Présentation de  

Marie MARTIN

Indignez-vous et si vous ne le pouvez pas, crevez ! ! !

Nom : Martin Prénom : Marie Surnom : Marianne Date et lieu de naissance : Le 11 février 1944 à Paris. Date et lieu d'étreinte : Les catacombes de Paris le 21 juin 1968 Age + Statut d'âge : 24 ans d'aspect. Nouveau-Né de 46 ans. Génération 11ième. Faction Camarilla, enfin si on veut. Clan Brujah Poste Aucun. Disciplines Célérité niveau 1, Présence niveau 1 et Puissance niveau 3.

Feat. Adriana Lima

Les apparences sont trompeuses

A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?

Marie est un "petit bout" de femme d'environ 175 centimètres et même si de nos jours ce n'est pas très grand, à son époque ça l'était un peu quand même. Taille qui est en harmonie avec sa silhouette svelte et athlétique. Il faut dire que de son vivant, Marie était plutôt du genre femme active et très sportive. Depuis son étreinte, elle est devenue une beauté mortelle. Enfin elle pourrait l'être s'il n'y avait pas cette sacro-sainte règle de l'humanité, de dompter sa bête. Ceci dit, son physique avantageux lui permet d'avoir moins de difficultés pour se nourrir que certain autres (hein les Noferatus). Même si sa silhouette et ses courbes accrochent le regard des gens, son arme de séduction principale reste son visage fin et mutin sur lequel se trouve en permanence un petit sourire en coin assez énigmatique. Cependant, c'est son regard hypnotique qui est sa principale arme de séduction de masse. Un regard clair-azure toujours maquillé avec soin pour le mettre en valeur même si la demoiselle n'est pas trop coquette en général. D'ailleurs, ce manque de coquetterie se retrouve dans sa façon de s'habiller. La belle est plutôt jean, t-shirt, blouson de cuir que petite robe à décolleté et compagnie. Oui, ses goûts vestimentaires viennent directement des années 60 et de la mode rock. Le temps passe et pas sa passion pour cette musique ainsi que cette mode vestimentaire qui colle très bien à sa nouvelle nature. Ceci dit, il lui arrive parfois de s'habiller chicos afin de mieux se fondre dans l'environnement qu'elle souhaite infiltrer. Malgré son style vestimentaire, Marie reste une femme très remarquable, car elle possède une démarche digne d'un prédateur. Une démarche féline qui attire et fait peur à la fois. Ajoutez à cela une certaine grâce naturelle et vous aurez une vague idée de l'effet qu'elle peut avoir sur les gens qui la regardent avec envie, jalousie, admiration ou tout simplement parce qu'il est difficile de ne pas la regarder.

A la découverte de votre esprit

QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?

Marie est une pure Brujah. Tout comme ceux de son clan, elle est exaltée, déterminée, fière, abrupte ou encore passionnée. Oui, la belle brune est tout ça à la fois et bien plus encore, mais ce qu'il faut retenir avant tout c'est que c'est un paradoxe pour le clan des Brujah. Bien que très semblable aux siens, elle est aussi très différente par certain aspect qui pourrait faire penser à une Toréador pour son amour de l'art (surtout de la musique) ou bien à une Malkavian pour son côté un peu dérangée (elle a une tendance à la sociopathie). La belle est très attachée à son confort, certainement des réminiscences de sa vie d'humaine. D'ailleurs, de cette époque, elle a gardé certaines phobies et tocs aujourd'hui encore. Par exemple, elle déteste les canidés (chiens et loups). De son vivant, elle en avait une trouille pas possible, mais maintenant elle se sert de sa nature monstrueuse pour mettre de la distance entre ces animaux et elle. De son vivant, Marie a aussi gardé quelques manies forts marrantes pour un vampire. Chez elle, sa porte possède plusieurs verrou, mais quand elle la ferme, elle fait en sorte que l'on entende un seul des verrous pour berner les gens mal intentionnés qui voudraient rentrer chez elle. Étrange pour un vampire, mais rigolo. Il y en a bien d'autres et il serait assez fastidieux de les énumérer, mais vous les découvrirez au fur et à mesure que vous ferez connaissance avec la belle. Toujours niveau héritage de son vivant, Marie adore la musique rock. Elle en joue et même chante. Elle a aussi gardé quelques habitudes inutiles pour un vampire comme fumer (cigarette, mais surtout cigare). Pour elle, cela va avec sa passion pour le jeu et surtout le poker. Tout est dans l'image, si vous voyez ce que je veux dire. Toujours dans le même ordre d'idée, Marie a beau être réfléchi comme la plupart des Brujah, parfois elle décide de s'en remettre au hasard du pile ou face pour prendre certaine décision. Elle trouve cela très drôle et que cela met un peu de sel dans sa non-vie. Bref, vous l'aurez bien compris, la belle est une personnalité assez complexe et surtout bourré de paradoxe que vous prendrez certainement plaisir à mieux découvrir avec le temps ... Enfin si vous en avez le loisir.

