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 Fiche Billy the Kid

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Billy the Kid
Billy the Kid



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MessageSujet: Fiche Billy the Kid   Fiche Billy the Kid EmptyJeu 24 Avr - 18:34



Présentation de  


Billy the Kid
VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE





Nom : Antrim
Prénom : William
Surnom : Billy the Kid
Date et lieu de naissance : 30 Decembre 1839, New-York.
Date et lieu d'étreinte : 28 Octobre 1861, Los Angeles.
Age + Statut d'âge : 152 ans, Ancilla.
Génération IX.
Faction Anarchs.
Clan Toreador.
Poste Baron de Los Angeles.
Disciplines Célérité IV, Présence IV, Augure I, Force d'âme II




    Feat. Nicholas Hoult


Les apparences sont trompeuses
A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?



Sous la crasse on arrive à trouver une rose qui vaut la peine d’être cueillie. The Kid, le gamin de l’ouest, un être qui se fou royalement de l’apparence. La coquetterie, que cela est inutile pour lui, passer l’éternité à se soucier d’un visage c’est si ennuyant. Mais ce serait mentir de dire que Billy the Kid ne soit pas insensible à toute forme de mode. Le sang des roses coule en ses veines, parfois il est surpris dans l’acquisition d’un accessoire, d’un morceau de tissus. Il vous répondra de mauvaise foi qu’il ne s’agit que d’une nécessité pour se fondre dans la masse. Mais le Kid aime ce genre de modernité, avoir un baladeur dernier modèle, des vêtements de marque. C’est plus que du camouflage, c’est une passion de non-vie. Tout ce qui est moderne et américain peu prétendre à son intérêt. Porter ou posséder ne rime pas avec prendre soin, l’ancilla ne garde jamais très longtemps intact ses morceaux de tissus. Grand peintre urbain, c’est souvent comme un enfant turbulent qu’il rentre en sa tanière couvert de taches et de salissures. Il s'en moque le plus souvent, cela prouve nécessairement son attitude bagarreuse et sa prétendue rébellion contre les membres de son sang. Mais il fait cela par paresse également. C’est un grand lassé des nuits trop longues, tout parait lent dans sa démarche, l’ouverture de ses paupières, ses gestes. Même ses expressions traduisent son semblant de fatigue, d’apathie. Tout semble l’ennuyer… Une vieille ruse de serpent, même s’il tourne au ralenti gare à ses réflexes. Il sait absolument à quel moment il faut lever le rideau. A quel moment il faut saisir son revolver… Il ne porte pas qu’un simple mp3 en accessoire, ses deux fidèles colts ne le quittent jamais.

Il a bien mérité son surnom le Kid, c’est une gueule d’ange, un gamin malgré sa vingtaine. On raconte que de nombreux tirs l’avaient épargnés, les tireurs pensaient avoir a faire à un enfant. C’est une critique qui lui déplait énormément. Mais ce visage si avenant, peau rosée malgré la mort, lèvres rouges, yeux bleus perçant, cheveux noirs mi-longs de corbeau. Un démon envoyé sur terre, une rose qui peut prétendre avoir des épines tranchantes. Et puis ce corps, il n’y a rien à dire, musclé comme se devait être un grand bandit de l’ouest. Un peu petit pour un homme, après tout c’est le Kid. Cela non plus, ne lui dite pas. Je pense qu’il fait un complexe sur sa petite taille.


A la découverte de votre esprit
QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?



Le Kid… Je vous entends ! Comme je vous comprends ! Balancer sans une once de réflexion que le Baron est quelqu’un de puérile. C’est cela n’est-ce pas ? Beaucoup de gens morts eurent cette pensée. J’espère vous avoir évité une déconvenue à ce propos. Que voulez-vous savoir ? Le classique ! A qui avez-vous à faire ? Attendez, il me faudrait un peu de bourbon pour bien commencer, cette entrevue. Le minimum dirons-nous.

Le Billy, c’est un nuage de fumée. Une personne attachante, un gars charmant, une perle ! Quelqu’un qui n’aime pas le protocole, un type… Un type vraiment sympa. Mais voyez-vous… Approchez plus près ! Entre vous et moi, ce n’est absolument pas une couverture. C’est ça qui est chouette, vous vous attendiez à trouver un batard qui tout sourire devant pense déjà à vous poignarder dans le dos. Non… Tout le monde à ses défauts bien sûr, mais le Kid c’est un cas d’école. Je disais donc… Un nuage de fumée ? Je bois de trop pour sortir ce genre de connerie. En effet, ça vous dérange si je fume un cigare ? En même temps je suis chez moi… Alors… Le Kid est vide, à force de jouer les héros pour fuir la monotonie du temps, on se crée un personnage bien encombrant. Regardez-le ! Il est seul ce type, ses amis sont morts. Regardez sa bande, sa nouvelle bande. Tous jeunes et cinglés, tous rêveurs d’appartenir à la bannière de la liberté. Ils sont fiers d’être sous les ordres d’une légende, de The Kid. Il a conservé la flamme si longtemps pourtant… Le baron reste un putain d’idéaliste, un véritable abrutis, de la trempe des grands utopistes. Il dit que ces vieillards de la Camarilla ne sont que des larves gloutonnes, incapables de vivre avec le présent. Ce sont des boulets à trainer, des sangsues incapables de dire à adieu au moindre morceau de calice, à la moindre parcelle de puissance. Des êtres absurdes, digne d’un conte de fée… Et encore je suis soft dans la formulation, si je devais citer, je n’aurais pas employé ces mots. Il a beau être franc, attachant, juste, ça reste un vampire, un diable de vampire. Quand il mange, cela lui arrive de prendre la vie. Il n’a pas de règle, il fait cela par envie. A aucun moment il ne se croit chevalier du monde, non, c’est juste quelqu’un qui ne vivra pas très vieux à mon avis et aussi, une personne libre. Cela demeure néanmoins un survivant, à l’intelligence bien tranquille. Ne croyez pas à son attitude d’abrutis, derrière son langage outrancier, derrière ses manières brutales se cachent un certain cerveau. Ce n’est pas un grand esprit, mais il y-a de la malice, il y-a de l’inventivité dans le danger. C’est aussi un stratège, il s’agit d’un jeu pour cet abruti. Il est cool le Kid, relax, pénard. Jamais envahis par la peur, jamais terrassé par le stress. Il réfléchit vite et bien, mais ce qui transparait le plus c’est sa flemmardise à l’action, son coté passif et endormis. Un leurre de serpent, ah cet abruti…Vous me permettez, je connais suffisamment le Kid pour le traiter d’abruti. C’est mon privilège voilà, c’est assez maigre comme privilège je vous le concède.

