Et pour quelques kilos de coke de plus...

Business, business... Pour quelques heures, je laissais la gérance du club à Petruccio, le temps de m'occuper de rendre un "service" à un "ami" sabbatique. Ce jeune Brujah avait des soucis avec des collègues humains dealers de cocaïne. Comme il avait été étreint récemment, il n'avait pas encore la force suffisante pour leur régler leur compte à tous en même temps, et il tenait à récupérer ce que les humains lui avaient légitimement volé.

Je prenais donc la direction d'une petite baraque soi-disant abandonnée dans un coin reculé de la plage.
A cette heure de la nuit, il n'y avait pas âme qui bougeait près de l'océan. Je montais tranquillement l'escalier de vieux bois mouillé qui menait vers la maison, et m'avançais vers le type qui gardait l'entrée.
Evidemment, dès qu'il me vit approcher, il montra son fusil d'un air menaçant et me demanda ce que je foutais là. Je profitais de ce que son regard croisait le mien pour formuler simplement mon désir :

Va tuer tes potes.

Et j'attendis tranquillement à l'extérieur de la maison. De nombreux coups de feu résonnèrent, par les fenêtres je voyais les lueurs des balles et du sang gicler. Lorsque le vacarme cessa, j'entrais dans la maison et me dirigeais vers le lieu du carnage. Six hommes gisaient au sol, criblés de balle. Un septième était adossé contre un mur, bien endommagé. J'empoignais une des armes au sol et lui logeais une balle dans la tête.
Et voilà. Je n'avais même pas eu besoin d'utiliser ma propre arme. Une rixe entre dealers qui avait dégénéré, c'est triste.

Je fis rapidement le tour de la maison pour récupérer les sacs contenant la drogue, et quelques beaux billets sales. La mission était accomplie, en dix minutes tout avait été réglé, ni vu ni connu.
Je me dirigeais vers la sortie de la baraque, estimant qu'il était temps de partir, au cas où des flics se pointent, mais mon regard fut attiré par les dealers au sol.
Cela faisait si longtemps que je ne m'étais pas fait un petit trip...
Allez, en cadeau bonus.
J'attrapais l'un des cadavres par le col de sa chemise et le levais d'une main pour lui ouvrir la gorge d'un coup de crocs et absorber une bonne petite quantité de sang cocaïné. Puis je léchais la plaie pour qu'elle se referme, avant de sortir pour de bon de la maison.

Je pourrais alors tranquillement aller profiter des effets de la drogue un peu plus loin sur la plage...

Invité

Venice Beach. Excellent coin pour tourner une scène de sexe, ou de crime, à condition de choisir un endroit tranquille et discret. A moins qu'on ne l'ai mal renseigné, le premier cas était plus probable, le style brujah est rarement très sensuel. Venu voir comment tournaient les affaires d'un petit jeune, Patt gara sa voiture au bord de la plage, à proximité de la maison en ruine, et pris une grande inspiration.
*Sang et poudre, quel doux fumet... J'espère que je n'ai pas raté l'artiste.*

Son regard balaya la plage à la recherche de quelque chose de "vivant", et avisa l'homme qui sortait de la maison, l'identifiant rapidement comme un semblable par son aura. Il évalua l'angle rapidement et choisi son entrée en scène. Peut être était ce gâcher de l’énergie, mais bon, autant le saluer dignement.
Puisant dans son sang pour démultiplier sa vitesse, il enclencha rapidement les feux de sa Ford Mustang, éclairant brusquement le vampire et en jaillissant pour se jucher debout sur le capot de la voiture, les bras écartés dans une salutation majestueuse.

Bonsoir! Et bravo pour le massacre. C'est toi Randy?

Le temps de redescendre les escaliers menant à la plage, je ressentais déjà les premiers effets de la drogue.
Certes, les effets autrefois amusants du coeur qui s'emballe et de la respiration qui s'accélère ne me concernaient plus désormais, mais je sentais le sang pulser dans mes veines, et une chaleur agréable se répandre dans mon corps. Cela faisait si longtemps...
Mais voilà que des phares de voiture m'éblouissaient. Je songeais tout d'abord aux flics, mais la ford mustang n'était pas vraiment leur genre. Et l'homme qui sortit de la voiture pour se hisser sur le capot avait bougé trop vite pour être un simple humain.

