| Sujet: Nathanael Pearson, Nouveau Régent de la très sainte Camarilla Mar 17 Sep - 22:36 | |
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Présentation de
Nathanael Pearson VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE
Nom : Pearson Prénom : Nathanael Surnom : Qui oserai m'en donner un ? Patronymes : Déclaré Clairvoyant, Incorruptible et Digne de Confiance sur les domaines américains. Date et lieu de naissance : Angleterre, 1532 Date et lieu d'étreinte : Angleterre, Hiver 1572 (dix ans en tant que Goule) Age + Statut d'âge : Ancien, 440 ans Génération 8 ème Faction La très Sainte Camarilla bien sûr Clan Ventrue Poste Anciennement Sénéchal, déclaré Régent temporaire nommé par le Justicar Lucinde Disciplines Domination : 5/ Force d'âme : 4/ Présence : 5/ Auspex : 3
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Les apparences sont trompeuses A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?
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On le voit de loin. Pas qu'il ait une crête ou une chemise à pois mais il a une présence, un charisme qu'il est dur d'oublier, d'occulter. Il a de la ''gueule''. Quand il entre dans une pièce, on ne peut que le remarquer, le voir, se courber presque devant lui. Il est un personnage important et outre cela, il a une aura qui impose le silence, le respect. Grand, sculpté par un passé de militaire, il a un beau visage, qui semble à la fois froid et doux par ses yeux bleus glaces, presque perçants. Ils peuvent donner l'impression d'être compatissants, mais aussi presque tueurs. Ils ont déjà fait trembler plus d'un semblable. Son visage est assez fixe, figé, comme de cire, de marbre face au monde qui l'entoure. Un menton carré, un visage aux traits assez durs, prononcés, une coupe de cheveux à la fois noble et militaire, il a tout de l'allure d'officier qu'il avait d'avant. Niveau vestimentaire, il est assez carré, costume hors de prix, tiré à quatre épingles, il est irréprochable sur sa tenue. Seul signe étrange sur son corps, cette assez grosse brûlure qui orne sa jambe gauche, reste de l'attentat qui a marqué un tournant dans sa vie. Cette brûlure n'affecte plus ses capacités, il peut marcher, courir sans le moindre souci, mais parfois il a des douleurs fantômes. Pour éviter de les faire remarquer, il a toujours une canne (une canne épée bien sûre) sur laquelle parfois il s'appuie quand il sent ces douleurs venir.
A la découverte de votre esprit QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?
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Nathanael est un homme froid, distant. L'on pourrait penser qu'il s'agit de l'image qu'il souhaite renvoyer, et qu'il devient plus chaleureux lorsqu'on le connait mieux. Mais il n'est pas le genre d'homme à se laisser aisément approcher. Les émotions humaines telles que l'amour, l'affection ou la pitié sont de grandes faiblesses que l'on se doit de combattre lorsque l'on a une éducation militaire. Il est assez inexpressif, observant le monde qui l'entoure, presque imperturbable. Ils sont rares ceux qui l'ont déjà vu plus émotif, que ce soit par joie, tristesse ou colère, mais ceux qui ont connu cette dernière émotion ne sont pour la plupart plus de ce monde ou sont partis très loin après avoir été exilés ou pire encore. Il n'y a qu'une personne encore dans ce monde qui arrive à le rendre presque humain. Une femme, une beauté à la peau blanche, aux doux et fascinants yeux bleus, aux longues boucles noires, sa Dame qu'il garde dans une pièce qui n'est qu'à lui à l'Elyseum, dans un cercueil de verre pour pouvoir l'admirer, savourer la douceur de sa présence. Quelques mois qu'elle est en torpeur, et il est son gardien en plus d'être son infant. Il l'aime à la folie, bien plus qu'un lien de sang qui commence à s'estomper. Il l'aime et sa présence est presque une drogue. Il passe chaque soir quelques instants peu après son réveil à ses côtés avant de partir s'occuper de ses tâches, et finit chaque soir proche d'elle avant d'être pris par le sommeil. Personne n'est au courant d'où sa Dame dort dans les murs du Manoir, dans un endroit protégé, dans