N’oubliez pas que ce gosse fut reconnu comme l’un des plus grands hors la loi de son temps, avec les Jesse James, Butch Cassidy et autres. C’est un voleur, un grand bandit. Oh point de cleptomanie, c’est juste un hobby, tout le monde à des hobbys. Moi j’aime tricoter par exemple… Oui on s’en fou de moi je sais ! Alors, je vais me resservir un verre. Ce que vous devez savoir aussi, c’est que le Kid est Americain, c’est un patriote, un vrai patriote. Il croit dur comme fer à la liberté, il n’aime pas les règles qui encadrent, c’est un libéral convaincu. Alors les traditions camaristes, voyez-vous, ce n’est pas quelque chose qu’il affectionne vraiment. La Camarilla apparait donc comme une tentative d’invasion sur le sol américain. Il est arrogant envers les puissants, mais jamais suffisant. Il est chez lui aux Etats-Unis alors ne lui parlez pas de domaines De ces bravades il devient amusant, drôle. C’est une personne vivante, passionnée par son idéal et qui aime le contact. Pour tenter de remplir un vide, impossible à combler. Il tombe amoureux vite, il vole les cœurs rapidement et consomme la vie. Vampirisant pour rester libre, pour survivre encore et encore. Ce qui le fascine, c’est le courage meurtrier, toute œuvre exprimant ce fait le transcende. Lui le survivant, c’est quelque chose auquel il aspire sans oser le faire. Ce serait pourtant donner à sa légende des lettres de noblesse, magnifiques. Mais pour une cause, marcher à sa mort… Une tache bien trop difficile et qui ne doit pas se penser, qui doit se réaliser.

Billy the Kid est un meneur, une icône, il ne tient pas à ses hommes, égoïste dans sa manière d’être libre jusqu’à la fin. La liberté se limite à soi. L’abruti sous ses airs de brujah colérique, s’avère être une rose rebelle. Vous apprendrez très vite que le Kid est très susceptible. Un toreador qui esquive mais qui sait frapper et durement. Une personne amoureuse de sa légende humaine, amoureuse du courage d’oser être libre sur tous les points. Y compris la liberté de ne pas mourir. Le sacrifice demeure pour lui, la plus belle, des libertés. La seule manière de disparaitre avec beauté.



My life before and after...
MA VIE  DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...




Ils se trompent sur ma légende, Pat Garrett mon supposé assassin n’est qu’un opportuniste. Un écrivain tellement désespéré de voir une page blanche qu’il s’est imaginé héros américain. Un type qui à réussi à buter Billy the Kid, le bandit tant redouté de cette époque. Cela donnait forcément du cachet à sa biographie de merde, je ne savais pas lire à l’époque. Tout ce que je comprenais c’est qu’écrire pour cette biographie le seul intérêt était à la fin, découvrir  le récit de mon assassinat, mieux valait dans ce cas écrire seulement trois pages. Depuis cette époque je n’ai jamais pu encadrer ceux qui se pensaient assez important pour coucher sur papier leur putain de vie d’esclave. « Ma vie mon œuvre » par exemple de ce cher papa Ford, sérieux, il y-a besoin d’un livre pour expliquer au monde combien d’esclaves Ford à tués dans ses usines, pitoyable justification. Ne commencez pas à croire que je sois la pour vous parler littérature. J’en ai pas envie et j’en ai pas envie. Je suis la pour vous parler de moi, comme je ne suis pas biographe on va essayer d’être court tout en ayant un minimum de style. Etre une rose, ça force le trait esthétique voyez vous.

Si beaucoup de personnes me connaissent comme Billy the Kid c’est évidemment un surnom qu’on m’a donné. C’était le dernier de mes surnoms, celui qui demeura dans les mémoires. Pourquoi donc en changer désormais… J’aime assez cet état de grâce.  Je suis né le 30 décembre 1839 et non un 23 novembre comme on peut le lire dans ma sensée biographie, hein Pat Garrett, mon « ami ». Ma légende repose sur un tissus de mensonge, au temps de l’ouest sauvage il n’y avait guère d’opportunité d’être enregistré par l’administration. Difficile donc de retracer ma vie. Encore aujourd’hui peu de personnes connaissent la véritable histoire de Billy the Kid. Car la réalité n’est guère glorieuse je dois le confesser, et moi-même j’avoue plutôt bien apprécier ma vie romancée par un inconnu. A part la fin, j’aime pas lire mon assassinat, surtout une mort aussi conne. Mais bon passons, à Pat Garrett « mon ami » je lève mon verre à l’œuvre de fiction que je préfère. C’est vrai il est tellement simple de reformuler la vie d’un hors la loi. On l’a aidé un peu c’est vrai ce type. Ne souhaitant pas totalement sombrer dans l’inconnu j’ai délivré mon histoire à cet imbécile. Mais la fin quoi… Merde ! Il m’a pris pour quoi ce CON ! J’aurais du l’écrire moi-même cette saloperie… Tout le monde retient alors que Billy the Kid est mort après un : « Hein qui est la ? ».  Je suis décris entrant l’arme à la main, dans une salle en semi pénombre, mon « ami » Pat Garrett je vois sa silhouette. Et moi je dis « Qui est la ? » ! Et je meurs de deux balles, l’une en plein cœur. Au moins ma mort fictive n’aura pas été trop douloureuse…  Quelle connerie…  Mais bon je parle de la fin avant le début. Excusez-moi si j’apparais rapide, mais ma vie de gamin, tout le monde s’en fout.

L’Amérique n’était pas encore en pleine guerre civile et j’avoue ne pas me rappeler le nom du président de l’époque, un démocrate d’ascendance hollandaise il me semble.  C’était le temps de la conquête de l’ouest, une mission quasi divine pour la population. Nous progressions sur ces terres en colons, arrachant les possessions de force qu’elles soient amérindiennes ou mexicaines. Je suis né à New-York sous le nom de Will Antrim. Mc Carty était le patronyme de mon paternel biologique, celui-ci à décampé assez rapidement quand il apprit que ma mère avait contractée la tuberculose. Avoir une femme malade qui se vieillissait et deux gosses à charge à dut le guider en ce choix courageux. Mon frère et moi on s’était juré de le retrouver ce salopard, une promesse qui vit encore dans les mémoires, sans avoir put être réalisée. Ma mère est irlandaise tout comme Mc Carty, ils ont émigrés avec tant d’autre poussés par la faim et l’espoir de liberté que représentait ce pays.  J’ai eu le droit à la vision de New York vu de l’intérieur, sans buildings et statue de la liberté. Nous étions pauvres et avec le départ de « papa » nous étions presque condamnés par la misère la plus infecte. Parqués dans d’horribles taudis, nous vivions comme des rats…  Il fallait se sortir de l’air vicié de la Grande Pomme, trop longtemps on a vécu au mauvais coté de la ville. Ma mère était trop bonne, une catholique qui donnait, donnait, donnait et recevait peu… Beaucoup se donnait la liberté de prendre, pourquoi pas nous ? Dans le secret pour ma mère, je prenais la liberté de prendre pour elle. Des larcins de gosse, maigres donc, mais voir le sourire de maman, c’était un plaisir enfantin. Mon frère lui était inutile, un illettré comme moi, mais un incapable de ses mains. Un poids mort, mais je l’aimais bien cet abruti attardé il m’amusait de son sourire naïf et de ses faux airs de victime. Finalement on eu des nouvelles de « papa », ça sentait le chèque d’excuse. Un papier avec des chiffres, cela ne vaut pas de vrais dollars ma conviction n’a guère changée depuis. Étions-nous véritablement remboursés de la lâcheté ? Telle était la question. Trêve d’interrogation, cette lettre nous permettait enfin de quitter cette ville nauséabonde. Le médecin avait conseillé à ma mère un lieu sec voir aride pour contrer la maladie. Ce fut sans hésitation que notre famille migra vers l’ouest. Immigrants irlandais, nous étions désormais colons américains représentant du pays en ces lieux reculés et dangereux. Difficile pour un indien d’admettre une loi fédérale, difficile pour un mexicain d’accepter ce vol de terre. L’Amérique était à son berceau de prospérité, nous avions frappé fort les britanniques, il fallait frapper fort les résistances. Un pays qui s’était affranchi dans le sang, se complaisait dans le sang. Mais que pouvaient ils dire contre, nous agissions au nom de la liberté. Nous étions ses fils et nombreux mouraient pour son nom. A l’ouest il y-avait l’or, naissait alors de faibles communautés. Elle n’était pas encore angélique la cité de Los Angeles. J’ai vu l’ouest grandir, je suis son témoin.