Oh, j'avais donc de la visite ! Intéressant !
Le vampire avait des allures de chippendale sorti d'un show sur les cow-boy et sa façon de me saluer collait bien avec le côté spectaculaire du farfelu personnage. Si l'on omettait bien sûr les holsters sur son torse. Sans doute un collègue du Brujah pour qui j'avais bossé ce soir.
Son arrivée me fit rire, en tout cas, un rire sans doute accentué par les effets euphorisants de la cocaïne.
J'applaudis avec enthousiasme avant de répondre :

Bravo ! Magnifico ! Superbe entrée en scène ! J'adore ! Vi amo !

Quand je n'étais pas totalement maître de mon corps et de mon esprit, mon accent italien avait tendance à ressortir encore plus fortement que d'habitude, et je parsemais mon anglais de mots italiens sans même m'en rendre compte.
Lorsque je parvins à calmer mon rire, j'analysais ses paroles et compris qu'il me confondait en fait avec le Brujah. Ce qui ne contribua pas à stopper mon manque de sérieux face à la situation.

Moi, Randy ? Seriamente ?

Je posais mes sacs au sol pour montrer mon costume Roberto Cavalli hors de prix.

Ai-je l'allure d'un Brujah ? Non, vraiment, vous êtes très drôle ! Esilarante !

Invité

*A défaut d'avoir des couilles, il a des alliés. Pas mal.*

Je n'ai pas souvenir d'avoir beaucoup d'amis dans le coin avec un accent pareil. Et Randy est pas assez con pour aller recruter un malkavien camariste. Monsieur Giovanni, surement?

Patt sauta dans le sable devant lui et s'avança dans la lumière des phares vers le Giovanni. Arrivé à courte distance, il lui tendit la main en se présentant.

Patt Butcher, je venais voir comment le petit Randy s'en sortait.
On pourrait regretter qu'il ne fasse pas le boulot lui même, mais à ce que je vois il a su confier l'affaire à la bonne personne.

Je me sentis flatté lorsqu'il nomma mon clan. Il avait vite compris. En même temps, vu ma façon actuelle de m'exprimer, ce n'était pas bien compliqué.
Puis il sauta à bas de la voiture pour s'avancer vers moi. En d'autres circonstances, je me serais méfié d'un vampire que je ne connaissais pas, surtout dans un coin reculé en pleine nuit. Mais avec les effets de la drogue, je me sentais invincible. Rien de mauvais ne pouvait m'arriver en cette nuit, oh non ! J'étais sûr que ça allait devenir très intéressant.

Il me tendit la main en se présentant, mais il ne donna pas son clan. Par défaut, je l'imaginais Brujah, sabbatique évidemment. Ses compliments flattèrent mon ego très exacerbé ce soir.
Je lui serrais la main en m'inclinant très théâtralement, et répondit, tout sourire :

Buenasera signore Butcher !
Je suis Roberto Giovanni, de la Famiglia Giovanni. Evidemment.
Votre collègue Randy ne s'estimait pas capable de régler ses problèmes tout seul. Moi ça m'arrange, ça fait tourner les affaires.

Invité

Après la fermeture du bar, il avait ramené une charmante petite sur la plage. Il se releva et l'abandonna dans les dunes. Elle ne gémissait plus, et ses yeux à présent vitreux fixaient le ciel. Morte ou inconsciente, là, ce n'était plus son problème. Cette partie de la plage était toujours plutôt calme et il fut surpris de voir les phares d'une voiture au milieu de la nuit.

En s'approchant, il constata qu'il reconnaissait les deux hommes présents. La tenue de cow-boy, la voix…Tiens, que faisait Patt Butcher, un des Templiers de l'Archevêque, dans le coin ?
Une autre voix lui répondit, celle d'un certain Roberto Giovanni. Le Giovanni qui avait ouvert un bar lui aussi et avait fait passer le mot à l'Archevêque ? Si c'était pas intéressant, ça, quand même ! Ces Giovanni, alors, toujours une main dans toutes les combines…Celui avait un accent italien particulièrement prononcé. Il faudrait qu'il aille faire un tour dans ce bar, justement. Il apparut dans la lumière des phares, et s'avança vers les deux autres.