une pièce aménagée de manière à résister à une bombe nucléaire. Bien sur, il est le seul à posséder la clef, objet qu'il porte dans son corps et qu'il s'arrache de la peau tous les soirs avant de la remettre, ainsi que d'autres systèmes qui empêchent qu'on s'approche d'elle. Il est cependant un homme juste, qui punit sévèrement les incapables et les fautifs, mais sait également récompenser les semblables efficaces, par des postes ou des patronages, voire même parfois des mentorats de disciplines ou de connaissances. Il gère la Cité d'une main de fer dans un gant de fer, mais il sait être à l'écoute des plus jeunes. Il n'est pas de ces Anciens arrogants qui considèrent les Nouveaux-Nés comme de la chair à canon ou un ramassis d'idiots. Il aime au contraire donner sa chance à chacun, et estime que si les jeunes ont été étreints, c'est qu'il y avait une raison. Malheur à vous, en revanche, si vous échouez dans la tâche qu'il vous aura confiée. C'est un serviteur de la Camarilla pur et dur. Certes, en tant que Ventrue, il apprécie le pouvoir qui lui a été conféré, et savoure chaque victoire avec délectation, mais il n'est pas le genre d'homme à se reposer sur ses lauriers. Il accueille sa nomination au poste de Régent comme un nouveau défi, et compte bien se démener pour rehausser l'image de la Praxis auprès de la Justice, et ainsi espère conserver définitivement le poste de Prince ou alors que le futur Prince sera digne de la très Sainte Camarilla. C'est un militaire avant tout, il est fait pour obéir, pour mener des batailles, il n'aime pas être directement au cœur des manigances et des jeux de cours. La frappe et la stratégie sont plus dans ses cordes.
Proie : Il aimait les grands vins de son ''vivant'', et maintenant, c'est parmi les hauts gradés de l'armée qu'il s'abreuve. Il a sa disposition quelques calices de ce cru, et les demande régulièrement en plus des goules à son service.
My life before and after... MA VIE DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...
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Tous naissent dans le sang et la douleur, mais pour Nathanael, la suite fut plus belle. Fils d'une femme de la noblesse et d'un haut militaire de l'armée de sa Majesté, son père le promettait déjà à une belle carrière. Dès son plus jeune âge, son père s'occupa de son éducation. Rigueur, discipline, toutes les qualités d'un bon soldat lui étaient enseignés par lui et des maîtres qu'il faisait venir de très loin pour s'assurer que le garçon soit le mieux formé possible. Il sut très rapidement lire, écrire, et son père lui fit lire très jeune de grand auteurs de littératures et de philosophie. Ses auteurs ont guidés ses pas dans ce monde, autant que tout ce qu'à pu lui enseigner son père et ses précepteurs. Le maniement des armes, des mots et des lettres, tout cela, sa grande intelligence, sa grande ambition et volonté et sa perspicacité payèrent à son entrée dans les écoles d'officiers. Il y fit de belles années là bas, sans être le premier de ses promotions, il était un très bon élément, prometteur.
Il quitta l'école pour intégrer l'armée sous l'aile d'un colonel qui s'occupa de lui, de l'aider à faire ses premières armes dans le dur milieu militaire. Il lui apprit les ficelles, les petits tocs à avoir. Il lui faire comprendre comment parler avant qu'on lui demande, comment agir sans qu'on lui dise. Les supérieurs détestaient les jeunes recrues qui n'étaient bonnes à rien. Lui apprenait vite, savait être précisément là où il fallait, à l'instant où on le cherchait … Un jeune homme, plein de ressources, attentif, silencieux mais sachant dire précisément ce qu'il fallait quand il le fallait. C'est ainsi qu'il commença à gravir les échelons, cherchant à aller toujours plus haut dans un souci d'être celui qui décide et non qui obéit à des ordres dans les sens duquel il n'allait pas. Il passa quelques années en tant que militaire, toujours sous l'aile du colonel. Lors d'une soirée, le vieux colonel décida de le changer un peu du monde un peu rustre de l'armée pour l'emmener dans une soirée de la haute où il était lui-même invité.