Ma mère posa valise à Santa Fe au Nouveau Mexique. Loin des grisailles de la cote est, il régnait un empire de chaleur, d’une odeur de terre desséchée. J’avais 10 ans quand je découvris la sensation de pesanteur face au climat aride. On ouvre alors une laverie, le commerce ne prospère guère, mais on survit. Là-bas il est difficiles de nouer contact, les gens se connaissent de trop et sont souvent distant avec les étrangers. Surtout avec une rousse comme l’était ma mère, moi avec mes cheveux couleur corbeau de mon père les échanges furent facilités. Il nous a fallu bien trois années pour que la population locale accepte trois têtes de plus dans leurs communautés. Un pasteur fou, un médecin alcoolique, un instituteur qui savait à peine lire et un maire juge de paix aussi porté sur la bouteille que le medecin, tels étaient les notables de Santa Fe. Il ne s’agissait pas encore de la ville qu’on connait maintenant, loin de la. On pourrait penser à un re-make de la Petite maison dans la Prairie façon hardcore. Je rêve de montrer à Laura Ingalls, cette garce comment était notre ville. Il ne fallait pas se méfier de la Nelly Olson locale, mais bien des règlements de compte entre bande rivale. Et il pouvait y-avoir des meurtres en pleine journée, pour un mauvais regard ou un mauvais mot. En cet ouest si loin de la cote est, la loi du plus fort régnait vraiment. Alors épargnez moi vos séances de je coupe du bois avec le sourire… Comme la ville venait tout juste d’être reprise aux mexicains, la tension était vive. On redoute encore l’arrivée de l’armée, en ville c’était la terreur au moindre coup de canon. Drôle d’existence en cette cité, il y-avait bien encore le gouverneur qui tenait plus ou moins la route. Un peu simplet il voulait contribuer au bonheur de ses gens. Mais ce que je voyais, c’était ma mère qui peinait à survivre et on ne pouvait pas compter sur cet abruti de médecin. Alors je continuais mes méfaits, pour elle. Si au départ je souffrais d’amateurisme, j’avais le plaisir progressif de constater une amélioration dans mes techniques. Il faut dire, je commençais à avoir de mauvaises fréquentations. Cela faisait un moment que je n’assistais plus aux cours de monsieur Skinner. Le con n’a jamais remarqué mon absence ni celles de mes amis de l’époque. Pas de Pat Garrett, que des p’tits cons de ce temps, avides d’argent et de gains faciles. Santa Fe était une ville volée, pourquoi s’étonner de voir en son sein pulluler des voleurs ? Nous profitions généralement des ivrognes du saloon ou bien plus généralement de ceux qui manquaient de vigilance. Je m’amusais plus que je ne volais à vrai dire. Et tout ceci fut freiné par l’arrivée d’un homme. William Antrim, il portait le même prénom que moi, il était moche et célibataire. Le genre catho coincé qui décida alors de prendre ma mère en mariage, comme si avec dépit on investissait dans une vieille affaire. Pas d’étonnement je détestais « beau papa ». C’était un prospecteur d’argent, un agent du trésor en somme. Plutôt une belle situation mais ma joli tête brulé ne revenait pas trop au nouveau paternel. Il souhaitait revoir mon éducation, je souhaitais ne plus revoir sa tronche. Nous étions dans l’impasse et pour la première fois je décevais maman. C’est après une fugue que j’appris son décès… Malgré la chaleur de Santa Fe la maladie avait rattrapée ma mère depuis les quartiers pestilentiels de New York. Une année seulement de mariage pour ce veuf et pathétique William Antrim. Son nom, ce fut la seule chose que ce pourri de « beau papa » nous légua. Trop jeunes pour être indépendants, trop insupportables pour suivre « beau papa » ce dernier eu le courage de nous placer en orphelinat mon frère et moi. Lui est reparti faire son manège, voler les pauvres pour déposer l’argent dans des banques fédérales. La liberté n’était pas totale dans ce foutu pays. L’orphelinat se situait à Silver city dans l’Arizona. Encore un pas de plus vers l’ouest, encore un pas et je serais en Californie me disais-je.

De l’orphelinat je fus placé en famille d’accueil séparé de mon frère. Tout s’était passé si vite cette année, la mort de ma mère ma hantait encore. J’avais à regret ma pitoyable tentative de rébellion, je voulais que ma mère choisisse, moi ou ce con. Elle n’a jamais choisis, je n’ai jamais entendu ces derniers mots. Et me voila avec nouveau papa et nouvelle maman, ils ne m’intéressaient pas. J’avais hâte de trouver la première fenêtre ouverte et de dire adieu à nouvelle famille.

S’il y-avait une odeur de criminalité à Santa Fe, à Silver City il s’agissait d’une norme. D’ailleurs, plutôt cool sur les lois mes nouveaux parents n’étaient point des modèles de vertus. Si des troupeaux venaient à disparaitre, généralement les soupçons pesaient entre autre sur leurs têtes. Je décidai de rester avec le drôle de couple, Marcie et Oliver. De mon coté avec les petits boulots, je commençais à regrouper quelques personnes qui avaient le vol dans le sang. Plus que du vol, nous étions des bons tireurs. Jeunes en ces territoires hostiles, rare étaient les personnes qui ne faisaient pas application du 2ème amendement en cette ville. J’étais excellent, un as de la gâchette comme ils nous ont appelés plus tard. Moi qui pensait n’avoir de prédisposition que pour le vol, me voila précis comme un faucon. Aucunement gêné en tirant avec deux colts en même temps, mes prouesses ne se vérifièrent malheureusement pas en guerre. J’avais l’art du crime désormais, et armé du colt trouvé chez nouvelle famille je pouvais alors donner court à cette sensibilité particulière. Le don de faire coulez le sang. Je n’étais pas un meurtrier, je n’étais pas motivé par l’assassinat. J’avais à cœur de m’offrir librement à ce que je souhaitais. Privé de tout je voulais tout avoir, du bas pour aller en haut. Avoir ma revanche sur cette vie.

