![A la poursuite du lapin blanc... [PV Alice] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | | Sujet: A la poursuite du lapin blanc... [PV Alice] Sam 8 Mar - 10:57 | |
| "La peur est une émotion ressentie en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. Croyez moi votre excellence... Ce sera un pays de cauchemars."
"J'aime ces mots, monsieur Quinzel je compte sur votre efficacité."
Tel fut le commencement de ce crépuscule, douce promesse que la vengeance. Enfin le bébé avait quitté son nid douillet, d'une Eglise la voila si proche d'un Temple. Aucune divinité ne sera assez compatissante pour tendre le bras à cette créature maudite. Ce soir, la lune pourra être témoin de ce que les ombres réservent à ceux qui osent défier notre couronne.
Je faisais entièrement confiance à mon Quinzel, lui qui avait un certain don pour briser l'existence de ses chers patients. Tenant fermement une ombrelle blanche, moi la reine blanche je me rendais sourire aux lèvres, au lieu ou était reclus la jeune nouvelle née. Pas de Chrichri pour ce soir, juste toi moi et mon invité mystère. On ne se connaissait pas, mais déjà j'avais un apriori disons très négatif à son encontre.
J'étais si guillerette à l'expectative de cette rencontre, si beaucoup avait essayé de la brutaliser je n'irais pas jusque la. Le dr. Quinzel avait même parcouru son dossier psychiatrique avant sa tragique mort, une fillette aux pathologies intéressantes avait il dit. Mais je n'avais pas la patience de m'appesantir sur les malheurs d'une sale gosse. Je devais admettre un grand mérite, elle avait réussis la ou nombreux ont échoués... Mais il n-y avait aucune gloire à gagner sans volonté de gagner.
Elle était la, devant moi... Certainement interloqué par mon apparence, j'étais la poupée de porcelaine. Et j'avais vraiment un grand sourire à la vision d'Alice. Elle visitait la ville comme un monde à découvrir, moi j'arpentais cette cité comme une reine en son domaine. Je n'avais pas les mots justes qui me venaient à l'esprit, comment commencer une conversation ou la haine pressait ma langue.
Mais je demeurais si prompt à l'illusion. J'avais vraiment l'air d'une personne si joyeuse et insouciante. Il était impossible de me penser évêque du Sabbat ainsi.
"Bonsoir... Dit je me suis perdu, tu ne voudrais pas m'aider à trouver un chemin, Alice ? C'est bien ton nom, Alice ?"
Comme j'aimais ce moment... Autour il commençait à faire si sombre, les ombres appréciaient aussi apparemment. |
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