Présentation de  

Mitsuko KAZUMI

VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE

Nom : Kazumi Prénom : Mitsuko Surnom : / Date et lieu de naissance : 4 avril 1911, Iga, Japon. Date et lieu d'étreinte : Octobre 1939, quelque part dans le Sud-Ouest des USA. Age + Statut d'âge : 74 ans, Vieux Nouveau-Né (7 ans en tant que goule, en paraît 21). Génération 8 (diablerie, 9 à l’origine) Faction Sabbat Clan Assamite Antitribu Poste Assassin de la Main Noire. Disciplines Célérité II, Dissimulation III, Quiétus II, Augure I

Feat. Aya Ueto (mais ça, c'était avant)

Les apparences sont trompeuses

A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?

Pas l’ombre d’un sourire ni la moindre émotion ne semblent vouloir effleurer ce visage de poupée de porcelaine, ni animer ce regard noisette en amandes. Elle a le visage enfantin et parfait d’une de ces lolitas que l’on s’arrache et qui s’exposent sur les pages glacées de certains magazines japonais, petit nez et lèvres charnues, sourcils fins et bien dessinés. Ses cheveux ébène n’échappent pas non plus au sérieux et à l’impartialité que dégage ce petit bout de femme, quoiqu’ils soient un peu rebelles selon le temps. Sa peau est restée plutôt claire, l'étant déjà de base lorsqu'elle était humaine.

Une femme dans un corps de jeune fille, impression trompeuse malgré ce que l’on voit. Car même si elle n’atteindra certainement jamais la lune en se mettant sur la pointe des pieds avec son petit mètre cinquante, son allure frêle est bien trompeuse en comparaison de ses capacités physiques. Reconnaissez comme c’est fou, cette manie de ne pas se sentir menacé par ceux qui sont plus chétifs que soi. Et pourtant, en à un peine un clignement d’œil, non seulement elle ne manquera pas de se soustraire à votre vue, mais aussi de vous envoyer faire plus ample connaissance avec le parquet.

L’économie de mouvements est un art à part entière dans lequel elle est passée maître. Rien de superflus, juste une précision chirurgicale et fluide. Habitude toute japonaise qu’elle a gardé, celle de s’incliner de façon plus ou moins prononcée pour saluer ses pairs et supérieurs. Ses pas sont souples et silencieux qu’en comparaison, un chat vous semblerait bien bruyant. Sa façon de s’habiller est tout aussi méthodique : elle se contente de privilégier des vêtements sombres, permettant des mouvements faciles et de préférence offrant peu de prise à ses adversaires. Mais dans l’ensemble, ils sont plutôt passe-partout et quelconque pour l’époque. Le croissant caractéristique des membres de la Main Noire orne la paume de sa main droite.

Côté arsenal, cela peut varier, mais elle reste toujours armée un minimum. Deux kunais sur chaque cuisse, juste à la hauteur qu’il faut pour les saisir rapidement, et deux autres dans chaque chaussure au-dessus des chevilles. Un holster vient parfois se mettre sous son bras. Elle peut également être armée d’un sabre japonais, arme qu’elle affectionne plus que le reste.

A la découverte de votre esprit

QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?

« La voie du ninja est celle de l'endurance, de la survie et de la victoire sur tout ce qui veut le détruire. »

Et il serait bon d’ajouter, de la victoire à n’importe quel prix. Voilà l’état d’esprit dans lequel elle a été forgée, on lui demande des résultats et elle en obtient, c’est aussi simple que ça. Incorruptible et fidèle à ses engagements, qu’elle ne fait jamais à la légère, sont aussi des choses que l’on pourrait dire d’elle. Car ce n’est pas le pouvoir ou le prestige qui la motive, mais seulement la réussite et la sauvegarde du Sabbat. Il n’y a donc pas la place pour les querelles internes, chose qui l’exaspère, et elle se contente bien souvent de garder des rapports neutres par défaut.


« Qui connaît l’autre et se connaît, en cent combats ne sera point défait. »

Un seul mot : maîtrise. Celle de soi, du combat, des autres. Alliés à cela, la concentration et la perception. A ses yeux, il faut savoir quand engager le combat et quand fuir, être à l’affût de son environnement, en éveil et attentive à ce qui l’entoure. Savoir jauger les risques. De l’équilibre et de la mesure que diable ! Ce n’est pourtant pas compliqué ! Autant dire qu’elle n’est pas du genre à céder à ses émotions, au contraire. En ce sens, on peut remarquer que contrairement à certains qui manifestent ouvertement leur mépris et haine de la Camarilla, Mitsuko se contente d’une froide indifférence. Ce sont la froide logique et le pragmatisme qui l’anime, et il n’y a pas de place pour le sentimentalisme sous quelque forme qu’il soit. Elle apprécie la compétence et l’efficacité, et n’a que d’avantage de respect pour ceux qui en font preuve.


