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 Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés!

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MessageSujet: Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés!   Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés! EmptySam 18 Mai - 14:57



Présentation de


Amelia Quinn
VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE




Nom : Quinn
Prénom : Amelia
Surnom : Princesse ira très bien. Votre majesté aussi, mais c'est un rien trop pompeux.
Date et lieu de naissance : Eté 1480
Date et lieu d'étreinte : Dublin, hiver 1527
Age + Statut d'âge : Ancienne, 527 ans, dont 482 années vampiriques
Génération 7 me semble un bon chiffre
Faction Camarilla
Clan Toréador
Poste Prince de toute évidence
Disciplines Auspex 5
Présence 5
Domination 3
Force d'âme 2
Célérité 1
Dissimulation 1





    Feat. Emilia Clarke


Les apparences sont trompeuses
A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?


Amélia est ce qu’on pourrait qualifier de belle femme. Enfin, de beau vampire, mais c’est assez pléonastique lorsqu’on parle d’un membre du clan de la Rose. Vous la verrez toujours vêtue avec soin, ayant sans nul doute une préférence pour les robes, précieuses de préférence. Elle vous semblera au premier regard sublime, enchanteresse au second, et captivante au troisième.

Est-il nécessaire de décrire les longues boucles brunes que forme sa chevelure, l’ovale parfait de son visage, et les pommettes hautes qui soulignent deux yeux d’un bleu profond ? Est-il besoin de passer sur la plastique somme toute parfaitement harmonieuse de la vampire ? Je suppose qu’on l’aura compris, Amelia, est une personne agréable à l’œil.
Cependant, il est une chose dont il est primordial de se souvenir : bien qu’elle pût paraître une personne alléchante, son rang ne lui autorise en somme aucune familiarité avec aucun de ceux qu’elle croise. Vous fait-elle un sourire qu’elle songera à vous égorger si vous devenez une menace.

Car après tout… on n’arrive pas à ce rôle là sans quelque sacrifice, de même qu’on ne le conserve pas sans faire quelques vagues.
Sa voix sera toujours posée, et bien qu’elle eût de sa prime jeunesse conservé une certaine impétuosité, son masque aimable et agréable en est bien un. Qu’elle bouillonne ou soit plus résolue que le fil d’un sabre, vous n’en saurez rien. Jamais.  


A la découverte de votre esprit
QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?


Ainsi que nous le disions plus haut, Amelia est un personnage extrêmement manipulateur et conservateur à la fois. Pour elle, la Camarilla est une institution sacrée, qui l’a libérée de l’enfer de sa vie Terrestre. Elle se battra tout à la fois par conviction et par appât du pouvoir pour protéger son influence dans la cité des Anges.

Stratège émérite, elle fut aussi de son temps une fine lame. On la verra d’ailleurs bien souvent l’épée au côté, proposer un petit entraînement à quelque jeune vampire dont elle aura remarqué les talents d’escrimeurs.

Fine connaisseuse de ses propres compétences, elle tendra à ne pas surestimer ce qui lui est possible de faire. Toutefois un reste d’impétuosité sera susceptible de lui faire perdre la raison si elle est provoquée de façon déraisonnable.

Contemplative comme tous ceux de son clan, grande amatrice d’art, de vernissages, d’expositions, de cinéma, elle assumera totalement une vie mondaine connue à la fois des humains et des vampires, façon pour elle de renouer avec son amitié. Elle ne comprenait jadis pas son sire qui faisait la même chose de son temps, et se prend parfois à avoir les mêmes pensées, reste, sans doute, de son sang qui coule encore en elle.

Il lui est souvent arrivé de passer des nuits absorbée dans la contemplation d’œuvres, même si cette pratique tend à disparaître lentement ces dernières décennies, trop préoccupée par son œuvre majeure : la survie de sa bien-aimée Camarilla.

Extrêmement respectueuse des convenances et du protocole, elle supportera très difficilement tout accroc à l’un des principes de la Camarilla, mais également à l’une des cent-dix-huit règles de bienséances que tout vampire parfaitement éduqué devrait connaître. Malheureusement, trop rares sont ceux qui n’en enfreignent aucune en l’espace d’une dizaine de minutes, aussi a-t-elle cessé de s’en formaliser, bien qu’elle notât intérieurement toutes ces abominables infractions.

