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 Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce)

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MessageSujet: Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce)   Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce) EmptyMer 18 Sep - 1:22



Présentation d'  


Élior
VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE





Nom : Élior
Prénom : Oublié depuis longtemps.
Surnom : Le Bouffon (Pour les Humains),Le Pleurnichard (Pour les Caïnites).
Date et lieu de naissance : Sydney, Nouvelle-Gales du Sud, Australie, En 1896 le 22 mars.
Date et lieu d'étreinte : Région minière de Sydney en 1912.
Age + Statut d'âge : 101 ans de non-vie (117 au total), Jeune Ancilla.
Génération IXème Génération.
Faction Sabbat, je suppose.
Clan Renégat Assamite.
Poste Paladin à ce que l'on dit de moi.
Disciplines Puissance: III
Auspex: I
Dissimulation: II
Célérité: IV





    Feat. NanFe


Les apparences sont trompeuses
A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?



Je suis mal née. J'ai toujours penser ça, un assassin au cheveux rouge clair et aux yeux vert cendrée, franchement pas subtile dans son genre. Je sais! Vous allez me bassiner sur le fait que de nos jours, ils existent des teintures et des lentilles et bla bla... Mais j'aime mes cheveux, suffit d'un bonnet foncé et hop! (Mais sans blague, s'est vrai cette histoire de teinture?).
Pour le reste disons que je me glisse bien un peu partout où y'a de l'espace, je vous ais déjà raconté quand j'avais passé deux jours dans un conduit de 75cm de largeur maxi! J'ai failli déchiqueter ma cible en sortant, je vous jure... enfin passons.
Mon mentor, bon soyons honnête disons, Mon ''Sire'' ma appris à marcher comme quelqu'un de civiliser, vous voyer surement de quoi je parle? Un pas en avant (Sur les pieds c'est important!) et vous balancer légèrement les bras d'avant en arrière. C’était pas simple au début, mais s'est pas si mal d'avoir les mains libre finalement. Il ma également expliquer que pour ne pas avoir de conversation avec quelqu'un, je devais mettre les gens mal à l'aise, j'en ais oublier, mais le principale c'est de regarder la proi...l'autre dans les yeux sans les fermer et généralement sa suffit pour les faire fuir.
Je suis apparemment obliger de porter des trucs long (à l'exemption des cheveux où j'ai le droit, parce que c'est pas pratique pour la strangulation). Sinon manches longue, Trench coat (que pour les grandes occasions) sinon j'ai une veste en cuir, on ma dit que c'était la mode, alors je m'en suis acheté une!
J'aime bien le jean aussi c'est très résistant, mais pour les contrat je préfère quelque chose de plus souple et des costumes quand j'ai pas le choix (sa pique ces truc sérieux!).
Enfet j'éssai de cacher un affreux tatouage que mon mentor ma obliger à me faire... tatouer, Un espèce de clown avec un couvre-chef à grelots sur mon omoplate droite et qui remonte vers la nuque. Il jurait que c'était pour voir évoluer la couleur de ma peau, alors que je suis certain que non. Résultat on m’appelle le bouffon, dire que je sais même pas c'est quoi un bouffon... 


A la découverte de votre esprit
QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?