On commence forcement sa carrière par des vols de chevaux, enfin pour ceux qui veulent commencer doucement. Mais pas de chance je commençai par un échec, condamné à de la prison direct je préférai mon délit de fuite vers le Nouveau Mexique, une case à l’est. Croyant ma carrière de grand bandit terminé je tente de gagner ma vie au poker, la chance se fait insolente au début, rare à la fin. Je n’ai que 16 ans lorsque j’arpente les saloons en quête de pied tendre à dépouiller. Je triche évidemment, autant que me dextérité pouvait me le permettre. Cette vie ne pouvait qu’être provisoire et pourtant je ne m’arrêtais pas.

Fonçant constamment dans un mur je continuais cette voix qui ne pouvait m’amener nulle part. Collectionnant les taudis d’un soir et les prostituées pour oublier. L’alcool, j’allais oublier l’alcool… Je comprenais finalement que ma vie ne pouvait se limiter à cette mauvaise médecine, mais quoi faire pour changer cela. Ce fut Frank Cahill dit Windy qui me permit de saisir au bond une nouvelle opportunité. En colère car je l’avais dépouillé au poker, il me traita à juste raison de tricheur. Avec mes seize ans je n’étais guère imposant et l’autre tank en profita pour se jeter sur moi, me ruant de coup. Frank fut mon premier meurtre, deux coups portés au ventre et s’en était fini de lui. Je n’avais aucun remord, la chose avait été commise naturellement, par reflexe. Quoiqu’il en soit, de nouveau recherché je me déplaçais à l’ouest, revenant alors en Arizona.

J’avais le gout du risque, le gout du sang, impossible de me laver les mains, pire j’avais aimée cette liberté, ce moment glacé ou je prenais la vie. Une expérience que je demandais à revivre nouant alors contact avec mes racines en Arizona. Je retrouvais d’anciennes personnes, le fait d’avoir pris la vie inspirait une certaine admiration bizarrement. J’avais la légitimité pour faire partie d’une bande. La première véritablement sérieuse, spécialiste dans le vol de chevaux on se faisait appeler les Boys. Une bande assez éphémère et dont le nom j’en conviens n’est pas très inspiré. A cause d’une connerie de mon ancien ami Jordan Coll, après quelques succès la bande est arrêtée au complet par la police fédérale.  Malgré le fait d’avoir changé de nom je risquais que l’on me reconnaisse pour mes précédents en Arizona. Bizarrement j’étais calme et serein, attendant la sentence comme on pouvait lire les nouvelles du matin. Entre temps j’avais acquis une certaine réputation et beaucoup de personnes malgré ma jeunesse avaient entendus parler d’un gamin as de la gâchette. On paya caution pour ma tête, le généreux donateur de cette liberté s’appelait John Tunstall. Il se livrait en ce temps glorieux de la propriété à une véritable guerre de territoire. Pas besoin d’être immortel pour se disputer du terrain. Les grands propriétaires du comté de Lincoln étaient en guerre et dire qu’à quelques lieux nous avions Dallas et son monde impitoyable. Je m’égare sans doute en métaphore, Tunstall ayant besoin d’hommes de main je devais bien sur faire partie de ses employés de marque. Attaché donc au ranch de Tunstall, j’étais le plus jeune des Regulators, un nouveau nom pour une nouvelle bande. Il n’était plus questions d’amateurisme, Tunstall avait engagé des types sérieux de la gâchette. Avec ma mort sur la conscience et mes quelques victoires je n’arrivais pas à certaines chevilles des membres du groupe. Je n’étais même pas le boss des Regulators, Le leader c’était ce bon vieux Dick Brewer, un bon père de famille au demeurant. Notre job constituait à s’occuper de sécurité et quand on s’ennuyait on avait le droit de rendre visite au ranch d’en face. Notre principal ennemi c’était le clan Dolan. Et je fois avouer que la famille Dolan avait toutes les raisons pour nous haïr. C’est pour dire, encore quelques semaines et les Dolan n’avaient plus qu’à plier bagages. Mais cela n’arriva pas. Le clan Dolan paya grassement le shérif Brady et un matin de mai, c’était la fin de John Tunstall, notre employeur.

Nous étions au chômage, on venait de buter notre patron. Imaginez donc la réaction de personnes qui avaient toutes la gâchette facile.  La bande de Brady, on à finit par les liquider au cour de plusieurs fusillades mémorables. J’en garde encore le souvenir vivace, surtout à ma hanche droite, j’ai toujours une petite cicatrice pour témoigner de l’événement. Il n’était plus question de voler des chevaux, mais bien d’abattre des personnes. C’était tuer ou être tué. J’ai pas mal tué, j’ai même eu la tête de Brady en prime. Le hic pour notre vendetta, c’est qu’on s’attaquait à des représentants de la loi. Et moi avec mes 19 ans j’avais déjà tués pas mal de gens au cours de 5 fusillades. On commença à me surnommer le Kid, tout simplement parce qu’au sein de la bande je ressemblais à un gamin. Le prénom Billy vint naturellement s’ajouter car il s’agissait d’un nom d’emprunt que j’affectionnais beaucoup. Ma légende tient entre autre du fait que j’ai tué 21 personnes, un cadavre pour chaque année de ma vie. Oui, je suis mort à 21 ans. Ma carrière de grand hors la loi commençait véritablement avec le meurtre du Sherif Brady et de son adjoint Matthews. Mais Brady tombé, on ne pouvait pas s’arrêter la, car Dolan courrait toujours. Cet enfoiré avait formé deux bandes pour nous abattre, on n’en avait pas finis avec les fusillades. Notre bande elle comportait 12 valeureux vengeurs. On perdit le boss Dick Brewer à Blazer's Mill, mais on finit par buter quelques proches de Dolan, le gros poisson nageait toujours. Mc Nab pris le relai en tant que chef de la bande des Regulators, mais à croire que le titre ne portait pas chance il tombe criblé de balles au ranch Fritz contre les deux bandes formés par ce fumier de Dolan. On a jamais eu Dolan, on perdait plutôt du terrain face aux pions de cette ordure. Finalement acculé à la maison d’un associé de Tunstall, le reste de la bande et moi-même, on livra un véritable siège. Beaucoup d’en face trouveront la mort, mais ne pouvant pas avoir le dessus sur les armes. Dolan et ses copains décidèrent alors d’incendier la baraque… C’était plutôt réussi comme plan, à mon grand regret. Les Regulators furent dans leur grande majorité décimée, je pense encore à McSween, abattu après s’être rendu. De mon coté je préférai alors prendre la clef des champs. La guerre du comté de Lincoln était terminée pour moi, j’étais désormais un fugitif, encore fugitif. Je vivais la chose avec optimisme, je suis ressorti grandis de cette vie criminelle. J’avais profondément aimé la vie en bande, l’exaltation du danger, avoir le pouvoir de donner la mort. Jouer sa vie sur sa capacité à survivre donc tuer, il y-avait quelque chose d’animal qui me plaisait dans l’acte. J’étais heureux de cette liberté, de pouvoir jouir de cette sensation. Le coté ouest était encore réputé pour être peu encadré par la loi. On pouvait alors payer des sherifs pour buter sans crainte de représailles des adversaires, des concurrents. Il régnait la loi du plus fort, je me rêvais pour ce dernier.