Une soirée très spéciale, où il découvrit un nouveau monde où les armes étaient bien différentes mais où les conséquences étaient plus terribles encore. Il fit la rencontre de nombreuses personnes, en partie présenté par son mentor, une autre partie en allant lui même faire le premier pas. C'est ainsi qu'il parla un long moment avec un conseiller du monarque en place, qui décida de l'accepter en tant que secrétaire en échange de leçon, d'apprentissage dans ce monde qu'il découvrait peu à peu. Un monde bien plus dangereux et féroce que celui du monde de la guerre, où la moindre erreur vous coûtait pire que la vie : le déshonneur total. Il avait déjà la vingtaine à cet âge et malgré la mort de son père au combat, et différents drames familiaux, il réussit à poursuivre sa route, visant toujours plus haut.
Et à l'âge honorable de vingt-deux ans, il épousa une jeune noble qu'il n'aimait pas réellement pour continuer à avancer dans la société. C'était une partie d'échec géant et il voulait rafler les plus hauts grades. Son nouvel mentor, le conseiller mourut de sa belle mort et le monarque décida de garder le jeune homme, qui approchait la trentaine, à son service. Une homme vigoureux, dans la fleur de l'âge, père de deux enfants, mari honorable, très propre sur lui, aucun tort à son actif. Il cherchait à être l'être parfait, le politicien parfait, à la manière du Prince de Machiavel. Pas de soirée au bordel, ou a chasser le dragon, pas de vice. Un homme exemplaire, qui cachait ses manipulations et ses plans derrière un visage calme, presque inexpressif. Il n'avait pas de défaut à proprement parler, mais il n'étais pas non plus empathique à souhait, assez froid, renfermé. Il était sans défaut mais aussi froid que le diamant qu'il avait voulu devenir.
Si il avait espérée une vie belle, elle changea bien vite du tout au tout. Depuis quelques temps à la cour, il y avait une personne de présente, une invitée d'un noble de la cour, une lointaine parente que Nathanael avait observé de loin. Une jeune femme éblouissante, autant par son intellect que par sa manière de ''magnétiser'' les foules dans un sens. Une beauté à la fois attirante et inaccessible. Nathanael sentait qu'elle était différente, et surtout une sorte de pressentiment l'empêchait, le forçait à se tenir loin d'elle. Mais ses pensées, ses paroles, tout le poussait pourtant à l'écouter, à s'approcher des cercles de discussion qu'elle formait. Il aimait sa manière d'être plus qu'une potiche au bras de son mari. Une femme qui réfléchissait, qui voulait être … il admirait cela, ce qu'il ne retrouvait pas chez sa propre épouse. Même s'il se faisait très discret, se contentant d'écouter, elle finit par le remarquer, et l'approcher. Les deux devinrent de plus en plus proche au final, parlant de nombreuses heures ensemble. Jamais, malgré l'attirance, l'aura qu'elle dégageait, jamais Nathanael ne trahit son honneur ou ne se mit en disgrâce. Il était un confident, un courtois un bel ami mais jamais un amant.
Pourtant, la relation alla plus loin qu'il ne le cru, et sans le vouloir. Mais on avait des projets pour lui, et il n'eut aucun choix. C'était un jours ordinaire pourtant. Un jours simple, comme tant d'autres. Pourtant, ce soir là, alors qu'il se mit à travailler dans son secrétaire, un bruit assourdi retentit derrière lui. Le souffle de l'explosion l'envoya au loin, l'encastrait presque dans un mur. Tout hurlait autour de lui, les explosions, son corps de douleur, les gens au dehors, tout hurlait avant qu'il n'entends plus rien … un attentat, un terrible attentat avait ravagé le premier étage de sa demeure, son secrétaire et les chambres voisines. Le silence se fit, ses oreilles étaient comme devenue sourdes en moins d'un instant. Son esprit était sonné, il ne voyait plus rien, c'était flou. Dans les vapes, il tomba sur le sol, s'écrasant sur le plancher à demi brûlée. Sa jambe était plus que douloureuse, il ne la sentait presque plus. Il n'arrivait pas à comprendre, son esprit était déconnecté du monde. La seule chose dont il se souvint, c'est d'une chevelure de jais au milieu des flammes et une silhouette sombre s'approchant de lui à grand pas.