Mon mentor ma toujours dit trois mots: précision, minutie, rapidité (même si parfois s’attarder un peu sur la scène du crime, peux être amusant) et toujours être propre, à la maison au moins. Précision c'est bon, Minutie je sais pas c'est quoi et Rapidité OK. Mon mentor m'a dit que minutie aussi c'était OK, mais on sais jamais. Il à bien essayer de m'expliquer hein, mais il a dit que minutie c'était être méticuleux et la j'ai plus rien compris.
J'ai pas appris grand chose, je suis jamais aller à l'école, mais ces trois mots, bon disons quatre (la propreté compte pas tellement) me forme moi et ma façon de voir les choses (après avoir songer à la méthode la plus efficace de vous tuer).
J'ai un énorme truc que les gens appellent l’EGO, si quelqu'un me démontre que je fais mal mon métier, je deviens violent. On me demande de le spécifier maintenant sur mes contrats, alors que c'est arriver qu'une fois! C'était un gars qui s'appelait Max (probablement un surnom), lui il était un de ces tueur professionnel comme les humains les nommes. Il à négocier sur qu'elle sortie ont devait utiliser pour sortir, moi je voulais par le toit, mais lui il voulait utiliser la sortie de secours, l'abruti!
Sinon j'adore les défies, sur les assassinats hein, parce que j'ai essayer un truc qui s'appelait ''énigme'' et sa j'y arrive pas et sa me met les nerfs en boule. J'aime bien par contre tester de nouvelles façon de tuer quand j'en trouve une, soit par le billet de la télévision, les autres tueurs (même si se sont des chochottes, des fois ils sont inventif) ou bien le cinéma. J'ai essayé une fois, une arme que j'avais vue dans un film, c'était des cartes à jouer. Je me demande encore pourquoi les cartes ont pas traverser sa tête comme dans le film, ils l'ont à peines touchés et en plus il a rit de moi en appellent sa ''sécurité'' le pire moment de ma carrière. J'ai rencontré la personne qui la fait dans le film pour qu'il m'explique, mais il a pas voulu, il doit être comme les autres Caïnites qui ne partagent pas leurs secrets. Je sais me faire tout beau ou l'inverse, j'agis selon l'argent que les gens me donnent et comme un bon petit soldat bien entraîner. Si j'avais à me donner un défaut, je dirais impulsif quand je suis très irrité et j'étais un gros gourmand plus jeune, mais c'est une époque révolue (elle était béni l'époque de la crise économique, des gens sans logis qui habitait les rues où on avait qu'à se servir).
Ulrik mon mentor et sire, me disait toujours.
- Pleurnichard, fait attention aux mots qui sortent de ta bouche, car un mot est un serment que tu te dois de respecter.

Alors aujourd'hui j'essai de parler le moins possible, parce que j'ai déjà trop de serments à respecter et certains sont plus lourds que d'autres...


My life before and after...
MA VIE  DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...



L'an 1896 à Sydney:
Je suis née dans la ville ouvrière qu'était Sydney à l'époque en 1896 en pleine révolution industrielle (le nom de mon époque pour vous, je crois) quand l'Australie était riche en mine de charbon et d'or. Mes parents... que d’images floues dans ma mémoire, ma mère était tellement transparente que je ne me souviens même pas de son nom. Ce n'est pas elle qui ma appeler Élior, ni mon père d'ailleurs. Il m'avait appelé Liham je m'en souviens parce que les autres m'appelait Le porc ce qui m'a déplu énormément toute mon enfance, surtout avec le pratiquement inexistant nombre d'amis que ce nom m'a permit d'avoir. Mon père était comme tout les autres pères de l'époque alcoolique et d'humeur changeante, il pouvait tout aussi bien arriver à la maison brillant où idiot tout dépendais de ce qu'il servait à la taverne du coin. Je me souviens juste que mon père était un fondateur de ce que les gens appellent un ''Syndicat'' aujourd'hui, alors qu'à l'époque on les appelait juste les cinglés.

En 1906:
J'avais 10 ans quand je me suis mis à travailler, (c'est tard pour l'époque) mon père m'avait dégoté une place dans la mine de charbon près de Sydney, j'étais aux anges. En plus qu’ils venaient d'inventer une machine qui permettait de faire remonter le charbon plus rapidement et ainsi de pouvoir creuser plus profond. Et c'est moi qu'ils avaient choisi pour l'alimenter, ce n’était pas difficile, il suffisait que je jette du charbon dans le feu à chaque fois que l'aiguille du cercle au dessus du feu entrait dans la zone jaune (on m'a dit plus tard que c'était un thermomètre) et j'étais payé. Quelques semaines après mon premier jour, le propriétaire de la mine est venu avec quatre autres personnes pour me voir, il m'a dit qu'une chose et c'était uniquement pour savoir si j'étais bien le fils de mon père. J'ai répondu que oui et les hommes qui accompagnait le boss, ce sont approcher de moi et on commencer à me frapper, mon père m'avait dit de me tenir tranquille si je ne voulais pas perdre mon emploie, alors je me suis laisser faire. Quand ils sont partis, je me suis relevé et j'ai entendu le thermomètre siffler, quand sa siffle ce n’est pas bon signe on m'avait dit. Un énorme crie se répercuta sur les parois de la mine, c'était ma faute. On m'avait expliqué que si je n'alimentais pas correctement la machine, la personne qui pousse le chariot pourrais se blesser gravement ou pire. Je suis descendu d'étage pour voir si j'avais blessé quelqu'un, j'avais fait pire le chariot lui avait roulé dessus et lui avait sectionné une jambe et même une parti de son bras. L'homme est mort devant moi. J'étais bouleversé, j'avais 10 ans et je venais indirectement de tuer un collègue et qui plus est un enfant comme moi je ne le connaissais pas, mais tout de même. Ce soir la mon père était arrivé tellement abruti qu'il n'avait même pas remarqué mes blessures et il m'a blessé à l'intérieur. Le lendemain personne ne voulait me parler et la famille de l'enfant est venue à la mine uniquement pour... me cracher au visage et c'est dans cette atmosphère que j'ai terminé l'année à la mine.