Cependant je n’étais pas assez con pour risquer ma tête. Dolan voulait la mienne, considéré comme criminel j’avais alors le droit à voir ma gueule accroché aux murs des saloons. On me recherchait et la prime offerte pour mon cadavre ou ma personne était plutôt attractive. Même si à m’entendre j’aurais donné une prime plus élevée pour ma capture. Avoir tout l’Arizona et le Nouveau Mexique sur mes talons ne faisait pas partie de mes plans. A peine 20 ans il m’apparaissait impossible de vivre ainsi. J’avais bien sur l’idée de fuir en Californie ou au Mexique, mais c’était en ces terres ou je me sentais chez moi. Alors je commis la plus grosse bourde de toute ma vie, je plaçai ma confiance en cette salope de Justice. Le gouverneur promettait le pardon contre mon témoignage. Cette bonne vieille justice voulait faire tomber Dolan. Le pardon pour ensuite envoyer Dolan à la potence, c’était trop beau je ne pouvais qu’accepter l’offre. Malheureusement ce n’était qu’une vaste plaisanterie ! Car Dolan fut acquitté et en retour on en profita pour me mettre le meurtre du sherif Brady sur le dos. Il est vrai je l’avais buté, mais je n’étais pas très en joie de rendre des comptes à la justice. Quelques coups bien placés et me voila hors du tribunal à cavaler encore. Il fallait me faire à l’idée de demeurer un fugitif. Et Dolan libre, j’étais hors de moi.

La suite n’est qu’une répétition, malgré ma jeunesse mon nom me permit de m’entourer de quelques hommes. J’étais toujours le plus jeune, mais cette fois j’étais le plus expérimenté. Ils étaient valables comme porte flingue, mais ce n’était pas la bande des Regulators… Ma bande celle de Billy the Kid sévissait au comté de Lincoln. Mais comme toute vie de bandit à une fin, je finis par être arrêté au bout d’une énième fusillade. Un peu de prison m’attendait et bien sur la potence. On me reprochait encore le meurtre de Brady, j’avais pourtant buté plus de vingt personnes et on me condamnait une seconde fois pour ce seul meurtre. Quelque chose clochait dans le système… Mais l’heure de tirer le rideau n’était pas venu, si je n’avais pu fuir à mon arrestation, au procès. Il me restait encore à tenter l’évasion de prison.  Retenu à fort Summer je réussis à subtiliser le flingue de mon geôlier. Sans concession et froidement je l’élimine, prend les clefs et avant de sortir je tends un piège à l’autre gardien qui n’a pas vu venir la balle qui lui a traversé la tête. Je sors finalement libre de Fort Summer. Tous les journaux vont parler de cette évasion, c’est ce qui va constituer ma célébrité. Billy the Kid s’est évadé en tuant ses geôliers. Libre, je suis libre ! Encore et toujours libre ! J’ai des rêves en tête, cette fois j’envisage réellement de tenter ma chance à Los Angeles, la Californie m’ouvre les bras. J’avoue ne pas avoir prévu l’ombre qui me surveillait de près. A peine libéré, je faisais alors connaissance avec le monde de la nuit. On imaginait déjà un futur pour moi, m’avait-on demandé mon consentement ? Evidemment que non, m’évader d’une prison pour tomber chez la Camarilla, j’éprouvais de la peine a différencier les deux…  Mais pour évoquer ce passage de mon existence, il me faut tout d’abord présenter deux personnages.  Deux ombres qui me suivaient avec intérêt, j’aurais préféré de simples fans. Mais ceux-ci étaient beaucoup trop âgés pour être de jeunes fans.

La civilisation occidentale qui s’installait à l’ouest amenait avec elle son lot de maladie, dont le vampire. Se pensant lumière de l’humanité ils ne pouvaient ignorer cette conquête et déjà certains curieux s’installaient déjà dans les premières grandes villes de l’ouest. Depuis trois jours déjà que je séjournais à L.A, évidemment j’ignorais toute de cette mascarade.  La cité angélique ne comptait seulement 10 000 habitants, sans Hollywood, sans son prestige c’était une ville qui vivait surtout de ses casinos. J’avais bien l’attention à ce propos de me faire un peu d’argent. Le jeu demandait de la tactique dans la précipitation, ça j’en avais. Pour avoir organisé évasion et fusillade, je commençais à avoir un don dans le domaine. Deux étranges personnes prirent place à ma table, ils voulaient jouer une partie de bridge. Les deux se présentèrent avec respect, mais cela ne me plaisait pas. Ils étaient étrangers, ils avaient des noms à rallonge, leurs langages étaient soutenus, leurs vêtements étaient ridicules et concernant leur odeur… Je n’avais jamais vu deux hommes se parfumer, l’idée était infecte.  J’hésitais à refuser la partie à deux étrangers, mais l’appât du gain fut plus fort. Je sous-estimais mes adversaires et me voyait déjà plumer deux imbéciles d’Europe. Le premier s’appelait Lorenzo Di je sais plus un nom qui se finissait en « Icci » prononcé à la ritale. Le deuxième je le connais bien maintenant, le marquis Virgile Verius Volcanti. Parce que je n’étais point familier de ces noms, je préférais retenir leurs noms ainsi, il y-avait Lolo et 3V. Lolo semblait le plus loquace et rieur, 3V s’ennuyait ferme. Il ne semblait guère apprécier l’idée de passer leurs soirée au saloon Briggs. La partie ne se déroula point exactement comme je le pensais, malgré de bons succès de ma part ma chance s’arrêta assez vite. A mon dernier tour de jeu, celui-ci était décisif mais pas pour ma pomme. En jouant j’allais décider de qui 3V ou Lolo allait gagner cette partie. Courte réflexion, je préférais alors 3V. Il m’apparaissait le plus honnête des deux, l’autre me rappelait un requin rieur qui semblait prendre plaisir de voir les petites gens dans la merde. Bizarrement, perdre fit sourire Lolo et 3V devint alors encore plus sombre. Fin du jeu, je préférais me retirer plutôt de supporter encore ces deux cons venus d’Europe. Tourmenter par cette histoire je me couchais direct, avec mes gains des autres soirées j’avais amassé une petite fortune confortable.  Je logeais donc au premier étage du saloon Briggs.
Tout ce début de nuit je tentais de décrypter les actions des deux européens, des italiens à ce que j’avais compris. Pourquoi ce jeu, pourquoi ces sourires, pourquoi ces regards pesants, j’avais l’impression que d’avoir été un nègre qu’on examinait avant d’être acheté.  Je me trompais, je préférais penser qu’ils s’agissaient de deux tarlouzes qui aimaient ma belle petite gueule, et puis le sommeil vint.