Ce soir là, on annonça la mort de Nathanael Pearson, mort dans un attentat qui visait sa demeure. Aucune autre perte, sa famille, les domestiques … quelques blessures superficielles mais rien de grave. Il n'y avait qu'une victime, réduite en cendre dans son bureau. On ne pouvait pas identifier clairement le corps mais personne ne se trouvait dans cet endroit à part lui. Sa mort fut apprise le lendemain à la cour et un grand service funèbre lui fut offert, en sa mémoire...
Du moins, cela aurait pu être réellement en sa mémoire si Nathanael Pearson était réellement mort. Car c'est bien vivant qu'il se réveilla dans un lit, habillé simplement. Il prit quelques instant à se rendre compte de l'endroit où il se trouvait avant de remarquer l'ombre qui s'approchait de lui, s'asseoir sur le bord du lit. Une capuche fut ôtée et il vit le visage de la belle aux longues boucles noires, à la peau délicate, si claire, et ses yeux fascinants. Elle était là, face à lui, assisse à son chevet, un doux sourire sur le visage. Des choses lui semblaient différentes. La voix même de la jeune femme alors qu'elle lui murmurait :
-Bienvenue parmi nous, Nathanael.
Pourquoi avait-il été choisi, pourquoi l'avait arraché à sa vie ? À cause de son don, de sa capacité de réflexion d'analyse. Sur un échiquier il était du genre à prévoir chaque coup de ses adversaires et à être capable de mettre à terre le roi adverse en moins d'un instant. C'était pour ça que celle qui devient pour fit tout d'abord un serviteur l'avait arraché à son monde pour le plonger dans les ténébres du monde des non-vivants. Pendant une semaine, elle et ceux à son services s'étaient occupés de lui, de sa fièvres, de ses blessures. Elle avait tout prévu, elle avait prévu sa ''mort'' humaine pour que tout pont soient coupés, qu'on ne le recherche pas, qu'ils soient à l'abri de possible problèmes. Quoi de mieux de le faire passer pour un mort ?
Pendant dix ans, il fut à ses côtés, la servant toujours avec la plus grande loyauté, la protégeant de son esprit et de son corps. Liée à elle par l'esprit et par le sang, il l'aimait, tellement plus qu'il n'aimait aucune femme humaine. Elle était l'être parfaite à ses yeux. Il savait pourtant être ce pourquoi on lui avait donné le sang d'une ancienne. Il ne se laissait pas souvent prendre par ses sentiments, mais malgré tout, lorsqu'ils étaient que tous les deux, il l'avait son cœur et son corps s'expliquer. Amant, serviteur, conseiller, il devient très vite le bras droit de la vampire. Ce furent des années dans l'ombre où il observait ce nouveau monde qu'il avait côtoyé un moment sans le voir. Il était fasciné, un élève modèle qui voulait tout découvrir. Il n'eut pas uniquement des contacts avec sa future Dame. Il eut l’occasion d'écouter d'autre clans, les lunatiques, les sages, les vagabonds qui désormais sont entre les deux camps.
Au bout de cet apprentissage, il reçut le cadeau tant espéré : l'étreinte, faite par celle qu'il aimait, un soir où il la tenait tout contre lui.
Enfin, il devint un nom dans ce monde qui ne le voyait même pas. Les serviteurs n'avait pas le droit à la parole sans autorisation. Maintenant, sa voix pouvait commencer à sortir, à s'exprimer, à résonner dans les lieux de rassemblement. Sa Dame en était fière d'avoir ramené un tel semblable.
