes bras. Aucuns frissons ne m'a parcouru, mes sensations n'étaient plus. Le dégoût me prit et je me souviens avoir hurlé et insulté cet homme qui lui souriait comme un idiot.
Lorsque la vérité fut révélée, je l'ai pris pour un fou. Et lorsque j'ai émis le désir de vous voir, il me l'a interdit avec rage. Ma peur était alors, grande, je savais que je me devais de me plier à ses exigences. C'était ce lien qui m'unissait dorénavant à lui qui me l'ordonnait.
Ô mon cher amour, lorsque j'ai pu enfin te voir, même si ce n'était que de loin. J'étais alors, déjà enterrée et morte pour nos enfants et toi. Je pensais te voir pleurer sur ma tombe, toi qui disais m'aimer si fort. Mais c'est aux bras d'une femme que je te vis. Au bras d'une catin noble, cette femme qui aimait séduire les riches pour pouvoir accéder à ce monde qu'elle n'a pu atteindre autrefois. Tu le savais pourtant, alors pourquoi ?
Je n'avais alors, pour toi que dégoût et colère. Elle fut si grande, ma jalousie si infernale que j'ai dévoré cette femme qui avait osé te toucher. Son sang indélicat, nauséabond et ingrat, je le sens encore couler dans ma gorge. Sa peur m'a bien plus nourrit que son sang. Lui. Ce Sire était présent jubilant dans les ombres et ressentant une passion dévorante dans ces chairs.
C'est à ce moment, que j'ai désiré t'ignorer oubliant ma vie humaine. Car, je savais que mes enfants ne manqueraient de rien. Mère et père étaient là pour cela, veillant à ma place sur mes deux lumières. Malgré mon aspect et mon âme noircis. Je me rattache au souvenir de mes enfants pour ne pas me perdre dans la folie. Il me faut de l'humanité, même une once pour pouvoir contrôler ce pouvoir de penser. Je veux continuer à penser sainement et c'est pour cela...Que j'ai décidé de t'oublier...
En automne de l'année 1896, je fêtais mes 26 ans pour ne plus jamais vieillir. Le destin a voulu que je suive une voie bien précise et loin des humains. Le Sabbat m'accueillis, le clan m'a tout offert... Je n'avais rien et me voici avec plus d'arme que je n'aurais jamais pu avoir en tant qu'humaine.
C'est pour cela que j'ai décidé de reprendre mon nom de jeune fille Eléanore Byron. Au bras de cette femme a qui vous avez offert ce qui n'était qu'à moi, vous avez fait naître le dégoût.
Pardonnez-moi, mais je vous déteste aujourd'hui. C'est avec et à cause de vous que je pense que les hommes sont naît pour trahir...Alors, moi, humble caïnite vivant dans l'ombre, je choisie la voie de la fidélité, chose que vous n'avez fait. Adonis Saint-Clair :
Cher Adonis,
Vous mon Sire. Vous qui m'avez étreinte pour m'accueillir en ce paradis. Je vous ai d'abord haïs de m'avoir arraché au mien puis je vous en ai remercié, car vous m'avez offert un savoir sans nul autre pareil. Avec vous, j'ai nargué les préceptes que l'on m'a enseignés, j'ai flirté avec l'alchimie, avec la connaissance des démons afin de devenir ce qui est le plus craint en ce monde caïnite à cause de notre instabilité et notre puissante intelligence.
Mon père disait que la connaissance est une arme qui s'aiguise un peu plus chaque jour. Et avec ces enseignements, j'ai pu former mes propres armes et élevé votre fierté à un niveau tel que le désir vous a étreint très tôt à mon égard.
Humaine déjà, j'avais titillé votre curiosité et mon habilité à comprendre les choses et à vouloir en connaître le pourquoi du comment vous a attiré à moi. Vous le définissiez souvent de la sorte "Tu es tel un aimant... Irrésistiblement, tu m'attire, mais diaboliquement tu me repousses pour animer que plus encore mon désir. Vil, tu es, mais ô combien j'aime cela..."
Votre décision pour m'offrir l'éternel baiser fut rapide et sans équivoque. Pris de passion, vous foncez toujours et cela le fut pour moi. Mais femme bien élevé, je vous ai repoussé avec douceur, mais vous n'aimiez pas qu'on se refuse à vous et ce fut par la force que vous m'aviez étreinte.