Quand soudain mon sommeil naturellement léger se stoppa, un homme était dans la chambre. Direct je braquais mon colt sur le visiteur nocturne, celui-ci ne bronchait pas malgré la surprise de mon réveil, c’était 3V.

3V : Du calme mon enfant, je suis la pour te montrer le chemin de la nuit. Tu as été choisi pour nous rejoindre, immortel tu seras, impossible à vaincre tu…
Je  coupai 3V violemment, inutile de préciser que j’avais abandonné mon coté cool naturel. J’étais extrêmement énervé…
Billy the Kid : Va te faire FOUTRE CONNARD ! Je suis pas intéressé par ta religion ou par ta secte. Va dire ça aux tarés du KKK ! DEGAGE de ma chambre ou je te bute, tu connais le 2ème amendement rital de merde ?

Voila un élément de résistance insolite pour une rose comme 3V. Mais celui-ci devait malheureusement aller jusqu’au bout de la démarche. Si les mots n’arrivaient pas à me convaincre, il devait forcer la chose. Ce mec, 3V, était trop rapide pour être humain. Il faisait certes noir, mais à son avancé sur moi je l’ai manqué de mes 6 coups de revolver. Jamais je n’avais manqué une cible à cette distance, j’étais le Kid merde ! Il arriva au contact, sa main était glacée. Tant pis je devais assurer au corps à corps donc. Un coup de poing sur la mâchoire, coup dans l’abdomen et je projette 3V contre l’armoire. Cette dernière se fracasse mais 3V semble encore intact, j’avais mis toute ma force pourtant. Je me saisis de mon second colt prévoyant une nouvelle charge de 3V. Alors qu’il bondissait avec ses crocs bien en visuel je vidais mon chargeur dans sa sale gueule de monstre. Enfin j’entendais de la douleur, replié sur lui-même comme une gamine pleurnicheuse, je me saisis enfin de son corps pour le défenestrer violemment. Je regarde 3V sur le sol boueux de Los Angeles, j’étais convaincu qu’il allait se relever le batard. C’était un monstre pour avoir survécu à toutes ces balles.  Je descends rapidement empoignant la Winchester du tenancier, à la sortie je m’apprête à tirer une première fois sur le monstre. 3V m’attendait caché à la sortie, de nulle part il se saisit de la Winchester pour me désarmer. Il finit par s’emparer de moi, bloquant tout mouvement pour enfin me mordre au cou. Je ressens la douleur mais j’apprécie aussi l’extase du moment, étrange sentiment.

Cependant je ne pouvais concevoir d’être sucé par une tarlouze de rital. Regroupant mes dernières forces je frappe sur son flanc pour qu’il arrête son étreinte, encore un coup dans les gencives pour l’envoyer valser dans la boue de la rue principale. Ah il n’était plus vraiment présentable le 3V. Puis je vis une lueur rouge briller dans ses yeux, il semblait être fatigué de jouer et moi aussi. Je bondis alors sur la Winchester mais trop tard, 3V était déjà sur moi et il me révélait enfin ses traits de vampire. La vision me glaçait d’effroi, mon corps se laissait faire enfin. J’aurais du fuir comme à mon habitude, Billy the Kid fuis toujours devant la mort. J’avais pris le pari de combattre et j’avais perdu contre un italien… Quelle honte…
3V était une rose importante au sein de son clan, extrêmement respecté, admiré pour ses connaissances, plébiscité pour ses conseils politiques éclairés. Ce soir la rose était furieuse, elle venait de perdre un pari avec son ami Lorenzo. Le perdant se devait d’étreindre Billy the Kid, une célébrité mortelle qui n’avait aucunement sa place parmi les roses. Le perdant avait pour obligation d’élever le Kid pour en faire une parfaite rose. Il y-avait un intérêt politique derrière ce jeu, car il était de notoriété qu’un brujah influent avait repéré le Kid donc moi et prévoyait d’en faire son infant. Le perdant avait donc en charge une rose médiocre et en ennemi potentiel un brujah mécontent. Celui qui perdait la partie c’est celui qui recevrait les faveurs du Kid. A la partie de bridge en permettant la victoire à 3V je l’avais précipité dans la défaite. Lolo devait bien rire désormais, de voir 3V dans cet état. L’étreinte la plus horrible de toute sa non-vie.
3V traina mon corps jusqu'à son domaine, un ranch surplombant la ville. Sans ménagement il jeta mon cadavre sur le sol, une de ses goules vint à ma rencontre pour m’examiner, mauvais reflexe à avoir pour un tout jeune nouveau né. J’étais revenu de la mort, plus fort et plus habile, avec une étrange faim qui me torturait l’estomac. En voyant la servante je n’eus aucune hésitation sur ce qui fallait faire. D’un bond mes crocs se saisirent de sa gorge, je me délectai de son sang. C’était la première fois que je tuais une femme. Elle tomba à mes cotés et vint alors une foule de question. J’étais redressé regardant avec colère ce qui était désormais mon sire.

Billy the Kid : Que m’as-tu fait BATARD !
3V : J’ai fait de toi un Toreador, sois fier de ton sang ! Tu fais parti de ceux qui détiennent la connaissance, de ceux qui guident le troupeau. Tu as le sang des mécènes, des conseillers. Tu symbolises désormais le raffinement, l’élégance mais aussi l’esprit aiguisé. J’ai fait de toi mon fils, un nocturne, un être de la nuit, un vampire. Regarde ton forfait, l’immortalité à un cout. N’as-tu point trouvé l’acte beau en goutant ce sang vierge ? Garde-toi à présent du soleil, c’est ton ennemi juré. J’aurais aimé continuer les explications mais tu as trop bien résisté, mon corps à besoin de se reposer. Pax Noctis mon fils… »
Billy the Kid : Quoi ? C’est quoi Pacte noccis ?
3V : C’est du latin ça signifie…
Billy the Kid : J’en ai rien à FOUTRE, tu me parles pas en lapin ! Ici c’est l’Amer…
3V : SUFFIT !