« La guerre repose sur le mensonge. »

Mais aussi sur les propres informations que l’on possède. Mitsuko est devenue très forte à ce petit jeu, elle se débrouille presque aussi bien que les Nosferatus, ce qui a le don de la rendre antipathique à leurs yeux, sous prétexte qu’elle marche parfois sur leurs plates-bandes. Et quand elle ment ou cherche à dissimuler certaines choses, c’est plutôt par omission et semi-vérité plutôt qu’un mensonge effronté. Manipulation, chantage, espionnage, tout est bon pour avoir un coup d’avance et même plus sur les ennemis du Sabbat. Elle est en effet très dévouée, baignant dans la mentalité sabbatique depuis son Etreinte.


« S’adapter, c’est vaincre. »

Mitsuko est un paradoxe ambulant de valeurs, car elle cherche toujours à faire ce qui lui semble être le plus souhaitable pour les intérêts du Sabbat, passant parfois outre celles-ci. D’un côté, elle reste encore très attachée à celles que l’on lui a transmis étant humaine, comme le respect, l’honneur, le sacrifice de soi. De l’autre, elle rejette en partie l’héritage de son clan et certains préceptes, qu’elle juge à la limite du fanatisme aveugle. Malgré tout, on peut dire qu’elle s’est plus ou moins « occidentalisée » au contact de l’Amérique. Elle n’hésite plus à faire preuve d’initiative quand le besoin s’en fait sentir, ni à exprimer clairement son point de vue.
S'adapter, c'est vaincre, un conseil qui vaut pour toutes créatures foulant cette terre. Les Vampires en sont un exemple, ils ont pris l'ascendant sur les Hommes, alors à ce titre, pourquoi devrions-nous nous rabaisser à leur niveau ? Nul haine particulière à leur égard, simple constat des faits. Ils sont inférieurs, et chaotiques en plus de ça. N'étant pas au sommet de la chaîne alimentaire, il est normal qu'ils nous sustentent. Même si ça n'égalera jamais de la Vitae vampirique...

My life before and after...

MA VIE  DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...

1932 – Camp d’entrainement de la Main Noire, quelque part dans le Sud-Ouest des USA


Être admis au sein de la Main Noire était tout sauf une promenade de santé. Au contraire même, vous aviez toutes vos chances de vous la ruiner, du moins s’il est possible de parler de santé quand on est un cadavre ambulant. La mort finale attendait au tournant ceux qui n’étaient pas dignes, de ceux qui pensait que sous prétexte qu’il s’agissait d’un exercice, d’un entraînement, ils ne risquaient rien d’autre que d’être refusés dans les rangs de la Main, sans autre conséquence. Entraînement en conditions réelles, ça voulait pourtant bien dire ce que cela voulait dire, non ?

« Vous m’avez l’air agacé. »

L’Assamite à la peau d’ébène jeta un vague regard à son camarade au teint plus clair.

« Regarde-les. » Il désigna les Cadets en contrebas du haut bâtiment désaffecté où ils se trouvaient tous les deux, Vampires à l’entraînement mais non encore admis comme les leurs. « Regarde-les et voit comme ils sont désordonnés, acculés et hargneux comme des bêtes. C’est cela que l’on nous envoie comme potentielles recrues ? Pas un seul ne passera la nuit. »

Visiblement, le plus jeune ne trouva rien à redire, sachant pertinemment que c’était là la vérité, bien qu’il ne l’exprima pas ouvertement. Des criminelles, des petites frappes, de vulgaires coupe-jarret sans finesse ni technique. Elle était loin, l’époque où l’on apprenait réellement à se battre, à être un guerrier, un vrai.  Les seuls qui pouvaient encore convenir étaient les militaires, et encore, ils manquaient cruellement de souplesse d’esprit et étaient loin d’être infaillible. Non, à ses yeux, il ne restait plus d’individus dignes et aptes. Ne restait que la raclure désorganisée et incompétente. Existait-il quelque part, une classe de guerriers habiles qui aurait subsisté aux changements de ce monde ? L’esprit encore ailleurs, l’aîné finit par se désintéresser des combats et prit la direction opposée à ceux-ci.

« L’épreuve n’est pas terminée… »

Pas de réponse. Alors que le plus jeune se retourna pour le chercher du regard, l’Assamite d’ébène avait déjà disparu.

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6 Octobre 1932 – Japon, Iga, préfecture de Mie.