L'année suivante:
Cette année là un autre garçon de mon âge est arrivé à la mine, il devait avoir 1 ans de moins que moi tout au plus et il a été affecté au même poste que moi! Il était vraiment gentil, il s'appelait Rudi et s'était mon premier ami. Rudi est mort l'année suivante sa maison à brûler, un incendie accidentel on m’a dit. On ne m'a jamais confirmé sa mort et j'ai toujours, au fond de moi, voulu le revoir et rire...

En 1911 la rué vers l'Or:
Cette année était très mouvementée pour les mineurs, les patrons avaient trouvés une mine d'or à proximité et comme l'or a plus de valeur que le charbon, ils ont pratiquement vidé la mine où je travaillais. J'ai perdu mon emploie et mon père était fou de rage, mais heureusement c'était un jour où il était brillant. J'ai passé un moment à chercher un emploie jusqu'à ce que j'en trouve un à la taverne de Sydney, heureusement pour moi, les patrons qui avaient trouvés la mine on fait venir beaucoup de gens à Sydney, la ville s'est agrandi et la taverne s'est remplie. C'est également cette années où les syndicats ce son développer et mon père était l'un des dirigeants, j'étais fier de lui, même si je le voyais tout les jours à la taverne où je travaillais.

1912 l'Étreinte:
C'était l'année où père c'est fait le plus remarquer aux seins des syndicats, il avait réussi à faire signer un bourgeois, un grand banquier de Sydney, c'était la première entreprise a accepter le syndicat, j'étais très fier de lui. Plus ma fête approchais, plus j'étais efficace au travail. J’étais tellement content de pouvoir bientôt fêter mes 16 ans, parce qu'à 16 ans tu pouvais partir de la maison et avoir ta propre famille. Une famille... j'étais intrigué, par ce qu'étais une famille, alors je posais des questions autour de moi, sa aurais été pas si mal je pense. Avoir des enfants, une femme et un chien, aujourd'hui ça me semble absurde, mais à l'époque j'étais très emballé et j'avais hâte de me trouver quelqu'un.
Ma fête approchait, il restait 12 jours, j'étais la personne la plus gai de tout Sydney j'en suis sûr.  Aujourd'hui à votre époque vous recevez des cadeaux, mais nous non, on recevait rien en étant née ouvrier, seulement la reconnaissance quand ton père te disais: Je suis fier de toi mon fils. Mais même ça je n'y ais pas eux droit, mon père était toujours trop dans les vapes pour articuler son propre nom.
La veille de ma fête à été disons... spécial, je travaillais et mon père était comme à son habitude assis sur une sorte de tabouret au comptoir et il discutait avec le barman, un vieil ami.

- Ressert moi la même chose!

- Ta d'quoi payé?

- N..on.

J'avais si honte de lui, pourtant il était un homme important pour les ouvriers de Sydney, il devrait soigner l'image qu'il projette et prendre plus soin de nous sa famille...

- Ressert moi et je te laisse ma femme pour la nuit et tu pourras faire touuuuut ce que tu veux.

Mon cœur arrêta de battre, j'avais bien compris? Il voulait prêter ma mère à ce barman vicieux, je n'en croyais pas mes oreilles. Je travaillais depuis quelques mois à la taverne et j'avais eu l'occasion de le voir avec des femmes. Il adorait la torture. L'image de ma mère attaché à son lit et ficelé comme un porc me resta en travers de la gorge. J'étais tellement abasourdi que je brisai le contour du verre que j’essuyais quelques secondes avant, faisant tourner tout les regards vers moi. Je m’excusai et le barman reprit.  
 
- Sérieusement, ta femme?

Je fixais mon père dans l'espoir qu'il ce mette à rire en disant '' Je t'ais eux!'' Mais il ne fit qu'un léger signe de la tête... en approbation. Je bouillais intérieurement, mais je n'arrivais pas à réagir, ma tête me disait '' Ne t'inquiète pas il plaisante, tu connais ton père il adore plaisanter!'' justement non, mon père ne rigole jamais.

- Marché conclu!

Le barman devait être aux anges, un abruti acceptait de vendre sa femme pour une simple bouteille d'eau de vie. Depuis quand son père était un tel... Grr!