Je me souviens d'une vague douleur puis de l'abandon, du froid et de ma vie entière défilant devant mes yeux. La tête me tournait à force de revoir dans des flash puissants ces moments de ma vie. Le vide m'accueillit, mais l'éveil fut un nouveau combat.
6 pieds sous terre, je me sentais alors paniqué et c'est avec une hargne féroce que je brisais cercueil et que je creusais à main nu la terre pour rejoindre la surface sous vos yeux fiers. Qu'aviez-vous dit alors ? "Belle, tu l'es déjà, mais maintenant que l'étreinte et faite que ta terre repose sur toi, tu es plus désirable que toutes les sagesses infinies de ce monde"
Vous éprouviez de l'obsession, mais je vous repoussais encore et encore. Les défis, vous aimiez cela et vous en redemandiez encore et toujours. Je me souviens que je m'étais évanouis ignorant toujours la raison. Puis ce fut, un nouveau réveil dans cette chambre immense et sombre éclairé par quelques chandeliers seulement. Nous étions nus sous les draps d'un blanc immaculé. J'étais propre à nouveau. Vous vous étiez occupé de moi comme la pauvre chose fragile et perdue que j'étais.
La hargne me gagna ainsi que le dégoût. Je souhaitais retourner chez moi, revoir ma famille et mon époux, mais l'interdiction avez sonné avec une fois si grave et obscur que tel un animal, je me suis plié devant vous et j'ai accepté mon sort. Jeune nouveau-né j'étais et soumise à votre volonté je devais être. C'était comme un désir qui m'était important malgré moi.
Le désir de sang m'a étreint tout aussi rapidement que votre décision de me posséder. Gorge sèche voir brûlante, je quémandais à boire et vous m'avez tendu une coupe de sang. Tous nous déglutissons au premier instant, pas devant la vue de la vitae, mais devant l'envie irrésistible d'en boire.
Néanmoins, je ne me suis pas jeté dessus comme la plupart des nouveau-nés. Je refusais et vous riez devant cette attitude que vous aviez qualifiée de grotesque. A peine avez-vous posé les lèvres sur le verre que je l'ai pris de vos mains pour me repaître de ce liquide carmin à qui je vous une adulation sans borne aujourd'hui.
Malgré votre ordre de ne plus revoir ni mon époux ni mes enfants sous peine que vous les tuiez sans pitié, mon désir, lui, ne s'était guère éteint. Un jour, en sourire triomphant sur vos lèvres, vous m'avez donné votre bénédiction.
Après ce qui est arrivé ce soir-là, j'ai tout de suite su que vous aviez fomenté cette rencontre afin que je me perde plus dans vos ténèbres et que je m'éloigne de ces halos de lumières qui m'étaient dangereux. Je risque selon vous d'être une piètre Tzimisce capable de sentiment humain.
Malgré la passion de cette soirée et le goût indélicat de cette vitae puante, malgré vos avances répétées, je ne vous ai jamais donné ce que vous attendiez de moi. Et même si vous en aviez le pouvoir, vous saviez que vous n'auriez pas le même goût de la victoire que cela que vous espériez connaître.
Pendant 50 années, je vous ai suivi fièrement. Car, oui, je vous ai aimé et admiré. Mentor et étrangement ami, même si vous espériez autre chose de moi. Ensemble, nous avons vu les humains sombrer dans les guerres successives qui nourrissaient nos êtres de plaisir sous la violence qui en découlait. Sang et cadavre ornant nos pas, non fait pas nos mains, mais par celles des hommes. Sur cette route, vous avez infanté encore et encore, vous créant une belle et grande famille, mais j'étais la seule qui avait su résister à vos avances et cela vous obsédez.
Certains de mes frères et sœurs ont suivi des chemins différents. D'autre ont eu l'audace de nous trahir en se vendant à l'ennemi telle une catin. Je me suis fait alors le plaisir, en votre nom et en temps que Templier, gardienne de votre honore de les dépecer sous vos yeux admiratifs, les faisant souffrir lentement comme vous le souhaitiez.