L’Histoire, avec un grand « H », nous dit que c’est précisément dans cette ville, Iga, qu’a débuté l’histoire des premiers ninjas, formant alors le clan Hattori. Des individus aguerris aux techniques de combat au corps à corps, au maniement des armes, à l’espionnage, au déguisement, l’endurance à la douleur, et bien d’autres aptitudes encore. L’efficacité à tout prix.

La nuit était tombée depuis plus d’une heure sur le Pays du Soleil levant, et pourtant il n’était pas si difficile que cela de s’orienter dehors à l’écart des réverbères. La lune était à son apogée et éclairait cette facette du monde de sa luminosité pâle. Se considérant comme le berceau des espions les plus redoutés du pays, et fière d’avoir cette parcelle de l’histoire japonaise pour elle, la ville abritait un lieu particulier de savoir. L’Iga-Ryu Ninja Museum, dissimulé au milieu de la végétation du parc d’Ueno. Qui saurait dire si le guide du musée était un réel descendant de ninja ? Toujours est-il qu’il paraissait franchement convaincant, vêtu de son shinobi-shôzoku – son uniforme d’entraînement – ainsi que dans son comportement. Mais qu’importe le guide, puisque de toute manière, l’heure des visite était terminée depuis un moment. Et ce qui nous intéresse ici, c’est sa fille.

Mitsuko Kazumi. Mitsuko que l’on pourrait traduire par « enfant de lumière », avouez que le destin a un certain sens de l’humour, n’est-ce pas ? Elle a été une enfant japonaise comme tant d’autres : fille aînée studieuse et obéissante, sans la moindre tâche à son parcours scolaire et soucieuse de faire la fierté de sa famille. Mais faire la fierté de sa famille, ce n’est pas forcément faire son propre bonheur ni pouvoir suivre ses propres rêves. Ce qu’elle voudrait, c’est pouvoir suivre les pas de son père et faire découvrir aux autres l’univers dans lequel vivaient les ninjas et qui ils étaient.

Elle en est passionnée depuis son plus jeune âge. C’était un jeu tout d’abord, son père s’amusait de la voir imiter ces espions, alors il l’a laissa s’entraîner comme tel. Mais la passion a vite pris le dessus sur le jeu, et elle s’est mise à s’investir sérieusement sur cette voie. Puis la passion est devenue une philosophie, un art de vie bien loin de ce que l’on attendait d’elle pour l’époque : qu’elle se marie et fasse de beaux enfants vigoureux.

Aujourd’hui, Mitsuko a 21 ans, et la nuit est froide. Elle porte un de ces uniformes d’entraînement un peu trop grand pour elle et observe le parc d’Ueto, silencieux du haut du musée. Aucun bruit ne s’échappe de ses pas, ni quand elle entreprend de descendre et d’atterrir souplement en contrebas. Chaque soir est une parcelle de liberté qu’elle s’accorde à l’insu de sa famille, renouant avec la personne qu’elle aimerait être, qu’elle est réellement. Mais elle n’est pas la seule à tromper son monde, car à son propre insu, une étrange partie de cache-cache a commencé depuis trois jours.

Les Kuei-Jin, les vampires de l’Orient, n’apprécient guère qu’un Caïnite rôde impunément sur leur territoire, ce que fait pourtant précisément l’un d’eux. Un Assamite est de sortie ce soir, une fois encore non loin de cette jeune humaine qu’il a repéré trois nuits auparavant et qui se distingue des autres. Il sent qu’elle a l’étoffe pour devenir celle qu’il voudrait qu’elle soit : une arme équilibrée, complète.
Se jouant de ses poursuivants par ses dons de dissimulation et du quiétus, le gaijin – l’étranger – se rapproche inexorablement de la jeune femme. Elle finit par tourner le regard dans sa direction, comme se sentant observée. Puis après, c’est le noir complet…

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Octobre 1939 – Etats-Unis d’Amérique


Sept années se sont écoulées. Sept années de mises à l’épreuve et d’entraînements où elle a parfait ses compétences et apprit du monde des Caïnites et du Sabbat. Sept années pendant lesquelles elle a servi son maître en tant que goule. Sept années de « marche ou crève ». Mais elle a maintenant la possibilité d’exercer ses talents, d’être ce qu’elle souhaitait : une lame dans l’ombre.
Satisfait d’elle, son maître lui offre l’Etreinte.

