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 Griffe

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MessageSujet: Griffe    Griffe  EmptyMer 12 Juin - 15:02



Présentation de 


Griffe
VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE





Nom : Wilf
Prénom : Alexandra (plus personne ne l'appelle comme ça)
Surnom : Griffe
Date et lieu de naissance : 1 janvier 1985 Alaska
Date et lieu d'étreinte : Février 2003 Alaska
Age + Statut d'âge : Nouveau-Né environ 10 ans d'age vampirique
Génération 11ème
Faction Aubain
Clan Gangrel
Poste Aucun
Disciplines Métamorphose : 2
Force d'âme : 2
Célérité: 1





    Feat. Dani.Stock


Les apparences sont trompeuses
A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?




J'ai beaucoup changé pour ceux qui auraient pu me connaître avant.
Mes longs cheveux, autrefois soyeux et brillants, sont emmêlés maintenant, presque crêpés par le peu de soin que je leur consens et le fait qu'ils soient par nature ondulés fait qu'ils s'abiment plus vite encore. Des brandilles s'y perdent souvent, ou d'autres choses car ils subissent mes voyages incessants à travers les forêts, les villes.
Mon visage est quant à lui fin. Des traits droits, un menton pas trop anguleux, cependant, on y lit les années de ma vie, déjà passé et enduré ainsi que ma détermination. Mes yeux sont ambrés, couleur de loup comme disait mon père, grands, ronds, qui attirent le regard d'autrui, sorte d'hypnose légère. Parfois même lumineux, ou menaçants. Et en dessous de chacun de mes yeux, une ligne, droite, noire, tatouée qui descend jusqu'à la hauteur de ma bouche, héritage d'une amie, qui ne m'a jamais vraiment connu dans un sens. Ces deux fines lignes, plus larges à la base qu’au point, font penser à des griffes.
Haute d'environ 1m70, svelte et finement musclés, je passe assez souvent inaperçue. Mes atouts féminins aussi ne sont pas des plus développés et c'est très bien ainsi. Souple, agile, je suis endurante, par la vie que j'ai mené étant vivante et celle que je mène maintenant, ce qui me permet de survivre à la vie que je m'impose et de ne pas me fatiguer vite.
Quant à mes goûts vestimentaires, je dois avoir deux tenues différentes à tout casser. Un gros pantalon en toile noire, déchiré et raccommodé de partout ainsi qu'un débardeur, et un tee-shirt simple, avec une sorte de col bateau, que j'ai fait à coup de griffes. Des vêtements amples, discrets et qui me permet de bouger, ou chasser.
Edit : Une chose ne me quitte jamais, un pendentif, une tête de loup en fer, accroché à un lien en cuir pends en permanence autour de mon cou. C'est mon bien le plus précieux, forgé pour moi par Moana après qu'on est perdu Violine, il présente ma famille ou ce qu'il en reste. Jamais il ne m'a quitté et je pense que si on me l’arrachait, je deviendrai dangereuse ...


A la découverte de votre esprit
QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?

 


Dire que je suis solitaire serait un mensonge car je ne peux survivre bien longtemps long de ceux que je considère comme étant ma famille. Ma vie humaine m'a appris qu'on avait besoin d'une famille, ma non-vie me l'a confirmé. Têtue, voire carrément bornée, j'ai des objectifs, et j'ai toujours tout fait pour les atteindre. Et protéger ma famille est le premier que je m'impose. J'ai risqué plusieurs fois ma vie pour eux. Mais ça n'a pas suffi, pas toujours …
Je ne supporte pas rester en place, j'ai besoin d'action, de bouger. Impulsif, imprévisible, j'ai tendance à m'énerver lorsque je n'arrive à faire ce que je veux, ou alors quand je voie un membre de ma famille en péril. Dans ses moments-là, je deviens un peu dingue, frappant tout ce qui se trouve sur mon passage.
Cependant, il y a une chose qu'on m'a appris, c'est la vérité. Mon sire, Moana m'en a fait comprendre l'importance et la nécessité. Je n'ai menti que très rarement dans ma vie, et jamais plus durant ma non-vie car Moana m'a expliqué les bases de notre clans, les rituels et traditions. On ne peut compter sur un membre sans parole, et je refuse de devenir une ''Ahûl'' et qu'on ne puisse plus m'entendre. Une parole doit être sacrée où rien ne sert de la prononcer. Et c'est pour ça que je suis et serais toujours à la recherche de Moana.


My life before and after...
MA VIE  DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...



Au commencement : Histoire humaine

 
Ma vie n’a jamais été ordinaire, normale. Depuis que je suis enfant, je vis en marge. Avant, j’avais encore quelques liens avec le monde humain. Peu avant mon étreinte, ces liens n’existaient plus, anéanti par des événements qui m’ont marqués. Mais commençons par le début.
 