50 années de bon et loyaux services où j'ai vu le monde évoluer ou bien encore sombrer dans l'ignorance. Les femmes peu à peu prennent de l'importance dans la société, mais cela est si rare. J'ai vécu les années folles où je me suis laissé plonger dans le glamour d'un style naissant et me sciant selon vous à merveille révélant ainsi ma beauté parfaite. Parfaite, je l'ai toujours su, car Tzimisce rime avec perfection. J'ai toujours fait les choses afin de vous honorer remplissant mon devoir plus que je ne le devrais.
Mais vous aussi vous m'avez trahi et trahi les vôtres. Tel un chien, vous avez aboyé et demandé asile à la Camarilla. Vous n'étiez plus un fou sage, mais un fou idiot et sans cervelle. Vous saviez que mon cœur était voué au Sabbat et les preuves acquises de-ci de-là joua en votre défaveur. La folie vous aurait-elle prit pour agir ainsi à l'oeil de tous ! Était-ce un suicide organisé par vos soins ?
Mon propre honneur a été bafoué, car, je vous servais et l'on a osé avoir des doutes sur ma personne. Mais, je reste fidèle au Sabbat et au Code de Milan instauré en 1933 ainsi qu'à notre Régent. C'est moi-même qui est demandé de vous exécuter et j'ai voulu le faire comme vous me l'avez appris, le plus lentement possible.
Vous me pensiez ignorante de vos desseins, mais vous vous êtes trompé lourdement. N'oubliez pas que je suis une femme instruite et qui le fut plus encore par vous. Vous souvenez-vous ? Ce sourire que je vous ai donné comme tant de fois déjà ? Vous souvenez que je vous ai laissé approcher de moi encore effleurant mes lèvres pour m'en éloigner ? Vous aimiez que je me fasse désirer. Les femmes qui vous résistent est un défi divin pour vous. Je l'ai fait durant 50 ans, alors que vous vous amusiez avec mes autres sœurs qui se laissaient bêtement soumettre à vos désirs.
Mon savoir était aussi grand que le vôtre, mais haine et mon dégoût envers vous m'offrez bien plus de force encore. Ancien vous étiez, mais stupide vous l'étiez encore plus. Votre nez si fin n'avait su reconnaître ce qui se préparait.
Je vous ai alors, frappé, humilié, torturé si lentement et vous vous êtes laissé faire pensant à un jeu. Les femmes peuvent avoir ce qu'elles souhaitent quand elles savent s'y prendre. Ce déshabillé blanc vous a conquis tout autant que ce regard qui tant de fois posé sur vous, vous désarmez en un instant. Je voulais jouer avec vous et vous avez accepté.
La douleur était votre plaisir. Je m'occupais de vous et vous aimiez être le centre de l'intention. Vos crocs sortaient, votre bête hurlait d'un plaisir non fin. Votre bosse sous votre pantalon en disait long sur ce que votre corps ressentait. Attaché par des liens d'argent, affaiblis, vous aimiez être un chiot entre mes mains.
Mais, lorsque le jeu prit d'autre tournure vous avez compris mes véritables intentions. La mort lente fut votre lot et en souriant vous quémandiez que je fasse diablerie. Mes paroles furent dur, car je vous ai dit... Vous vous en rappelez ? Je vous susurrais à l'oreille que votre sang était souillé par les Camaristes et que jamais je ne m'en nourrirais même pour votre mort ultime.
Les chaînes d'argent empêchaient que vous bougiez. Le sang coulait lentement sur une terre souillé par votre présence. Puis enfin, le sommeil pointait le bout de son nez. Dans cette demeure où j'ai vécu avec vous, je vous ai laissé brûler. Ce fut lent, interminable... L'odeur de vos cendre, une véritable horreur. Mais j'ai rempli mon devoir malgré tout.
Je vis et je vivrais pour le Sabbat. Encore aujourd'hui, j'erre dans ce monde, j'observe l'ombre, je suis la rose qui se dissimule dans l'ombre de sa sœur. Je suis la belle dragonne du clan Tzimisce, je suis celle qui a récupéré son honneur et su prouver au Sabbat que je ne suis pas de celle qui trahie, mais de celle qui fait valoir nos lois les plus précieuses et élémentaires.
Contrairement à vous, je n'ai pas été souillé. Je ne cache pas ma nature ni ne la révèle vraiment. J'estime que c'est un honneur que de me connaître et connaître ma nature. Contrairement à vous, je ne saute pas sur tout ce qui bouge, je ne laisse pas la passion dicter ma conduite, mais au contraire la sagesse me lit à ce niveau que vous avez oublié.