Pour ses débuts, elle intègre la meute de son Sire spécialisé dans l’assassinat, et qui en est lui-même le Ductus. A cette époque, elle a déjà fait une croix sur sa vie d’avant pour pleinement embrasser celle-ci, et excelle rapidement dans les missions qu’on lui confie. Par la suite, elle est remarquée pour ses capacités par la Main Noire et finit par y suivre un second entraînement comme la plupart des Assamites Antitribus, au sein d’un de leur camp d’entraînement, dans le Sud-Ouest des USA, pendant sept nouvelles années. Au terme de celles-ci, elle est acceptée comme débutante. La Main Noire étant une sorte d'élite de combattants plus ou moins secrète, ayant pour but de préserver la secte - qui est le Sabbat, nous sommes d'accord, ça devient compliqué avec toutes ces sectes - par tous les moyens.

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1950’s – New York, USA.


Comme le veulent les coutumes de la Main Noire, un débutant n’est considéré opérationnel qu’après avoir au moins 3 missions à son actif, ce qui arrive à Mitsuko en cette année. Le large éventail de ses capacités, que ce soit pour combattre, ou plus précisément dans ce cas-ci, pour récupérer des informations la font introniser pour de bon au sein de la secte en tant que Censeur, sorte plus ou moins d'espions au sein du Sabbat chargé de récupérer tous types d'informations sans en avoir l'air. Ce qui n’arrive pas complètement par hasard, quand on connaît la suite des évènements à New York, avec la 3ème guerre civile provoquée par un coup d’état raté de la part d’un Brujah Antitribu. Mitsuko y sera envoyée pour récolter des informations sur la situation.

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1980’s – Atlanta, USA.


Atlanta, l’une des villes d’Amérique en proie aux conflits d’influence entre Camarilla et Sabbat. Et plus particulièrement en ce moment et non pas à l’avantage de la secte, suite à la venue d’un jeune Ancillae Tremere un peu trop entreprenant et sûr de lui, récemment nommé Primogène et Régent de la Fondation d’Atlanta. Un Kamut de la Main Noire est formé pour déloger l’inopportun de manière définitive, Kamut dont fait partie Mitsuko, ce terme étant à peu près l'équivalent de la Meute du Sabbat, mais formé dans un but précis et donc parfois temporaire. Encore une fois, elle est missionnée pour dévoiler le terrain et trouver une faille dans les défenses du Tremere permettant de l’approcher de la meilleure manière.

Cette première étape se déroule sans encombres, mais pas la deuxième. Une partie des renseignements récupérés se révèlent avoir été truqués dans l’objectif de se débarrasser non seulement du Kamut, mais aussi du plus grand nombre possible de Sabbatiques possibles. Mitsuko, qui s’était de plus en plus enhardie au fil de ses succès, enrage et reporte entièrement la faute sur elle-même et sa suffisance. Mais la bataille qui s’engage est alors incertaine, car désordonnée et brouillonne. Notre ninja se met en tête de corriger le tir et guette l’instant propice pour réparer son erreur.

Sa cible finit par sortir d’un affrontement imprévu, victorieux mais affaiblis. Il ne lui en faut pas plus pour saisir l’occasion : elle l’affaiblit d’avantage par son Quiétus, puis le diabolise.

Elle devient Assassin de la Main Noire suite à cela, dont le but est tout simplement d'éliminer toutes les cibles qu'on lui désigne.

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2014 -  Los Angeles, USA.


A l’instar de la plupart des Assamites Antitribus de la Main Noire, Mitsuko a peu à peu prit ses distances avec celle-ci, en partie à cause de ses problèmes internes, notamment l’évocation d’une éventuelle scission avec le Sabbat qui n’est pas de son goût. Elle a donc décidé, dans l’intérêt du Sabbat, d’opérer seule et de sa propre initiative pour continuer d’assurer la cohérence et la cohésion du Sabbat comme devait initialement le faire la Main Noire. Elle ne se cache pas non plus du fait qu’elle recherche un potentiel Infant qui pourrait la seconder dans cette entreprise. Son appartenance au clan Assamite n'est pas si évidente que cela, pas seulement à cause de ses opinions, mais surtout parce que sa peau est très loin d'avoir cette teinte ébène qu'on connaît aux plus vieux ou aux plus fervents diaboliste. Elle est restée plutôt claire en comparaison d'autres Assamites du même âge, bien qu'un peu assombrie, mais rien de très flagrant. La récente défaite du Sabbat à Los Angeles l’amène dans cette ville…

En dehors du forum

QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?

Pseudo : Lulu Confettis
Age : 19 ans demain.
Comment avez vous découvert le forum ? /
Votre avis sur le forum ? Ma foi, si je prends la peine d’y faire un DC, c’est qu’il doit être pas mal :3
Votre présence sur le forum ? Comme d’habitude.
Quelles sont les caractéristiques de votre race ? Validé par Nod.