"Tiens, Butcher, salut…Randy est encore un peu jeune, on dirait, il va falloir qu'on le…guide d'un peu plus près. Il doit passer au bar demain soir, je crois. Alors, Monsieur Giovanni, comment se portent les affaires, au Midnight ?

Randy allait se faire botter le cul de courir auprès du premier Giovanni venu pour régler ses petites affaires, ouais...

Invité

Hey, Jammie!
Je me demandais justement comment tournaient vos petites affaires de poudre, et je suis pas déçu de l'efficacité de vos alliés. Très rusé de la part du petit Randy de passer par un Indépendant, ça permet d'éviter que les sbires de la Pouffiasse ne s'en mêlent et si il prend un cocktail molotov, c'est moins grave.

Tout en parlant, Patt tripote nonchalament la cravate du Giovanni, la laissant retomber sur cette dernière phrase.

Mais bon, faudra quand même l'endurcir un peu, c'est quand même pas très classe d'aller chercher des soutiens dans un rade concurrent du tien.
Le Midnight, c'est ça? Fallait que j'y fasse un saut, heureusement que je sais à présent qu'un comportement trop extravagant y poserait problème.

Bon, allons voir de plus prêt le massacre!

Il laisse les deux autres en face à face le temps d'aller jeter un oeuil dans la maison.

Nous fumes interrompus dans cette charmante discussion par un troisième protagoniste, au look très différent de celui de Patt, mais tout aussi farfelu. Décidément, l'exubérance des sabbatiques me faisait bien rire ! On ne savait jamais à quoi s'attendre avec eux.
Et celui-là me surprit fortement en nommant mon établissement.
Je fronçais les sourcils et plissais les yeux pour le dévisager en toute impudeur.

Scusate, on se connaît ? J'adore vos lunettes ! Super style !
Ah ça y est ! Le Last Round, c'est ça ? Signore... Je ne sais pas votre nom en fait... Mais Tzimisce, c'est ça ? Bene... Il faudra que je passe faire un tour chez vous. Chez moi tout va bien ! Perfetto, ma on n'a pas encore beaucoup de monde dans les salons vampiriques...

Mon cerveau tournait à toute allure, et mes mots allaient plus vite que ma pensée. Pas mon genre de causer autant, mais je n'arrivais pas à me retenir. Je me stoppais net lorsque le cow-boy attrapa ma cravate, étonné de ce geste. Qu'est-ce qu'il lui voulait à ma cravate ? C'était ma cravate ! Mia cravatta !
Mais quand il reparla du massacre, je lui adressais un grand sourire, me sentant une fois de plus flatté :

Ma je vous en prie ! Sans me vanter, c'est una petite oeuvre d'art !

Invité

Il se mit à rire à l'évocation des "sbires de la Pouffiasse". Ouais, pour une pouffiasse, ç'en était une belle. Mais elle amusait le grand patron, alors, fallait le laisser faire…

"Les affaires de poudre, je les laisse à d'autres. La poudre, je trouve ça terriblement yuppie des 80's, pas mon genre. Mais même si Randy a une cervelle, ça lui épargnera pas le coup de pied au cul qu'il va se choper tôt ou tard. Et ouais, Butcher, faudrait organiser une petite soirée au Midnight."

Le Toreador était en train de tripoter la cravate du Giovanni tout en parlant. Là aussi, on se refaisait pas…

"C'est bien ça, Monsieur Giovanni. Demandez James Ramsay si vous décidez de venir boire un verre au Last Round, ce sera pour la maison, je fais des cocktails plutôt exotiques. On m'a parlé du Midnight…Je suis curieux de voir comment vous allez gérer les…problèmes de sécurité. C'est peut-être ça qui refroidit votre clientèle. Mais allons voir vos travaux pratiques."

Il suivit Patt dans la maison qui avait été récemment repeinte en couleur hémoglobine, boyaux et organes. Tout était étalé et avait giclé au gré des coups de feuL'odeur avait de quoi émoustiller n'importe qui, même s'il venait de se nourrir. Il détailla la scène d'un regard appréciateur.