Extrêmement respectueuse de la mémoire de son sire Cian Quinn, elle ne manquera pas de prier tous les samedis soir pour le repos de son âme.


My life before and after...
MA VIE DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...


Par une chaude nuit d’été de 1489, un cri jaillit d’une maison. Ce cri fut repris par des pleurs d’enfant, et des exclamations de joie. « Elles sont vivantes ! » L’écho se répandit dans tout le village, et, bien qu’on fût endormi encore à ce moment de la nuit, les ruelles boueuses ne tardèrent pas à se remplir.

Des jours durant, on avait craint pour la mère et son enfant, persuadé que la venue de l’une précipiterait l’autre dans la tombe tant ses derniers mois de grossesse avaient été difficiles et éprouvants. Le soulagement était perceptible par tous, et surtout chez le mari et père à la fois qui avait craint sans doute de perdre deux êtres chers dans la même nuit.

L’enfant grandit dans un petit village à proximité de Dublin qui aujourd’hui a été totalement avalé par la capitale Irlandaise. Comment s’appelle-t-elle à cette époque ? Sa prodigieuse mémoire ne s’en souvient pas, aujourd’hui. Elle grandit avec le goût des troubles à venir dans la bouche. Les terres Irlandaises sont sous domination Britannique depuis des siècles déjà, et la révolte gronde. Encore ténue, pour le moment, mais elle éclatera sans doute bientôt.

On supporte de moins en moins les impôts dus à la couronne britannique, et son dirigisme arbitraire, on se demande où sont passés les héros d’antan, et les symboles de l’époque où l’on était libre. Cela fait quatre-cent ans, ou presque que les choses sont ainsi, distillant un malaise à peine perceptible, de l’envahisseur.

L’enfant devint jeune fille, et écopa du droit d’aider aux champs, en même temps que de se marier. Elle fut promise successivement au fils du forgeron, garçon maladif qui finit par dépérir peu avant les noces, à un fils de tisserand dont on annula les noces lorsqu’on découvrit qu’il était le père d’un petit garçon né chez sa voisine, et à un fils de rebouteux qui resta tristement célèbre dans le village une décennie durant lorsque l’inquisition trouva utile d’aller le coller sur un bûcher pour tentative d’empoisonnement satanique. Dès lors, on se mit à soupçonner la jeune enfant d’être elle-même une sorcière, et de porter malheur à quiconque l’entourait. De telle sorte qu’aux environs de sa dix-huitième année, elle était encore seule, vierge, et à deux pas du bûcher.

La jeune fille avait pris l’habitude de quitter le village de nuit, pour aller pleurer dans un champ voisin, tout en faisant bonne figure le jour, lorsqu’elle était tour à tour raillée, fuie, et à demi-lapidée par les gosses des environs. Un soir qui n’était ni de pleine lune, ni de nouvelle lune – cela eût fait trop cliché, convenons-en – la demoiselle en détresse était descendue un peu plus bas qu’à l’accoutumée, près du rivage – cela lui faisait bien une demi-heure de marche supplémentaire – e s’était installée sur des rochers glissants. A quoi pensait-elle en ce lieu sinon à mettre fin à son existence, retenue qu’elle était par la certitude que Dieu l’abandonnerait si elle faiblissait et ne triomphait pas de cette épreuve ? Elle hésitait, quitter la vie ou ne pas la quitter. Risquer la damnation éternelle, ou endurer de passagères souffrances humaines ? Elle n’eut pas le loisir de faire son choix qu’elle entendit au loin le bruit du pas d’un cheval.

Apeurée, l’adolescente – pardonnez l’anachronisme du terme – se cacha dans les rochers, et vit, au loin, une carriole passer. Une forme se tenait assise, guidant deux chevaux placides, et, à l’arrière, il y avait quelque chose qu’elle ne parvenait pas à distinguer précisément. La curiosité – et on dit que c’est un vilain défaut – prit le dessus, elle se rapprocha.