- Je vais la chercher, je reviens, garde ma place.

Son père ce leva bruyamment et tituba jusqu'à la porte arrière de la taverne, c'était un accès à la ruelle toujours vide. Je pris quelques seconde à réagir je ne pouvais le laisser faire à sa guise. Je me lançai à sa suite et je sortis dehors dans la nuit, il allait sortir de la ruelle quand je l’appelai.

- Attend! Tu ne vas pas vraiment lui ''prêter'' maman, si?

Il tourna la tête vers moi et me dévisagea, ces yeux étaient vide, j'étais persuadé qu'il ne me reconnaissait pas. J'avançais d'un pas j'aurais pu le frappé, j'étais tellement enragé. J'avais remarqué des changements dans le comportement de mon père depuis que je le voyais pratiquement tout les jours à la taverne, mais je ne m’attendais pas à ce qu'il... J'étais dégoutté de l'homme que j'avais en face de moi.

- Surveille comment tu me parle, ce que je fais ne te regarde pas!

Comment? Il osait dire que ça ne me regardais, mais c'est ma... c'est ma.

- MAIS C'EST MA MÈRE! ESPÈCE DE MONSTRE!

Je hurlais de toutes mes forces, dans l'espoir qu'il se réveille.
Il se retourna vivement vers moi et avança le regard mauvais, je reculai et trébucha sur la terre inconstante de la ruelle. En quelque seconde il était sur moi une lueur de folie dans le regard.
Je hoquetai de surprise.


- Tu ne devrais pas exister! Tu n'étais qu'un moyen d'avoir de l'argent, tu m'entend! Espèce d'abomination! Crève!

Ces mains s'enroulèrent autour de mon cou et il sera très fort me privant d'air. Je suffoquais, il était devenu complètement fou. Mon propre père allait me tuer de ses mains qui en avait défendu d'autres, mais pas son fils. Je n'arrivais pas à me dégager, il était beaucoup plus fort que moi. En désespoir de cause je me débattis, la vue troublé, en lui donnais des coups à l'aveuglette. Je me débattais de toutes mes forces pour tenter de m'en sortir, en donnant des coups frénétiques et rapides.
Mon père gémit plusieurs fois sous mes coups et la force autour de mon cou s'atténua progressivement, je frappai plus fort pour qu'il me lâche définitivement et je réussi. Mon père n'appliquant plus aucune force sur mon cou, j'ouvris les yeux et le regarda.
Mon père resta figé au dessus de moi les yeux vitreux et un mince filet de sang goutta de sa bouche à mon visage. Je clignai des yeux comme pour sortir d'une transe et mon père s’effondra à côté de moi, sans souffle.
Je me mis sur mes genoux et commença à tousser dû au besoin de respirer. Quand ma main se porta à ma bouche je me figeai et la fixa... j'avais dans les mains le verre que j'avais brisé plus tôt, couvert du sang de mon père. J'avais oublié de le déposé en sortant précipitamment et j'avais, avec ce verre, tué mon propre père.
Je pivotai la tête vers le corps de mon père, sans vie.
Je me mis à rire, un rire désespérer qui cachais une grande souffrance et devant l'incongruité de mon rire, je me mis à rire encore plus fort.


- Petit...

Je toussai pour atténuer les éclats de rires qui me restaient au travers de la gorge et me tourna vers l'inconnu. Il était probablement venu m’arrêter pour le meurtre de mon père, je me détournai de lui, regarda le ciel et laissa tomber le verre que je tenais toujours entre mes mains couverte de sang. J’inspirai profondément et un profond sentiment de calme me submergea, je ferma les yeux et me détendis. J'étais calme...

- C'étais à moi de le tué, mon travail...

J'ouvris brusquement les yeux, qu'avait-il dits? Il devait tuer mon père pour le travail.

- Qui vous à engagé? Si j'entend bien ce que vous me dites, vous êtes une sorte de tueur à gages n'est-ce pas?

L'homme sourit sous son long manteau en laine. J'avais visé juste.

- La coalition minière d'ici, les ''boss'' si tu préfères.

Je souris, c'était forcément parce que mon père essayais de défendre les droits des mineurs d'ici qu’ils l’ont engagé pour le tuer, c'était logique après tout, les ouvriers n'étaient que du bétail pour eux...

- Ainsi que toute sa famille...