"Pas mal. Très Brujah, en plus je trouve. Mais je pense que pour toi, Patt, ça manque un peu de subtilité non ? Tout ça semble terriblement spontané quand même. J'aurais pas fait ça comme ça, mais c'est pas mal. On pourrait en faire une belle scène. Monsieur Giovanni, au moins, vous ne faites pas votre mijaurée comme les chochottes de la Tour…"

Invité

Patt semble s’imprégner de l'ambiance, ses yeux courent rapidement d'un mort à l'autre, et il fini par ramasser le fusil à pompe, le braque sur sa tête et jette un regard de fou furieux au Tzimisce avant d'appuyer sur la gachette.

Clic.

Mouais, comme je pensais, c'est surtout le type au fusil qui a fait le boulot. La domination... On perd en violence ce qu'on gagne en perversité, moi je mets 5/10.
Et j'embarque ça en souvenir.

Tandis qu'il se tourne vers le giovanni, il semble tout à coup plus attirant, sa voix se chargeant d'une douceur surnaturelle et ses yeux captivants ceux de l'aubain. (présence 3)

Alors, mon cher Roberto, qu'en est il de cette coke que vous deviez récupérer?

J'étais ravi de pouvoir enfin rencontrer le fameux taulier du Last Round. Toujours connaître la concurrence ! Même si eux ne recevaient pas que des vampires. Enfin moi non plus. Mais moi, j'avais des salles privatisées, moi. Avec le meilleur sang de la région ! Sì sì !

Je serai ravi de vous accueillir au Midnight, vraiment ! Contento !
Les problèmes de sécurité ? Quels problèmes de sécurité ? Nous n'avons aucun problème de sécurité, tout est parfaitement maîtrisé ! Perfettamente gestito !
Ah, si, si, allons voir, si vous voulez !

Je n'avais pas spécialement prévu de m'attarder sur place après avoir réglé l'affaire, mais comme j'avais des admirateurs, autant en profiter. J'étais sûr qu'ils allaient apprécier le travail.
Mais ils étaient perfectionnistes, très tatillon. Je fus piqué dans mon orgueil, un peu. C'était du travail d'orfèvre, accompli à la perfection !

5 sur 10 ? 5 SUR 10 ??!!
Ma c'est perfetto, magnifico, splendido !
Votre ami m'a pas demandé de mise en scène, il voulait juste qu'ils soient tous morts. C'est fait. Qu'est-ce que vous demandez de plus ? 5 sur 10... Stupido Brujah...

Et pourtant, lorsque celui que je pensais être Brujah se tourna vers moi, il lui suffit de m'appeler "mon cher Roberto" pour que mon humeur bougonne se change de nouveau en euphorie. Je lui passais un bras sur l'épaule comme on fait entre bons copains, et répondis :

Ah, mon cher Patt, je l'ai récupérée ! Je dois la donner à votre fratello Randy !

Invité

Il n'arrêtait pas de gesticuler, le Giovanni, en parlant. Une nouvelle discipline, brasser de l'air ? Il était moins drôle que Butcher qui avait fait mine de se flinguer.

"Eh bien Patt et moi pourrions peut-être venir faire un tour, une fois que nous aurons réglé cette petite affaire de livraison. Et vous gérez comment la proximité de la Tour et de l'Epée ? "

Rien que l'idée de savoir qu'il y aurait ces planqués de camaristes dans le coin...Y'avait de quoi avoir envie de tenter de s'incruster dans leurs petites fêtes (et de les incruster dedans, accessoirement)

"Stupido Brujah, on se calme, Monsieur Giovanni...C'est mal de critiquer la clientèle, non ? " dit-il en s'approchant, un peu plus serieux et menaçant. "D'ailleurs, on dirait que vous l'avez bien testée, la marchandise. Ils sont tous morts, là dedans, ou on peut encore aller s'en finir un ? On va la récuperer, et la faire passer à Randy, la came. "

Il se demandait bien ce que le Brujah comptait faire avec, mais ne doutait pas que Randy aurait d'excellentes explications à leur fournir.

Invité

Patt passe amicalement le bras sur les épaules du Giovanni

Allons Jamie, tout va bien...
Ne prenez pas mal mon avis d'artiste, très cher Roberto, vous savez sûrement que le sabbat note simplement mieux les actes directs que l'utilisation de la manipulation.
Mais nous parlons, nous parlons et vos chaussures prennent le sable, peut être que nous pourrions chacun prendre le chemin d'un lieu plus confortable?
J'ai bien quelques idées en tête, mais je vais d'abord prêter l'oreille aux avis professionnels

Relâchant le Giovanni, il ramasse le sac et le tend à James.