Le cocher la repéra d’assez loin – cela ne la surprit que plus tard, lorsqu’en repensant à la scène, elle se ferait la réflexion qu’il faisait vraiment sombre - et l’invita sans un mot à s’approcher. A ce moment là, il y a toujours un moment de doute, et la jeune fille n’y fit pas exception. Elle prit peur, et n’osa pas faire un pas de plus. Toutefois de là où elle était elle pouvait deviner une forme encapuchonnée assise à l’arrière de la carriole, le regard adossé à l’un des montants de la charrette. Comme soudainement subjuguée par ce mystérieux personnage, elle obtempéra, oublieuse de toute notion de prudence la plus élémentaire.

Notre protagoniste se retrouva assise dans une carriole, à côté d’un cocher qu’elle ne connaissait pas, avec un étrange homme – du moins le supposait-elle – à l’arrière, qui restait immobile et impassible. Oh, elle tenta bien de leur demander où ils allaient, mais à chaque fois qu’elle voulait ouvrir la bouche, une chape de confiance absolue en leur destination s’abattait sur son esprit, et elle redevenait muette.

La route lui sembla tout à la fois brève et interminable. Le silence n’était troublé que par le lent pas des chevaux. Pour un peu, la gravité des circonstances lui eussent évoquées un cortège funèbre, bien qu’il n’en fût rien. Lorsqu’enfin on cessa d’avancer, la`silhouette noire s’ébroua, comme sortant d’une longue contemplation – et l’on devinera que c’était effectivement le cas – et fit face à l’humaine qu’elle avait repérée des lunes plus tôt. Il était indéniable que notre héroïne avait un charme certain, et c’est bien par là que péchait le vampire qui se trouvait tout près d’elle.

Cian Quinn était un de ces vampires entre deux âges de l’époque, carriériste et esthète entre tous, qui voyait en la recherche d’un infant une opportunité d’accroître sa propre influence. Peu désireux de se tromper, toutefois, il avait pour l’heure une préférence pour les goules – cinq étaient à son service – qui faisaient de parfaits petits pions. Cette jeune fille dont un de ses esclaves avait eu vent par sa noire réputation lui avait dès lors semblée bien intrigante. Etait-elle vraiment un assassin ou n’avait-elle joué que de malchance ? C’était bien cela qu’il avait voulu vérifier ce soir là. Il avait poussé ses goules à agiter la foule à l’encontre de l’adolescente, misant sur son intuition qu’elle chercherait dès lors le soir même à faire une escapade plus loin qu’à l’accoutumée. Son plan s’était avéré payant, et à présent, il avait tout le loisir de vérifier ce qu’il désirait.

Notre vampire des temps anciens se rendit assez vite compte du caractère éminemment paradoxal de sa victime. Tout à la fois intelligente et vive, elle semblait toutefois être bien trop douce, bien trop peu battante pour faire une infante digne de ce qu’il attendait. Lui forger le caractère serait une excellente idée. Il fit d’elle sa goule, donc, lui imposa de renoncer à son identité – la légende veut qu’il y avait des Camélia tout près d’eux, le soir où il opéra le changement, et qu’en résulta le prénom d’Amelia - et sans autre forme de procès, il lui mena la vie dure.

Pour tout le village, la nouvelle nommée Amelia avait disparu, un soir, ce qui asseyait sa réputation de sorcière une bonne fois pour toutes. Le vampire et sa suite quittèrent donc les environs, le temps que l’esprit humain oublie cet étrange événement, ils voyagèrent quelques peu, se confrontant aux ennemis honnis de l’endroit – et Dieu sait que ça grouillait de Sabbatiques dans les landes.

Il n’eut aucune pitié pour Amelia qu’il envoya au front dès qu’elle sût à peu près tenir une lame (et il faut relativiser la chose, parce qu’elle avait deux mains gauche, notre petite paysanne), il eut aussi tôt fait de la lier à lui par le pouvoir de son sang (c’était une époque où les goules étaient beaucoup moins bien considérées qu’à l’heure actuelle) s’assurant ainsi de sa plus totale fidélité.