Je me figea, me retournant vivement vers l'homme, mais il disparut sous mes yeux et se retrouva derrière moi en une fraction de seconde. J'allais me retourner quand quelque chose de froid et irrégulier me traversa la poitrine et ressorti devant moi. Je baissai les yeux et fixa sa main?... Un flot de sang s'écoula de ma poitrine, ma tête s’effondra et je m’éteignis le ciel dans les yeux.

Une douleur lancinante dans mon cou me tira de ma torpeur, j'avais atrocement mal au torse, je n'arrivais plus à respirer. Je voulu me redresser, mais quelque chose où quelqu'un me retint fermement au sol.
Je m'affaiblissais de seconde en seconde et mon corps se détendit.


- Dors.

Ce mot se répercuta dans mon esprit.
Il plaqua sont poignet sur ma bouche et un liquide chaud s'écoula dans ma gorge, je m’étranglai et toussa sous l’afflux soudain. Trop affaibli pour protester plus que ça, une larme roula sur ma joue, je fermais les yeux et sombra.

Le réveil fût brutal.
Je clignai des yeux plusieurs fois pour m'habituer à l'obscurité de la pièce où je me trouvais, malgré un minuscule rayon de soleil qui traversait la chambre. Beaucoup trop luxueuse pour être la mienne. J'étais dans un immense lit à baldaquin, un peu désorienter, je me levai et me dirigea vers la porte double. Je fis quelque pas et une cuisante douleur me déchira la jambe, je bondis dans un coin de la chambre. Je jetai un coup d’œil à ma cheville et fût sidéré, des cloques commençaient à se former sur la peau. Je regardai où j'avais mis le pied, mais je ne voyais que le soleil... le soleil? Je tendis une main tremblante vers le rayon de soleil qui filtrait de la fenêtre, dès que le bout de mes doigts toucha le rayon de la fumée se forma et je la retirai vivement. Mais qu'est-ce qui m'arrive? Je regardai où le rayon terminais pour pouvoir l'éviter, mais j'étais coincé dans mon coin.
J'étais la tête sur les genoux dans mon coin à attendre que le soleil disparaisse quand je me mis à avoir mal... très mal et la douleur se démultipliait chaque minute.
Dès que le soleil fût coucher je me jetai sur la porte, pendant mon attente j'avais exploré l'armoire qui était du bon côté de la chambre et j'y avais trouvé quelque chose à mettre. Avant de quitté je pris un manteau au cas où et je sortis dans la soirée encore jeune.
J'étais dans un quartier que je ne connaissais pas, mais je pu facilement retrouver mon chemin vers la maison. Je marchais dans la rue, le col de mon manteau en laine remonté, quand je remarquai que beaucoup de gens me fixais, je m’arrêtai quelque seconde et regarda autour de moi. Autrefois mes amis, aujourd'hui, ils arboraient tous une mine... accusatrice? Je repris la route vers ma maison, mais tous se retournais sur mon passage et je pouvais sentir leur regard dans mon dos, des regards froid qui me glacèrent les os.
Ils savent... Ils savent ce que tu as fais à ton père, tu as tué un homme qui défendait leurs droits.
Leurs yeux m'accusaient:

Regarde c'est lui...

Il a tué son père...

Son propre fils...

Les voix dans ma tête n'arrêtaient pas.

Quel monstre...

Ils devraient l'arrêter...

D'autres voix, d'autres et encore d'autres.
Assez, arrêter... arrêter, s'il vous plait arrêter... ça suffit!

- ARRÊTERRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR!

Des hoquets de surprises fusèrent autours de moi, mais je m'en foutais. Je couru le plus vite possible pour rentré chez moi, dans ma maison avec ma mère.

J'arrivais devant la porte de l'appartement et je me mis à tambouriner à la porte.

- Maman.

Je tourna la poignée et poussa, la porte était coincé! Je poussa plus fort, la porte céda enfin et j'entrais dans l’appartement.

- Maman?

Je me dirigeais vers la cuisine et me figea quand je tomba nez à nez avec des pied qui se balançaient de gauche à droite. Non pas elle... Je reculai d'un pas et leva les yeux, ma mère était pendu à une poutre du plafond la chaise gisait sous ces pieds nue. Elle avait le teint crayeux et les lèvres bleuie. Ses doigts étaient écorché et ses ongles cassés, elle avait essayer de se libéré, probablement un réflexe.
Je m'effondrais à genou et porta la main à ma bouche maman... Et je permis à mes larmes de couler.