Qu'en dis tu, on jette un oeuil à ce nouveau club? Je pense que monsieur Giovanni sera ravi de passer au Last Round la prochaine fois que nous voudrons le voir en privé.

Oh, voyons, signore Ramsay, je n'ai fait que mon travail. Je n'avais pas prévu de recevoir de la visite, sinon je vous en aurais volontiers laissé un morceau... Mais le sang des morts se consomme très bien, essayez...

Je lui adressai un grand sourire. Très peu nombreux étaient les vampires qui acceptaient de se nourrir sur des cadavres. Personnellement, c'était la seule manière qui me permettait de planter mes crocs dans un humain sans le voir hurler de douleur.
Patt me passa à son tour le bras autour de l'épaule. Il avait l'air sympa, ce ptit gars, malgré son look de chanteur des village people. Je lui montrais le sac de voyage contenant la poudre, en disant :

La prego. Je vous en prie.

Les effets de la drogue commençaient à sérieusement décliner, et déjà je me sentais moins heureux. Même si les deux confrères étaient intéressants. Je commençais aussi à de nouveau mieux maîtriser mes paroles, et l'accent se faisait moins prononcé.

Oh, mais oui, venez donc au Midnight ! Ce n'est pas très loin. Nous avons un salon privé pour le Sabbat, si si.

Invité

- La viande froide, sans cornichons, j'y touche pas moi...Monsieur Giovanni.

Surtout pour un petit coup de croc accessoire, comme ça...Non, ça allait être une jolie découverte, cette boucherie sur la plage. Il attrapa le sac, le jeta sur son épaule. Il le ferait passer à Randy, un peu plus tard, une fois qu'il aurait prélevé sa part. Après tout, Randy n'avait qu'à se sortir les doigts du cul, et du sang dopé à la coke, ça se vendait très bien.

- Excellente idée, Patt. Je dépose ça en lieu sur, c'est sur le chemin, et puis allons rendre une petite visite à ce fameux bar. Vous nous ferez bien les honneurs de la maison hein ? dit-il au Giovanni. J'ai hâte de voir ce salon spécial Sabbat...

Invité

Et bien je vais partir en éclaireur avec Bob.
On peut y aller à pied ou tu nous fera les honneurs de ton véhicule?
Le fusil toujours sur l'épaule, Patt fait mine de s'éloigner de quelques pas vers la ville avant de se tourner vers le Giovanni pour attendre sa réponse.

Je me doutais bien que le Tzimisce déclinerait l'offre. Ils avaient beau clamer faire dans le sale et le dégueulasse, se nourrir des morts ne leur semblait pas convenable.
En attendant, les deux compères acceptèrent de venir au Midnight. Parfait ! Je n'aurais jamais pensé, en venant travailler ici, me retrouver à faire la promotion de mon établissement.

Perfetto !
Oh voyons, petit Patty, on peut y aller à pieds, ce n'est pas bien loin !

Un surnom pour un surnom.
Je n'avais aucune idée de la puissance de celui que je prenais pour un Brujah, mais je trouvais ça amusant de l'appeler "petit".
Je me tournais ensuite vers le Tzimisce, pour conclure :

Et bien nous prenons de l'avance, de toute façon je suppose que vous savez où c'est. Vous nous rejoindrez !

[ hrp : la suite est ici. Du coup James, on commence un peu sans toi. ^^ ]

Invité

Petit Patty ? Il avait bouffé la coke à la cuillère, le Giovanni ?

- Je vais déposer ça en lieu sur, et je vous rejoins, je sais ou se trouve le Midnight...Pas de bêtises avec Bob, hein, Patty ? Soyez sages, je ne serai pas long !

Il balança le sac dans la voiture, et démarra. Il avait une planque pas bien loin ou il pourrait stocker la came en question avant de s'en occuper et d'en prendre sa part.

» Pour un air de Vielle [Jaime, c'est à toi xD]
» La Famiglia s'agrandit - Aura Giovanni pour vous servir ( ou du moins pour servir la Famiglia)
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» Pour vous rejoindre.

Et pour quelques kilos de coke de plus...

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