C’est une époque de laquelle Amelia garde peu de souvenirs, si ce n’est qu’il y eut beaucoup de batailles, et plus d’errances encore. Elle apprit autant qu’elle oublia, et une quarantaine d’années passèrent sans que le temps n’eût de prise sur elle.

Jugeant qu’elle avait suffisamment fait ses preuves, Cian décida qu’il était temps pour lui de prendre infante. La nouvelle fut accueillie avec la réserve qui s’imposait dans la Camarilla, car on craignait quelque intrigue politique du Toreador… mais vous savez bien ce que l’on dit, en temps de guerre, il faut prendre des risques, et la goule s’était illustrée notamment par l’assassinat de sept nouveau-nés Tzimisces. Aussi il était naturellement hors de question de se mettre à dos pareille allié (le sire, pas la goule) en refusant ce qu’il demandait.

L’étreinte eut lieu un soir d’hiver.


Ayant déjà été accoutumée à l’environnement des vampires, la jeune Amelia n’eut pas grande peine à trouver ses marques dans ce nouveau monde. Nous étions en 1527, les guerres de religions étaient toutes proches. Profondément catholique, la jeune femme – et cela dépassait son Sire – était persuadée que leur rencontre était le fruit de la providence divine. Elle en fut un peu moins persuadée lorsqu’elle fut pour la première fois confrontée à la Soif.

La force d’âme et le contrôle qu’elle avait gagnés sur elle-même durant ses jeunes années Goulifiques lui furent d’une aide précieuse, mais on plaisante encore dans les cercles Toréador de ce qu’elle s’attaqua à son Sire sous l’emprise de la frénésie. (Notez que les plaisanteries se font à mi-voix seulement. C’est susceptible un prince Toréador.) Il lui fallut une bonne décennie pour être « stable », c'est-à-dire ne connaître aucune saute d’humeur incontrôlable liée à la soif. En réalité, ce n’était pas des plus handicapants puisque les batailles faisaient rage entre religions, mais également entre factions vampiriques, de telle sorte qu’il y eût toujours un hérétique pour faire les frais d’une soif inextinguible.

Opérons à présent un petit saut temporel pour arriver directement en 1641 date d’une grande révolte Irlandaise. La Camarilla prit le partir de soutenir les hommes dans cette révolte, et bon nombre de goules furent créées. Car on profitait de l’occasion pour remettre au goût du jour les abominations de la guerre, et notamment les exécutions. Quoi de plus amusant que de faire passer un Tzimisce pour un rebelle ? Les Camaristes ont toujours eu le sens de l’humour, même dans les jeunes années de la fondation.

Durant cette époque particulièrement troublée, Amelia eut le temps de se faire les crocs dans le monde de la politique. Son sire venait en effet d’être nommé primogène Toréador de la ville de Dublin, ville dans laquelle les forces Britanniques débarquent d’ailleurs pour tenter de remettre un peu d’ordre dans toute cette agitation. Il est inutile de dire qu’en cette période troublée, la bonne société vampirique Dublinoise le fut aussi. Par chance, on parvint à placer des goules dans les deux camps de façon à s’assurer une totale discrétion.

Amelia, toutefois, qui avait une âme de patriote peinait à accepter le fait que l’on pût ainsi accepter l’éventualité d’une victoire Anglaise. Voyant donc que sa jeune (un petit cent-vingt ans c’est jeune, on en conviendra) protégée tendait à perdre de son sang froid, et ce serait désastreux pour son image si elle venait à s’en prendre à une haute sphère Camariste, Cian résolut de demander l’autorisation au prince local de s’éloigner de Dublin. Ce dernier, soulagé du départ de son rival potentiel ne se fit pas prier, et lui accorda de bonne grâce le départ qu’il demandait.