En d'autres termes, je ne saurais jamais vous. Je n'ai pas eu tord de vous suivre, car je ne serais pas ce que je suis aujourd'hui, je n'oserais même pas formuler l'envie de retourner en arrière. Je dirais simplement que l'élève à dépassé son maître... Chère Cité des anges,
Avant toi, je n'ai connu que l'errance. Mes pas me menait ici et là, déchu et montré du doigt par la faute impardonnable de feu mon Sire. Reprendre les rennes fut compliqué, car ma parole était remis en doute. Les erreurs d'un Sire atteignent immanquablement les infantes. Il m'est parvenu à l'oreille que certains de mes frères et soeurs se sont donné la mort ultime ne pouvant faire face à la honte et au sang qui coulait en eux.
Adonis a détruis bien plus qu'il ne l'aurait imaginé. Peut-être était-ce là le prix à payer pour rejoindre la Camarilla ? Je l'ignore. Un jeu personnel créé par lui ? Plus que possible. Mais moi, j'ai erré sans vouloir poser vraiment mes valises quelque part. Dans l'ombre, j'ai observé, dans l'ombre, j'ai fomenté des plans pour récupérer l'honneur perdu. Servant corps et âmes mes pairs lorsqu'ils avaient besoin de mon aide.
C'est au Canada où je suis restée le plus longtemps, 20 ans pour être précises. Je suis arrivée à ce pays en l'année 1988 et j'ai tout de suite adhéré à la tranquillité de cet endroit. Quand je parle de tranquillité, je parle bien entendu des ombres pesantes qui s'y trouvaient. J'ai aidé les miens à augmenter leur influence éliminant chaques camaristes qui osaient croiser ma route. Mais il n'y avait pas vraiment de plaisir à cela. Que des nouveau-nés assez stupides pour croire qu'il pouvait faire face à nous.
Tu le sais, ce ne sont que des insectes que l'on se doit d'écraser lentement, très lentement. Juste assez pour entendre les os craquer ou se casser lorsque le coup violent s'abat sur eux. Je voulais simplement récupérer mon honneur, un point c'est tout.
La bataille fut longue, mais pas impossible. J'ai su prouver que je n'étais pas comme lui et que je ne le serais jamais. Plutôt mourir définitivement que de rejoindre la Camarilla qui se cache au milieu des humains comme des chiens apeurés.
Mais aujourd'hui, me voilà enfin en ton sein. La guerre fait rage dans un silence des plus délicieux. Ce bétail ignore ce que cache les ombres de leur si lumineuse cité. Des ombres qui ne font que s'étendre. Un jour, nous y parviendront ! Nous arriverons à contrer la gehenne et à soumettre camaristes et humains à notre supériorité !
Ceux qui y survivront, serviront d'esclave à notre toute puissance tandis que les camaristes ne seront que des pantins souffrant de mille tortures entre nos mains expertes. Comme tu peux le constater ô douce luminescence sombre, je ne vis que dans le but de servir notre cause. Si je dois mourir pour elle, alors soit, qu'il en soit ainsi. Cela serait un honneur pour moi.
Mais pour le moment, je m'accorde une pause. J'ai besoin de reprendre des forces avant de remettre mes plans à exécutions. Dorénavant, je ne sers que moi-même, je ne veux plus être le paladin d'un tel ou un tel. Il lui faudra déployer une patience énorme à mon égard. Être trahi une fois, c'est amplement suffisant. Et si mon nom navigue encore dans les conversations, on saura que je suis capable de tuer mon maître à la moindre incartade grave. J'ai su néanmoins avoir le respect de mes pairs. On sait dorénavant pour qui je vis depuis mon entrée en ce monde.
L'humanité ne fait plus loi depuis fort longtemps dans mes chairs. Les souvenirs de ma vie d'avant ne sont que des flashs qui lentement disparaissent. Rien n'a d'importance à part le présent et la construction d'un avenir odieusement et sublimement lumineux pour le Sabbat.
En dehors du forum QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?