J’écoutais ce père les dents serrées. Il y-avait beaucoup trop de zones d’ombre et je savais que ma condition avait réellement changé. Je devais calmer mes ardeurs pour comprendre. Je venais de tomber dans un milieu ou j’ignorais tout, il me fallait m’adapter pour survivre, comme on survit à la traversée d’un désert. Sauf que la il semblait ne pas exister de porte de sortie à cet état, j’étais immortel. Plus calme, je passais mes premières nuits à éprouver mes dons de vampire. J’avais une nouvelle force, mais la vitesse que j’avais acquise me plaisait davantage. Je pouvais dégainer encore plus rapidement et tirer avec une précision davantage mortelle. J’étais finalement ravi de cette condition, pour l’instant. Papa comme je l’appelais pour l’énerver me coupais volontairement du monde camariste. Ma première sortie lui avait fait horriblement peur, il avait du me gaver de son sang pour que je ne paraisse pas trop grossier devant le Prince Amelia Quinn. Les années qui ont suivies, il voulait avant tout me former pour que je puisse apparaitre comme la plus parfaite des roses. La chose était évidemment compliquée, j’étais un esprit rebelle.

3V : Bon faisons un petit résumé. Tu es bon en algèbre, c’est une qualité. Mais tu refuses d’apprendre correctement l’histoire mortelle et l’histoire de nos clans. Ne parlons pas de la géographie, étant donné que tu confonds encore l’Italie et le Japon… En langue, tu es doué en français et italien. Mais pourquoi refusé d’apprendre le latin ?
Billy the Kid : C’est une langue morte papa, je ne vois pas l’intérêt.
3V : C’est notre histoire, notre clan à pour but de préserver cela, à sublimer cet héritage. Toujours pas convaincu hein ? Passons, bref, voyons les arts… Tu ne sais pas chanter…
Billy the Kid : Vous n’avais pas aimé le chant à votre honneur papa ?
3V : Rend ainsi honneur à un Ventrue si tu veux mourir mon fils. Je continu… Mauvais en composition, médiocre en sculpture, insensible à la poésie, incapable de jouer la comédie… Il nous reste la musique et le dessin, il faut que ça marche. Je ne veux pas que mon fils soit considéré comme un sans talent, tu dois briller en ces arts ! Je t’ai fait donc un cadeau, j’espère qu’il te plaira. Ouvre le paquet à ta droite.
Billy the Kid : C’est quoi ce bâton ?
3V : Ce n’est pas un bâton, c’est une flute traversière. Et la tu es en train de souffler par le mauvais bout… Seigneur… Aidez-moi…

Les années passèrent et je commençais à m’ennuyer de ce jeu. La camarilla avait intérêt à me plaire pour avoir fait tant d’effort. Des événements mortels, j’ai vu passer la guerre de Sécession sans avoir tirer le moindre coup de feu. Lors d’une permission j’ai rendu visite à mon cher ennemi Dolan, devant mon fantôme il a préféré se suicider, lâche jusqu’au bout. Quelle horrible façon de mourir. Peu de temps après la guerre j’ai rencontré Pat Garrett l’écrivain raté, j’avais le cœur nostalgique sur les plaines de l’ouest. Je pris en affection le bougre et je lui contais l’histoire de Billy the Kid, mon histoire. Plus tard j’appris le succès de ma biographie, Pat Garrett se présentait comme un ami rencontré après mon évasion du tribunal. Mais apprenant mes méfaits il m’aurait assassiné au saloon de Briggs. L’histoire en vérité me convient très bien, la morale est sauve et le méchant Billy the Kid à finit par trouver la mort. Le début du XXème siècle m’ennuyait également, j’étais de plus en plus envahi par les souvenirs de mon existence humaine. Ou était la liberté des plaines, ou était le danger de cette vie, il n’y avait aucune saveur à vivre dans une cage dorée, à apprendre la flûte. Je devais beaucoup à papa, il m’aimait malgré que je sois un pari perdu. Mais je craignais la Camarilla, un monde qui ne semblait pas pour moi.

Je goutai enfin à la mondanité après des décennies d’acharnement intellectuelles. J’étais un vrai singe savant, enfin presque. J’éprouvais toujours de vive résistance surtout concernant le latin. Ce soir j’étais la rose vedette, car j’étais l’infant caché du Primogène. Oui papa était Primogène des roses, rien que cela. Je devais donc faire bonne impression, pour Papa. J’essayais d’être le moins endormi possible au sein de cette foule aristocratique. C’était une société que je n’aimais pas, faux sourires, des perruques, des masques… Et une question me saisit, qui était américain dans la salle ? Ces personnes existaient nécessairement, mais qui était américain au sein du Primogénat ? Des britanniques, des français, des italiens… Ou était l’Amérique ? Le pays des libertés était il gouverné par un ramassis d’aristocrate parasite européen ? La chose m’effrayait tant je prenais à cœur cela. L’ambiance ne me plaisait pas et malgré mon ressentis je jouais les fils modèle, pour Papa. J’ai eu le droit à mon solo de flute traversière, des applaudissements vifs. Je ne tirais aucune gloire de ma prestation. Je n’étais plus vraiment Billy the Kid… Qui étais-je ?

La soirée se répéta, se répéta… Le règne d’Amélia Quinn était mou, sans énergie. Nous ne faisions que disserter et nous goinfrer de sang mortel. Si j’aimais l’hédonisme, de me vautrer dans la luxure, je préférais ma liberté. J’avais interdiction de m’exprimer à ma guise et cela ne respectait pas le premier amendement des Etats Unis d’Amerique. Los Angeles devenait une ville attractive, depuis que Quinn était aux commandes l’industrie du cinéma grandissait et faisait la fierté de la cité. Le seul élément positif du règne d’Amelia. Beaucoup de sons grognaient contre son règne… Un murmure qui arriva jusqu'à moi, j’étais une harpie fainéante à l’époque, qui avait eu le poste uniquement parce que papa était primogène. La tension venait des brujahs, la colère montait car Quinn ne levait pas un petit doigt pour gratifier les sacrifices des guerriers face à l’engeance sabbatique. Le clan brujah allait a la boucherie et Amelia continuait à organiser ses réceptions.

Je me sentis revivre à humer cette odeur de rébellion. Le prévôt brujah semblait mener la danse, moi la harpie torador je me joignis à la conspiration. Ceux qui connaissaient mon passé mortel comprenaient parfaitement ce choix. Avant même d’avoir touché à la tête d’Amelia Quinn notre mouvement fut contré par les primogènes Tremere et Nosferatu. Ce n’est pas la tête de Quinn qui valsa mais bien celle du prévôt. Renouant avec des habitudes de mortel je pris la fuite avant qu’on ne mette la main sur moi. Mais la responsabilité chuta sur les épaules de papa. Déchu de son titre de Primogène, ce dernier dut s’exiler le cœur lourd du territoire de Los Angeles.  Dans les rues que je ne reconnaissais plus, je devais désormais survivre. Apprenant que trop tard le départ de papa, je n’eus même pas l’occasion de lui dire adieu. Une harpie toreador aurait très vite trouvé la mort sans sa précieuse Camarilla. Mais j’étais le Kid autrefois, il me fallait renouer avec d’anciennes habitudes. Fini les saloons, bonjour les hôtels, de bonnes choses se perdaient à l’ouest. La civilisation gagnait trop de terrain à mon gout, plus de boue dans les rues mais de belles routes avec du bitume. Un temps m’ai venu carrément l’idée de virer Sabbat mais je pouvais pas supporter leurs manières. Pour moi il s’agissait d’une bande de malade mentale.