Voici donc qu’arrivèrent nos deux compagnons en France, le règne de Louis XIII touche à sa fin dans la tourmente de la guerre de trente ans, et Amelia se prend d’un intérêt certain pour la politique de cette époque. Introduite à la cour Camariste de Paris en ces temps troublés, elle s’intéresse de très près aux jeux de relations et d’influences dont la capitale française est le théâtre. Son sire l’y initie, satisfait de son initiative de l’avoir éloignée de ses attaches, et l’on retrouvera bientôt le duo dans les hautes sphères d’influences de l’entourage du Prince.

Lorsque la révolution se met à gronder, quelques siècles plus tard, Cian, parfaitement installé à Paris en tant que Primogène, et Amelia, Prévost de la ville se résolurent à opter pour une position neutre, bien que la Camarilla fût elle-même divisée en cette époque. Il y avait ceux qui désiraient une refonte du système de fonctionnement de leur très chère faction, lorsque d’autres, plus conservateurs, refusaient de s’imprégner des idées révolutionnaires.

Leur neutralité fut extrêmement mal interprétée à la fois par les camaristes « conservateurs » et leurs opposants révolutionnaires, et l’on pria sans aucune forme d’amabilité les deux toréadors de prendre le large.

Voici donc qu’au début du XVIIIe siècle, peu après l’élection du premier président des Etats Unis d’Amérique, Cian et Amelia arrivèrent en Terre Promise. Ils furent bien vite confrontés à la question de l’esclavage qui choqua profondément Amelia. Celle-ci trouvait impensable que des humains puissent se traiter de la sorte entre eux. Qu’un vampire fût supérieur aux Humains ou aux goules, cela était parfaitement normal, mais ça… elle ne pourrait le tolérer.

S’établissant dans un petit havre de paix, loin des intrigues politiques – ce qui déplut à Cian, bien entendu, il n’avait toujours pas perdu l’idée de se servir de sa jeune protégée pour asseoir son pouvoir – elle consacra une partie de sa non-vie à étudier les humains, leurs interactions, et en particulier tout ce qui touchait à la culture amérindienne dont elle voyait bien le massacre.

Dans les années 1850, elle prit le large contre l’avis de Cian pour la marche vers l’Ouest, et s’établit dans la nouvelle petite ville de Los Angeles où il y avait encore bien peu de monde – et principalement des chercheurs d’Or . N’ayant avec elle que deux goules, elle vécut sans faire de vagues, seule vampire de la ville.

La ville s’étendit largement, sa population dépassa les 100 000 habitants en une petite cinquantaine d’années, et, bien sur, cet afflux de monde attira les vampires de tous poils. Amelia retrouva notamment Cian qui, mandaté par la Camarilla de Washington venait voir comment progressaient les choses de ce côté-là. Amelia avait regroupé autour d’elle une petite assemblée de vampires – oh, les clans n’étaient pas encore tous représentés, et la plupart d’entre eux ne dépassaient pas le siècle d’existence – et projetait de s’établir en Prince de la Ville.

Satisfait de la tournure des Evénements, Cian, lui-même devenu primogène de son clan à Washington après de houleuses exactions dont nous tairons le récit, fit un récit élogieux à son propre prince, et lui proposa d’envoyer quelques vampires de confiance là bas pour fonder une assemblée Camariste digne de confiance. Puisque son influence était grande, ce choix fut écouté, et Amelia se retrouva officiellement Prince de la ville en septembre 1905.

Friande de nouvelles technologies, elle s’impliqua quelques années plus tard dans le développement d’Hollywood. Deux grands réalisateurs en particulier furent pris sous son aile, Cecil B. DeMille etJesse L. Lasky pour le travail desquels elle avait une réelle admiration.

Depuis cette période, il n’y a eu nul grand changement dans la Camarilla, si ce ne fut que les Primogènes allèrent et vinrent, Amelia eut toujours un grand respect pour leurs avis – qu’ils fussent divergents ou non – sachant leur céder sur certains points (lorsque cela paraissait avisé que ce fût pour le bon développement de la ville, ou pour sa propre position) et tenir tête sur d’autres. Elle apprécie particulièrement les conseils de vampires qu’elle juge droits et désintéressés, et fait preuve de beaucoup de prudence avec tous les autres.