Puis en la fréquentant de manière assidue, vous remarquerez vite que ce n'est pas une camariste convaincue. Non, loin de là. Elle les laisse croire qu'elle fait partie de leur bande, mais en fait elle s'en contre fiche comme de sa première couche culotte (ça c'était à la période où elle était encore une humaine normale). La Camarilla est un ramassis de vieux présomptueux qui veut régner sur la masse. Comme elle a un fort côté protestataire, cela lui déplait fortement, mais la plupart du temps le passe sous silence afin qu'on lui fiche la paix. La Sabbat ? Même combat que la Camarilla. Sous couvert d'une pseudo liberté, c'est encore un petit nombre qui tente de diriger le plus grand nombre. En fait, rien ne les distingue vraiment sauf leur position vis-à-vis de la Mascarade. Ouais, Marie est assez critique. Ceci dit, si elle doit absolument choisir un camp, elle optera pour la Camarilla. En fait qu'importe la faction, elle serait plutôt du genre Neutre ou Anarchiste (un vague héritage de son vivant). Cependant, il est plus simple pour Marie de se prétendre de la Camarilla afin de voyager plus facilement et collecter de manière moins difficile des informations dont elle a besoin pour son projet.

My life before and after...

MA VIE  DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...

Bref récit d'un aller-retour sur Terre.

Hiver 44. Cela sentait la fin pour les nazis. La résistance française se montrait de plus en plus hardi, les rumeurs allaient bon train sur des tentatives de meurtres sur le Führer ou bien sûr des plans d'attaques des alliés. Bref, ce n'était pas le bon moment pour fricoter avec un allemand et pourtant c'était ce qu'une jeune sotte avait fait. Au final, elle se retrouva enceinte sans père pour l'épauler vu que son soldat avait été envoyé en Normandie pour renforcer les effectifs. Résultat ? Elle accoucha et abandonna son enfant aux portes d"un orphelinat du 20ièeme arrondissement. Aucun nom, aucune date de naissance, rien qui ne permettait de dire qui pouvait être ce bébé. Alors, l'enfant fut recueilli par les bonnes sœurs qui s'occupaient de cette institution. Elles décidèrent d'appeler cet enfant Marie en l'honneur de la Sainte Vierge mère de Jésus et lui donnèrent comme nom Martin en l'honneur du célèbre Saint. Voici comment débuta la vie de la belle brune, abandonnée par sa mère sur les marches d'un orphelinat en plein hiver sans rien d'autre qu'une petite couverture pour la protéger du froid cinglant qui régnait dehors.

Après la libération, les orphelinats devinrent des nids à bâtard, doux petit nom donné aux enfants de femmes françaises et de soldats allemands. C'était donc difficile à cette époque pour les enfants de supporter le regard des bonnes personnes et leur brimades au quotidien. Les orphelins n'étaient bien que dans leurs murs. Cependant, Marie aimait bien sortir pour se promener aux grès de ses envies. Les gens qui auraient pu vouloir lui faire payer sa filiation allemande ? Elle n'en avait rien à faire, elle était bien trop rapide et roublarde pour ses gros empotés. Puis, la petite brune était du genre à le faire exprès pour mettre du piment dans sa triste vie. Pas encore une ado et déjà une vraie emmerdeuse de première. Cela laisse présager de la suite. Ceci dit, elle était plutôt bonne élève quand elle le voulait, mais il y avait toujours ce petit problème de comportement. Toujours à contester, toujours à chercher la petite bête, à s'enflammer pour une cause perdue à défendre contre l'autorité. Ce fut ainsi, entre contestation, promenade en dehors et études que l'enfance de Marie se déroula "tranquillement" au fil de l'histoire.