Pendant des années, il se fit un nom dans ce monde, et au fur à mesure, les anciens lui accordèrent de plus en plus de confiance. Il eut de nombreux postes, Gardien d'Elyseum, Prévot … il était un homme de savoir, un commandant mais aussi un loyal second. Jamais une action de travers, jamais il n'eut de vice …. le même diamant qui pourtant avait un défaut, l'amour inconditionnel qu'il portait toujours à sa dame. Il lui était presque impossible de la laisser partir. Une semaine sans sa présence et son manque venait brouiller son esprit. Il n'arrivait pas à se passer d'elle. Quand elle devait s'absenter un long moment, il craignait pour lui et pour son chemin qu'il arpentait, pour ses échelons qu'il gravissait. Et aussitôt qu'il pouvait la tenir à nouveau contre elle, il le faisait, jamais en public. Ils étaient courtois devant le monde mais à l'abri, c'était un amour passionné. Après de nombreux succès autant en tant que meneur d'homme, en tant que stratège, il suivit sa dame aux États-Unis sans hésiter un seul instant. Elle et lui furent invités par un ami proche de sa Dame. Dans la ville de New York. Nathanael, comme de nombreux, fit parti de ceux qui aidèrent à libérer cette ville de l'emprise de la secte du Sabbat. Ce fut une de ses victoires parmi de nombreuses, une de celle qui lui permit de devenir un ancien, et de prendre le poste prestigieux de Sénéchal sur le domaine de LA, lieu de naissance de la Dame, dans un petit village qui désormais n'existe plus. Pour une fois, ils décidaient de ne pas réellement bouger. Cette région était calme, loin des tumultes qu'ils ont pu connaître avant. Nathanael secondait efficacement le Prince sans pour autant y mettre autant de rage qu'avant. Même si ce territoire n'était pas entièrement camariste, il y avait une sorte d'équilibre. Fragile, qui ne dura pas réellement … Sa Dame commençait à fatiguer du monde, la terre l'appelait, le sommeil était plus fort que tout. Et elle s'endormit, d'un baiser de son amant. Nathanael, par promesse, enferma sa belle au centre d'un cercueil de verre, sécurisé bien sûr, dans une salle sécurisé bien sûr, tant que la seule clef, l'ultime protection entre le monde extérieur et son amour est caché en lui, sous la peau, proche de son cœur. Pendant des années, tous les soirs après son réveil, il passe embrasser le cercueil de son amour avant de venir s'endormir à ses côtés. Mais récemment, la situation s'est bien trop dégradé, et il n'a pas pu, pas su être assez vigilant pour empêcher le déshonneur de la très sainte Camarilla. Et comble, c'est à lui qu'on donna la suite, à qui on donna les rênes… et bien il prouva qu'il était toujours celui qu'on avait si souvent reconnu. Pendant deux semaines, il fit jouer toutes ses relations, toutes les autorités qu'il connaissait. Pendant des jours, il fut loin de la ville dont il venait d'obtenir, pour trouver des renforts, pour tenter de faire ce qu'il avait laissé dans un sens arrivé. Il n'avait pas voulu être trop proche du Prince, d'être trop dirigeant. Maintenant, il avait le pouvoir de changer les choses, et elles le furent. Une vague déferla sur la ville des anges déchus, ravageant tout sur son passage. En à peine une semaine, le sang de dizaines de sabbatiques se répandit dans les rues de la ville, des petits nids à de plus grandes bases. Près de la moitié des sabbatiques de la ville furent soit tués, soit eurent le temps de s'enfuir sous la vague déferlante qui les ravageaient. Une semaine ou la Mascarade était si fine que les humains auraient pu voir à travers de sa surface étirée. Pour son échec, il eut une victoire, la Camarilla a pris de l'avance, a gagné une bataille. Une faible victoire en comparaison des pertes mais peu lui importe. Plus que jamais, sa Dame est en sécurité dans la ville. La tension dans la ville est bien plus grande mais Nathanael ne faillira pas.
En dehors du forum QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?
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| Sujet: Re: Nathanael Pearson, Nouveau Régent de la très sainte Camarilla Mar 17 Sep - 22:47 | |
| Mes salutations Monseigneur, votre venue annonce un changement qui je l'espère sera bénéfique pour notre sainte Camarilla. |
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| Sujet: Re: Nathanael Pearson, Nouveau Régent de la très sainte Camarilla Mer 18 Sep - 6:46 | |
| Il est doux que la tempête fasse enfin place à l'Ordre. Je me présente Ismahel Lucilius Gaebius, primogène du Clan de la Rose à Los Angeles, Californie. Puisse l'avenir m'accorder de vous rencontrer, il est des événements dont nous devons incessamment sous peu parler. |
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| Sujet: Re: Nathanael Pearson, Nouveau Régent de la très sainte Camarilla | |
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| | | | Nathanael Pearson, Nouveau Régent de la très sainte Camarilla | |
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