Sa rencontre avec l'Archevêque eut lieu peu après l'arrivée dudit Sabbatique en ville. Il faut se souvenir qu'à cette époque, peu de vampires encore habitaient les environs de la ville, et la plupart avaient un respect profond pour les valeurs Camaristes. Mais il fallait bien que ces vermines mettent les pieds en ville et tentent de corrompre tout ce qui était beau et pur dans cet endroit. Son opposition fut farouche envers les manigances de ce Sacha Khitrik, bien qu'il fût indubitablement un personnage fascinant. Partagée entre une certaine forme d'intérêt pour l'Archevêque et la loyauté sans faille à sa mission, elle eut souvent recours aux conseils de Cian, seul à connaître la faiblesse de son coeur, et la sympathique étrange qu'elle éprouvait pour cet "enfant perdu".

Elle apprit, au début des années 1950 le meurtre de son Sire en visite. On imputa sans certitude à l’Archevêque montant de la ville ce décès, aussi Amelia eut-elle dès lors la farouche volonté de s’opposer à ce qu’elle avait jugé être jusque là une bande d’illuminés dangereux mais trop peu nombreux pour compter véritablement. Désormais, elle met tout en œuvre pour débarrasser sa ville de l’Hérétique honni. Et si possible, en le faisant regretter les péchés de sa non-vie.





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QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?


Pseudo : Je pourrai vous répondre, mais il est infiniment plus drôle de ne pas le faire. (et à quiconque me reconnaît, prière de conserver le secret. Il est tellement plus amusant de laisser planer un doute!)
Age : C'est impoli de demander cela à une femme!
Comment avez vous découvert le forum ? Il y eut un jour un mot à ce sujet sur un certain forum d'entraide...
Votre avis sur le forum ? Une question surtout... Pourquoi le texte du règlement et des posts de contexte sont-ils en image? Je reconnais la qualité esthétique, mais pour les connexions lentes comme la mienne, c'est une torture!
Votre présence sur le forum ? Eh bien, quotidiennement, bien sur!
Quelles sont les caractéristiques de votre race ? Il me semble pouvoir affirmer sans crainte aucune d'être contredite - et pas uniquement du fait du rang d'Amelia - Vu par Lilith (fais plus court la prochaine fois ma p'tite chérie) Tout simplement.




Dernière édition par Amelia Quinn le Mer 22 Mai - 14:13, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés!   Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés! EmptyLun 20 Mai - 9:46

Voici la fin du premier jet de ma fiche. N'ayant pas eu de nouvelles de mon cher rival, je suis volontairement restée évasive sur nos années de cohabitations, me basant sur ce que laissait entendre sa fiche en travaux.

Je me tiens à sa disposition - et à celle de la gente administrative - pour toute modification.
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Nod
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MessageSujet: Re: Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés!   Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés! EmptyMar 21 Mai - 12:24

Hum, je préfère attendre que la fiche de Sacha soit terminée, pour lire les deux en parallèle, si ça ne te dérange pas.
Pour le coup, pourras-tu simplement me prévenir lorsque tout sera bon pour vous deux ?
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MessageSujet: Re: Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés!   Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés! EmptyMar 21 Mai - 17:59

J'ai modifié tout ce qui se rapportait à mon cher collègue de guerre, tout est OK à mon sens ^^

Bon courage Nod =)
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Lilith
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MessageSujet: Re: Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés!   Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés! EmptyMer 22 Mai - 14:36

Booooon, après un looooong moment (en même temps, quelle idée de faire des pavés pareils ! ), et quelques coups de mon cher ami, je peux t'annoncer ma belle que tu es désormais validée !

Bienvenue parmi nous ma belle, et amuse toi bien ici Very Happy

*lui roule une pelle de bienvenue*

Ps : n'oublie pas ta fiche de discipline, celle de lien et d'historique, sinon, je viendrais te mettre une fessée !
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MessageSujet: Re: Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés!   Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés! EmptyMer 22 Mai - 15:30

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii *__________* Merci Lilith

ça roule, je pense à tout ça, merci <3
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MessageSujet: Re: Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés!   Amelia Quinn ~ un peu de respect pour vos aînés! Empty

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