Doucement, Marie avance vers l'adolescence et ses joies ... ainsi que ses heurts ou encore ses peines. C'était la période de la rébellion pour la brunette, enfin plus que d'habitude. Il devenait difficile pour elle de cohabiter avec ces bonnes sœurs pleines de bonté et de préjugé à l'en faire vomir. Oui, rebelle jusqu'au bout des ongles, Marie s'insurgea contre l'autorité qu'elle voyait au quotidien: l'autorité religieuse. Clash après clash, punition après punition, il était de plus en plus clair pour la belle qu'elle n'avait plus sa place ici. Alors, pendant une belle nuit d'été, Marie fit le mur de l'orphelinat pour partir vivre sa vie. 16 ans au compteur et elle se croyait invincible, sachant tout ce qu'il y avait à savoir sur la vie. En réalité ? Elle était complètement à côté de la plaque. Commença alors une vie de bohème à Paris entre les squattes, les petits boulots à la journée et les grosses soirées dans les entailles du Paris populaire. Loin du monde bourgeois bien pensant, la belle brune découvrit un autre monde, d'autres luttes et d'autres raisons de s'indigner, de se révolter. Marianne était née, mais il fallait encore attendre un peu avant de la voir prendre son envole lors d'un certain printemps 68. Rapidement, elle intégra un groupe de jeune tout aussi révolté qu'elle et qui vivait leur vie à fond au son du Rock. Cette musique fut une révélation pour la brunette. Elle se mit timidement à jouer de la guitare puis, se retrouva sur le devant de la scène à chanter ou plutôt hurler sa rage de vivre à plein poumon dans un micro face à un parterre de spectateurs médusés qu'elle gagna bien vite à sa cause, à sa musique.

Après quelques années à bramer dans les micros à la tête de son groupe de rock "Rouge Phrygien", la belle commence à se demander ce que l'avenir lui réserve. Le déclic arriva par l'intermédiaire d'un mouvement étudiant banal qui vira en bras de fer avec l'autorité. Elle ne fut pas la dernière à monter sur les barricades de fortunes montées par la jeunesse désœuvrée de la France. Elle n'était pas la dernière à provoquer la police, à hurler "mort aux vaches", "CRS SS" ou encore "Sous les pavés, la plage". Elle faisait partie de ceux qui jetaient des pavés à la tronche de la flicaille afin de leur enfoncer dans le crane que c'était le temps des changements. Ce fut aussi à cette époque que les vampires parisiens bougèrent leurs pions. Dans l'ombre, il y avait une terrible lutte entre eux et les chasseurs qui avait saigné la communauté vampirique de la capitale française. Alors, pour remédier à cela, le prince décida d'octroyer à chaque membre de la camarilla le droit d'avoir un Infant. Ce fut comme cela que Marie se retrouva un centre d'intérêt de plusieurs vampires. Il y avait Jacques de Beaumont, le Toréador qui aimait cette voix spéciale et si envoutante qu'avait la belle brune. Ensuite, Mathilde Lestrange, la Malkavian qui aimait cette personnalité si paradoxale au bord de la rupture. Puis, pour finir, Maxime Fardis le puissant Brujah séduit par son engagement et sa façon de vivre intensément ses luttes. Les trois avaient des vues sur Marie pour diverses raisons, entre lutte de pouvoir et jeu de séduction, chacun tentait de la faire venir à eux pour l'étreindre et lui offrir l'éternité.

D'une rive à l'autre, le voyage d'une nuit.

Le 21 juin 1968 fut la nuit de tous les dangers et la nuit où tout bascula pour la belle. Recherchée par la police pour sa participation plus qu'active à Mai 68, pour des actes de rébellions, entraves aux forces de l'ordre et même fait de violence aggravée à l'encontre de la police. Bref, elle était dans la merde jusqu'à cou et pourtant la situation la faisait marrer comme si la vie ne valait d'être vécue que si c'était à fond. Bref, sans chercher à se cacher, elle s'engouffra dans les catacombes afin de jouer un peu avec la police qui était à ses trousses. Dans ce labyrinthe, elle finit par croiser son destin en la personne de Maxime Fardis. Elle avait tout de suite reconnu cet homme qui lui tournait autour depuis quelques temps. Homme qu'elle avait sèchement envoyé bouler comme l'autre prétentieux truc-muche de machin chose. Un peu surprise par la rencontre, la belle brune joua avec le feu en cherchant l'affrontement verbal avec son interlocuteur. Pour seule réponse, Maxime lui sauta dessus. Pas peureuse, Marie tenta de se défendre, mais il était tellement fort qu'elle ne put que tenter de résister. Jusqu'au bout la brunette resta fidèle à ce qu'elle était et continua la lutte. Cela donne un goût certain à son sang dont se délecta Maxime avant de lui offrir le sien en retour.