Des pas précipiter dans les escaliers me réveillèrent de ma transe et m'aidèrent à me relever, je m’essuyai les yeux et grogna. Mon corps me brûlait, je n'avais plus de sang dans mes veines, mais de l'acide. Quelque chose hurlait en moi, j'étais seul, perdu et mon sang bouillait dans mes veines. J'ai si soif... Des hommes déboulèrent dans l’appartement et hurlèrent.

- C'est lui arrêté le!

Je ''là'' libérai et tout devint noir.

Je n'ais des 5 années qui sont passées que des images floues, des carnages pour la plupart, du sang tapissant les murs de gens que je tuais sans raison...
J'aurai probablement fini par me faire tuer par des humains ou les miens s'il ne m'avait pas retrouvé.

J'ignore où ni comment il m'a retrouvé, mais je me souviens de la doubleur, de longue sessions de tortures. Il m'arrive certaine nuit de me réveiller avec cette sourde douleur dans les os, la sensation d'un pieux qui s'enfonce doucement dans ma poitrine, mes hurlements désespérer.

1917 Le réveille:

Je me suis réveillé une nuit et cette fois c'était bien moi, j'étais enchaîné à une sorte de long tuyau de fer qui était bien encré dans le sol. Je souffrais, mon torse était nue et couvert de sang séché et de cicatrices, mes bras étaient tordus autour du tuyau et les chaîne serré me faisaient mal. Je gémis et un homme sorti de l'ombre.
Il était armé d'un pieu prêt à l'utiliser sous son long manteau de laine, je ne le reconnu pas immédiatement.  

- Prêt pour une autre séance petit? 

Je grognai, j'avais les articulations raides






     





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Votre avis sur le forum ? Bien construit, un peu ambigu au début sur l'année du jeu, plus libre que beaucoup d'autres +1.
Votre présence sur le forum ? Visite 1 ou 2 fois par jour minimum, s'il se passe un truc sympa voir plus!
Quelles sont les caractéristiques de votre race ? OK par Nod.





Dernière édition par Élior le Jeu 26 Sep - 20:27, édité 17 fois
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MessageSujet: Re: Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce)   Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce) EmptyVen 20 Sep - 13:08

Même si tu n'as pas fini, une ou deux remarques :
-Les cheveux rouges n'existent pas naturellement. Tu peux être un rouge très claire, mais pas rouge sans coloration.
-Les assam' avec le temps ont leur peau qui noircie
-Les assam' forment pendant 7 ans (en tant que goule) le futur assam'
-Tu as choisi jeune ancien ce qui est impossible vu ton âge, voir ce topic : https://vampiremasca.forumactif.org/t47-disciplines-mode-d-emploi
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MessageSujet: Re: Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce)   Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce) EmptyVen 20 Sep - 18:54

- Assamite renégat sa existe non? (à moins que vraiment il soit impossible de les transformer avant 7 ans, problème génétique etc.)
- Pour l'âge, désolé j'ai fais une faute de frappe (mais j'avais bien réparti 10 points et non 15)
- Je savais pour la peau. (Mais c'est après 5 ans en vampire qu'elle commence à noircir, il me semble)
- Cheveux corriger.
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MessageSujet: Re: Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce)   Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce) EmptySam 21 Sep - 13:46

En théorie, tu as "deux types" d'assam'.
Les Assamites "normaux" et les anti tribu.
Les "normaux" sont sous une malédiction qui fait que le sang vampirique (et donc la diablerie) leur font mal.
Les anti-tribu, refusant de se soumettre à la malédiction ont rejoind le sabbat.

Théoriquement on peu néanmoins étreindre un assam' sans attendre les 7 ans, mais t'es "moins bien vu". Le 7 ans servent souvent de sélection naturel, il arrive que parfois on prenne plusieurs futur assam' et ils doivent se tuer les uns les autres, le survivant gagnant le droit d'être étreint Smile

( là jte donne juste des orientations Wink )
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MessageSujet: Re: Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce)   Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce) EmptyLun 14 Oct - 13:27

Bonjour Elior !
Je viens un peu aux nouvelles, savoir où tu en es avec ta fiche, et quand tu penses pouvoir la terminer.
Si tu as des doutes, des questions, surtout n'hésite pas Wink
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MessageSujet: Re: Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce)   Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce) EmptyLun 25 Nov - 23:11

Pas de nouvelles depuis plus d'un mois, j'archive la fiche... Tu pourras la redemander si tu reviens.
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MessageSujet: Re: Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce)   Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce) Empty

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Élior, Le Bouffon Pleunichard En cours* (J'ai le cœur en pièce)

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