Je fut accueillis par un autre groupe, les anarchs. La rencontre fut assez violente, mais très vite moi et le baron on s’est rendu compte qu’on avait quelques manières de penser en commun. L’amitié ne s’est pas faite en un éclair, mais à force de coopérer on à commencer à s’entendre. Je crois que j’amusais le baron, moi le nouveau né qui faisait tourner en bourrique le fléau et la Camarilla. Cela le faisait rire… Même si à long terme je ne donnais pas cher de ma peau, une nuit ma chance allait forcement me quitter. Cependant avant que cette lune n’arriva, le baron me donna l’immunité en étant un anarch, en faisant parti de cette bande. J’acceptai évidemment ! Si le 20ème siècle avait commencé mal, la suite fut charmante car très vite je pris mes anciennes habitudes du Kid. Très vite aussi les autres apprirent mon histoire mortelle. Vivre en bande, pour la liberté, ça me plaisait, j’adorais ça. Ici pas de latin, ici pas d’italiens ou de français, ici on ne vivait pas pour le prochain bal mais on vivait la nuit pour l’instant présent. Le baron Anderson était content de moi, j’étais devenu son bras droit, la chose s’était faite naturellement sans susciter la moindre jalousie de la bande. La plupart étaient brujah, mais pour un torador j’étais particulièrement craint. On s’occupait généralement de régler quelques comptes avec les ordures du Sabbat. On allait la ou la Camarilla avait peur de se montrer. Parfois il m’arrivait de conseiller le baron en stratégie, dans une logique de bataille il était plus profitable de se servir d’une diversion, d’un appât. En l’occurrence, arriver en force après que quelques camaristes se soient fait buter était toujours un plus.

La deuxième moitié du XXème était alors une époque glorieuse. En plus de la musique j’ajoutais encore un art à mon arc. Si la peinture n’éveillait que peu d’intérêt à mes yeux, le dessin était lui source de ravissement. J’ai toujours été habile de mes mains, un colt ou un fusain, la différence paraissait si maigre quand il était question de dextérité. J’aimais passionnément le style comics, je dessinais parfois pendant des nuits entières. Sans me vanter je suis plutôt doué en cet art.

Se faisant, la non-vie devenait cool à Los Angeles, je ne regrettais plus les plaines du Nouveau Mexique. Finalement j’aurais du me souvenir d’une malédiction quand j’étais mortel. Mon boss finit toujours par se faire buter, jusqu'à ce que je prenne sa place. Même dans la non vie, la chose se produisit. Contre des chiens du Sabbat le baron chuta, empalé par quelques pics d’ombres d’un lasombra très âgé. Notre déroute fut sérieuse et naturellement en cette lune j’acceptais sans formalité la tache qui m’incombait. Devenir baron, assurer la survie de la bande, faire vivre notre idéal et maintenir un bon niveau de relation avec la Camarilla. L’idée de devoir traiter avec Amelia Quinn ne m’enchantait pas. Par chance son règne ne dura guère longtemps avant ma prise de position.

J’étais une légende mortelle et déjà un vieux vampire pour les anarchs. On ne vivait pas vieux chez les anarchs tant notre imprudence et impudence étaient légendaire. On se battait contre des trop gros morceaux, mais pour la liberté il fallait le faire. Comme je l’étais de ma vie mortelle, je suis devenu un leader respecté, plus ou moins admiré. Car pour commander il fallait faire des choix et ma froideur de tempérament ne plaisait pas toujours. Un idéal demandait des sacrifices, les belles paroles ne suffisaient pas, je n’étais pas un menteur, je n’étais pas un chevalier au grand cœur hypocrite. Comme au temps de Dolan on recherchait le fumier de lasombra responsable de la chute de l’ancien baron. Mais on trouva un ventrue, un allié du lasombra à ce que j’appris…

J’avais pourtant prévu la bataille en détail, mais on était tombé sur un os avec ce Ventrue. Un ancien qui ne craignait aucunement mes balles améliorées. Je ne tirais plus avec de simples balles, mon armurier avait suffisamment de compétence pour me faire des flingues de choix, mes petites chéries adorées. Ce soir la je perdis pas mal de monde et le Ventrue mis la main sur ma tête… Il n’en profita même pas pour m’abattre le batard. Il préférait me faire appeler mes camarades un a un pour les buter. J’ai bien essayé de le rouler au début, mais après qu’il m’eut gavé de son sang, je ne pouvais que me résoudre à obéir. Quel pitoyable baron je faisais, si seulement je pouvais avoir la force de m’évader, de fuir. Je jurais de revenir pour lui faire sa fête à cet étranger de merde.





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MessageSujet: Re: Fiche Billy the Kid   Fiche Billy the Kid EmptyJeu 24 Avr - 19:25

Il manque la description physique mon chou ^^
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MessageSujet: Re: Fiche Billy the Kid   Fiche Billy the Kid EmptyVen 25 Avr - 13:44

L'apparence physique c'est fait désormais.^^
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MessageSujet: Re: Fiche Billy the Kid   Fiche Billy the Kid EmptySam 3 Mai - 22:51

J'avais bien aimé le concept lors de la première lecture, j'ai pris grand plaisir à relire la fiche ^^
Tu mérites largement ce premier avis positif !
Ça fait du bien de voir un bon américain pure souche.
Un seul tout petit chibi détail à changer :
Citation :
moi avec mes cheveux blonds de paille de mon père
Si tu es blond à dix ans, tu restes blond après, or à vingt ans tu as les cheveux noirs. Juste ce détail à modifier dans ton histo. ^^
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MessageSujet: Re: Fiche Billy the Kid   Fiche Billy the Kid EmptyDim 4 Mai - 10:51

Le détail est modifié. Merci pour les commentaires.^^
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MessageSujet: Re: Fiche Billy the Kid   Fiche Billy the Kid EmptyMer 7 Mai - 14:15

A mon tour !

Alors déjà, j’adore le choix de l’avatar, je trouve qu’il colle sacrément bien avec le personnage, même si ce n’est pas ça que je suis censée juger. 8D
Le personnage en lui-même, que ce soit pour le physique ou le mental, je trouve qu’on accroche facilement. Il est bien construit et on en a une bonne vue d’ensemble, c’est nickel de ce côté-là.
Quant à l'histoire, j'ai bien aimé que tu te sois approprié la légende du Kid, c'est très agréable à lire, et je ne vois rien qui cloche de ce côté-là.

Deuxième avis positif donc ! Smile
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MessageSujet: Re: Fiche Billy the Kid   Fiche Billy the Kid EmptyMer 7 Mai - 14:47

Félicitations à notre premier Anarch !
Tu penseras, comme d'habitude, à activer ta feuille de disciplines, et à remplir si tu le souhaites les fiches de liens, rp, disciplines.
Bon jeu, Baron !
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