Marie venait de disparaitre à tout jamais de la surface de la Terre. La police ne pourrait jamais plus lui mettre la main dessus vu qu'elle était morte maintenant. Pendant son exsanguination, elle avait senti cette étrange sensation pendant que sa vie la quittait. Elle avait l'impression de voler doucement au-dessus de la scène telle une volute de fumé. Ensuite, elle fut secouée par des images qui lui étaient étrangères. Des images de violence, de monstres et se mit même à ressentir de terribles douleurs dans son corps. Elle était morte et pourtant, elle pouvait encore ressentir la douleur, la paranoïa, le désarroi, la haine, la violente envie de tuer, la soif de sang dévorante. Tout cela était nouveau pour elle et finalement après moult soubresauts Marie se réveilla. Elle continuait à ressentir toutes ses émotions avec une étonnante intensité et cela lui faisait peur. Après quelques secondes, la belle brune tenta de se souvenir de ce qui s'était passé. Finalement, un homme surgit hors de l'ombre pour lui parler. C'était Maxime , son sir et il passa toute la nuit à lui parler de sa nouvelle vie ... ou plutôt non-vie. Il lui présenta les règles de la nouvelle société où elle allait devoir évoluer et tout le reste. Un léger sourire se dessina sur les fines lèvres de Marie qui voyait un nouveau monde s'ouvrir devant elle.

Une nuit pour aller jusqu'au bout de l'éternité.

Les débuts furent assez difficile. Tellement de règles à respecter, tellement d'usage à apprendre et surtout apprendre à dominer sa bête. Elle qui était tellement instinctive, tellement sauvage devait apprendre à se contrôler et à agir avec discernement. Heureusement que Maxime était là pour l'épauler et lui montrer la voie à suivre. Lui aussi avait été un jeune chien fou, mais il avait vite appris. Elle ferait de même. Tout du moins il l'espérait. Petit à petit, Marie assimila les us et coutumes de son nouveau monde et bon gré malgré, les accepta. Ce n'était que de petits désagréments à côté d'une plus grande liberté que de son vivant. Les années passèrent, montrant que ce n'était une Brujah pour rien tout en mettant en avant ce qui faisait qu'elle était différente des autres de son clan. Cependant, la quiétude se trouva troublée par l'arrivée des années 80 et une nouvelle vague de chasseurs. Encore une violente guerre secrète qui fit de nombreuse victime dans les deux camps au nombre desquelles on pouvait compter Maxime Fardis, le sir de Marie. Jeune nouvelle-née, elle se retrouva livrée à elle-même et en profita pour partir à l'aventure à travers un monde aussi hostile que fascinant.

La belle brune passa près d'une trentaine d'année à voyager à travers le monde dans le but de découvrir encore et toujours plus de choses sur ce monde qui était le sien à présent. Au contact de son ancien sir, elle développa un goût certain pour l'histoire. Elle passait de ville en ville avec pour but de pouvoir un jour (ou une nuit devrait-on dire) écrire une histoire complète des vampires. Pas un ramassis de superstition en tout genre. Non, une vraie histoire comme le faisait si bien les humains. Elle voyagea beaucoup passant par tous les continents. Allant de villes en villes, des plus grandes comme Moscou, Londres ou Viennes, aux plus petites comme Seuclin sur Seine, Dartford ou encore Vaxholm. Au début, elle s'encombrait de cahiers de notes pour garder une trace de ses découvertes, puis suivant l'évolution de la technologie et ne s'encombra plus de papier pour tout mettre sur un ordi portable et un disque dur externe. Pendant cette trentaine d'année, Marie croisa bien du monde, vécu quelques aventures palpitantes. Par exemple, elle fut le gibier d'un groupe de chasseur à Rome. Enfin, un gibier qui se transforma en féroce prédateur sans pitié. Et 5 chasseurs de moins sur Terre dont celui qui avait ôté la vie de son sir. L'avait-elle fait exprès pour exercer sa vengeance ? On ne le saura jamais et le lui demander serait du suicide. Ou encore la fois où le Prince de Milan avait déclaré la guerre au Sabbat et que cela se termina par une monumentale baston au clair de lune de laquelle Marie arriva à s'en sortir sans trop de blessures. Inutile de tout citer. Sachez simplement que ce genre de "problèmes" reste assez rares au final et la plupart du temps la belle brune se contente de passer dans des villes qui ne connaissent pas ce genre de vicissitude.