Pseudo : Titia Age : 24 ans Comment avez vous découvert le forum ? TC Votre avis sur le forum ? Ce nouveau personnage prouve que mon avis est amplement positif Votre présence sur le forum ? Comme d'habitude 5/7. Les rp en semaine et rarement le weekend. Quelles sont les caractéristiques de votre race ? Okay par Nod.
Dernière édition par Eléanore Byron le Jeu 19 Sep - 23:10, édité 17 fois
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Dim 15 Sep - 22:22 | |
| Ma chère, comme je regrette qu'une personne de votre classe se retrouve avec l'impie. Au plaisir de vous rencontrer en zone neutre, je l'espère.
Bon courage pour la rédaction.^^ |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Dim 15 Sep - 22:35 | |
| Phosphoros : Douce, il est possible que je le sois, mais épineuse, je le suis que plus encore.
Narcisse : Je pourrais en dire autant de vous mon cher. Si terrain neutre, il y a peut-être que nous pourrions converser sans que ma colère ne vienne abîmer vos traits délicats... |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Dim 15 Sep - 22:46 | |
| Ce serait fâcheux pour vous, en arriver à de tels extrémités ne serait guère à votre avantage. Mais je m'égare sans doute en délit de flooderie, j'ai hâte de vous croiser (j'adore l'actrice, Jessica Chastain !!!). Très bon choix de vava, encore une fois bon courage pour les derniers points de rédaction. |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Lun 16 Sep - 16:08 | |
| Narcisse : Au contraire, le sang me va si bien... [Me too, un sujet serait fort intéressant ^^ ] Petit message chers admins pour vous faire part d'une bonne nouvelle. Ma fiche est terminé et prête à être analysé. Si quelque chose cloche ou vous gêne n'hésitez pas je le changerais Bonne lecture à vous ^^ |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Mer 18 Sep - 14:43 | |
| Et bien, j'aime toujours autant ta manière d'écrire ^^ Cependant, j'aurais juste une petite remarque à faire : les vampires ne sont pas sensibles à l'argent ^^ (sauf certains mais ce sont des défauts qu'on peut prendre dans le jdr papier ou version GN) Du coup, il faut que tu supprime ça mais sinon, c'est parfait celon moi, on cerne très bien le perso. Perso, à part ce détail que je te demanderai de changer, je te donne le premier avis positif de suite ma belle. Au plaisir de te recroiser en jeu, =^w^= |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Mer 18 Sep - 14:45 | |
| Je vais t'embêter Lilith, mais peux-tu me rappeler où j'ai noté cela ? |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Mer 18 Sep - 14:46 | |
| Dans la torture de ton défunt sire ^^ |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Mer 18 Sep - 14:51 | |
| Et voilà qui est fait. J'ai supprimé et mis que les chaines d'argent l'empêchaient de bouger étant donné qu'il perd du sang, la force n'est plus aussi importante et comme il se laisse faire ça devrait aller ^^ En tout cas, contente que ce nouveau personnage plaise |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Mer 18 Sep - 14:51 | |
| Parfait, je confirme, premier avis positif ^^ |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Mer 18 Sep - 15:21 | |
| Merci ô sublime ange déchu...Ce sang coulant au coin de vos lèvres à l'air d'un délice sans nom |
| | | Nod Admin Fondatrice
Messages : 1305 Date d'inscription : 18/01/2013 Age : 36
| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Jeu 19 Sep - 23:09 | |
| Et bien voilà une belle Tzmisce, distinguée et érudite ! J'aime beaucoup la façon dont tu as rédigé l'historique, en évoquant les personnes marquantes plutôt qu'en suivant une simple chronologie. ^^ Le personnage est bien pensé et détaillé, subtil, bien loin des clichés sur le Sabbat, et c'est fort plaisant. Je te donne le second avis positif, et te souhaite avec plaisir la bienvenue dans le Sabbat ! |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Jeu 19 Sep - 23:12 | |
| Merci pour ces compliments, j'ai pensé que faire sous forme de journal intime changeait de ce que l'on voit d'habitude et j'ai eu raison |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Ven 20 Sep - 8:49 | |
| Félicitation, sombre soeur, pour cette validation ! Allons arpenter les rues de ce cloaque nommé Los Angeles |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] Ven 20 Sep - 11:59 | |
| Mais avec plaisir... Venez donc m'invité comme le gentleman que vous êtes |
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| Sujet: Re: Eléanore Byron [Terminé] | |
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