Depuis quelques années, la belle a décidé de venir faire un tour en Amérique afin de voir ce qu'elle pouvait récupérer comme information pour son histoire du monde vampirique. Elle sait aussi qu'ici plus qu'ailleurs, la lutte entre le Sabbat et la Camarilla sont farouches. Elle a envie de voir cela de ses yeux et pourquoi pas participer à une bonne vieille baston des familles. Après tout, cela fait un petit moment qu'elle est sage et ne fait pas trop parler d'elle. Il est peut-être temps de dresser de nouveau l’étendard de la lutte. Dans tous les cas, elle pense sincèrement que son séjour américain sera riche d'enseignement. La suite reste à écrire dans cette ville pas si angélique que cela: Los Angeles.

En dehors du forum

QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?

Pseudo : Votre nom ou pseudo
Age : N'ayez pas honte !
Comment avez vous découvert le forum ? j'ai tapé forum RPG vampire la mascarade et j'ai fouillé dans les résultats fournis.
Votre avis sur le forum ? J'aime l'univers du jeu de rôle le monde des ténèbre et j'ai beaucoup aimé les jeu vidéo Vampire Bloodlines
Votre présence sur le forum ? Sûrment tous les week-end et un peu en semaine suivant mon boulot.
Quelles sont les caractéristiques de votre race ? Validé par Nod.

Lilith a écrit:

Bon alors cette fiche

RAS dans son encadré, et le physique :
Par contre, je me demande ce que ça peut donner en Elyseum, quand tu dois t'habiller classe mais passons

Marie Martin a écrit:

Ceci dit, il lui arrive parfois de s'habiller chicos afin de mieux se fondre dans l'environnement qu'elle souhaite infiltrer.

Lilith a écrit:

Alors Psycho ^^

RAS jusqu'à ça
''Elle a aussi gardé quelques habitudes inutiles pour un vampire comme boire de l'alcool ou encore fumer''
Un vampire qui fume; okay, un vampire qui boit ...
Les vampires étant mort, il ne peuvent plus se nourrir de nourriture humaine : cela vaut aussi pour l'alcool. D'ordinaire, tu le recrache sous forme de cendre, sauf si tu as manducation, une sorte de don qui te permet de manger et de décider plus tard quand tu recraches.
Mais tu peux également apprécié le sang d'une personne alcoolisé, et du coup, en ressentir les effets ^^

Voilà, donc une petite précision pour cet endroit

Lilith a écrit:

A cela, je demanderais aussi quelques mots sur la camarilla, le sabbat, et voilà, ses opinions sur les deux quoi ^^

Marie Martin a écrit:

Puis en la fréquentant de manière assidue, vous remarquerez vite que ce n'est pas une camariste convaincue. Non, loin de là. Elle les laisse croire qu'elle fait partie de leur bande, mais en fait elle s'en contre fiche comme de sa première couche culotte (ça c'était à la période où elle était encore une humaine normale). La Camarilla est un ramassis de vieux présomptueux qui veut régner sur la masse. Comme elle a un fort côté protestataire, cela lui déplait fortement, mais la plupart du temps le passe sous silence afin qu'on lui fiche la paix. La Sabbat ? Même combat que la Camarilla. Sous couvert d'une pseudo liberté, c'est encore un petit nombre qui tente de diriger le plus grand nombre. En fait, rien ne les distingue vraiment sauf leur position vis-à-vis de la Mascarade. Ouais, Marie est assez critique. Ceci dit, si elle doit absolument choisir un camp, elle optera pour la Camarilla. En fait qu'importe la faction, elle serait plutôt du genre Neutre ou Anarchiste (un vague héritage de son vivant). Cependant, il est plus simple pour Marie de se prétendre de la Camarilla afin de voyager plus facilement et collecter de manière moins difficile des informations dont elle a besoin pour son projet.