Avant de me donner le nom de Griffe, mon père m’avait appelé Alexandra, Alexandra Wilf. Si je suis venu au monde comme tout être humain, la suite de mon histoire n’a rien à voir avec autrui. Mon père, un mordu (le terme est juste) des loups, avait créé une réserve où il élevait une meute dans l’idée de les aider et de les étudier de plus près. Quelques personnes travaillaient avec lui. Mais souvent ces personnes partaient et étaient remplacés par d’autres. Nous, ma mère, mon père et moi, vivons devant la réserve. Un rien nous en séparait, une clôture juste. Parfois, de ma fenêtre, je voyais la meute chasser. J’ai été bercé par cette enfance hors-norme. On peut presque dire que j’ai été élevé avec la meute. J’ai de vagues souvenirs de jeux avec des louveteaux mais je ne m’en rappelle plus vraiment. En tout cas, dès mon plus jeune âge, on peut dire que comme mon père, je faisais partie de la meute.
Ma mère était la seule un peu à part. Elle admirait mon père, la passion qu’il mettait en chaque chose mais partageait peu notre flamme pour ses animaux.
J’aimais les gens qui allaient et venaient, j’aimais aider mon père. Je voulais faire de même plus tard, devenir vétérinaire et rester ici pour toujours avec ma famille et la meute.
Du coup, comme tous j’allais en cours cependant, la passion, l’énergie que j’avais chez moi semblait disparaître aussitôt que j’arrivais sur les bancs de classe. Je m’ennuyais à mourir, à apprendre des choses qui ne me servirai à rien. Mais lorsque je revenais à la maison, je rayonnais, je courais, je parcourais les forêts à la recherche de la meute, à chasser avec eux. Une vie de jeux et de vagabondages. J’étais heureuse.
C’est peut-être pour ça que ma vie est devenue ce qu’elle est aujourd’hui.
 
 
L’Étreinte :
 

Ce que ne fut que lorsque tout fut fini que je compris beaucoup de choses.
 
J’étais seule. Je faisais des études, je vagabondai, je vivais ma vie sauvage en paix. Mon père,  lorsqu’il était encore de notre monde, était le seul à qui je pouvais parler car lui comprenait la passion que nous avions tous deux pour les loups. Mais il partit deux ans avant que cela n’arrive.
Je vivais avec ma mère, elle qui nous avait suivi mais sans rien comprendre. Elle voulait même vendre notre havre, et aller nous faire vivre en ville. Je ne l’acceptais pas. Je restais de plus en plus parmi la meute, restant parfois des jours entiers dans la vallée. Ma mère ne me trouvait jamais, elle ne savait pas me suivre. Elle passait son temps à la maison. Nous étions si différente, et plus encore maintenant.
 
Pendant un certain temps, je passais mon temps dans la réserve. Je n’allais même plus en cours, à quoi cela servait d’apprendre dans les livres alors que je pouvais tout découvrir sur le terrain. Je cherchai à les comprendre, à prendre une vraie place dans la meute. C’était compliqué, j’étais humaine. J’étais sensible à leur langage. J’observais, je cherchais à comprendre, comme une enfant. Je commençai même à assimiler leur manière de survivre, de vivre, de vivre en communauté.
 
J’étais devenu une sauvage. A part ma mère, que je croisais parfois, je ne voyais plus personnes. Famille éloignée, ami, camarade de la fac … j’étais un paria, en marge. Je vivais ma vie, j’apprenais. J’attends de pouvoir réellement acquérir une place parmi eux.
Mais depuis peu, je me sentais comme observée. Je me disais que ce n’était rien, peut-être une impression. Le fait d’être seule, d’être un peu comme entre deux mondes. J’ai cru cela, pour me rassurer. Pendant un temps, cela ne changea pas, parfois, je sentais des yeux se poser sur moi mais aussitôt  cela disparaissait. J’ai essayé une fois, même plusieurs fois de tenter de le retrouver à travers la réserve mais jamais je ne sus d’où il venait. Mes nuits étaient plus agités, la meute aussi. Ils ressentaient aussi cette perturbation. Je ne comprenais pas d’où ça venait. Je n’arrivai pas à le traquer.  J’avais déjà joué au jeu du chat et de la souris, avec ma famille, avec la meute lorsque les loups étaient encore bébés. Cependant, maintenant, ce jeu avait un goût que je trouvais amer, quelque chose qui ne passait pas. Je ne m’étais jamais retrouvé la proie de quelqu’un et je n’aimais pas ce sentiment d’impuissance qui m’envahissait à chaque fois que mon corps se mettait à frissonner soudainement. Je croyais que je virai folle. Mais c’est que je commençais à comprendre.
 
C’était une chasse. Et j’étais la proie. Une nuit, il décida d’arrêter sa traque. Il arriva en silence, sans aucun bruit. Je dormais quand il s’approcha. Je n’ouvris les yeux qu’en sentant ses crocs s’enfoncer dans ma chair. Ma volonté était comme absorbé, ma vie aussi. Je voulais me débattre, mais je ne pouvais. Ma force disparaissait peu à peu, et je me sentais mourir. Je n’arrivais plus à voir, à réfléchir. Tout redevenait noir, comme la nuit, mais il n’y avait plus de lune. Mes yeux étaient clos, ma respiration plus lente. J’étais complètement dans les vapes, plus rien …
Mon corps mourait, ma condition d’humaine partait pour être remplacé par celle de prédatrice.
Ce soir-là, j’ai fait la rencontre de celui que maintenant j’appelle mon sire : Moana. Je venais de renaitre, et je ne reçus que ces quelques mots de sa part :
 
-Tu es différente maintenant, tu es un vampire. Tu es un Gangrel. Tu dois survivre, tu dois prendre conscience de ta nature. Et retrouve Violine. 
 
Et avant que je ne puisse lui dire quelque chose, que j’essaye de lui parler, il disparut. J’aurai pu essayer de le rattraper mais je ne me sentais pas de le faire, une impression m’en empêchai. Je ne saurais dire quoi, mais j’étais effrayé, j’avais peur, je ne savais pas ce que j’étais, comment cela était possible. La meute me fuyait, grognai quand j’ai tenté de m’approcher et surtout, j’avais peur.
Les premières lueurs de l’aube apparaissaient lorsque je me ruais au fond d’une des cavernes de la réserve. J’y ai passé la journée, caché dans les ténèbres reculs de mon refuge à me demander pourquoi moi, ou comment était-ce arrivé, à me poser la question de ce qu’il avait voulu faire. Ma vie n’était pas forcément formidable mais je l’aimais ainsi.
Les jours suivants, j’ai chassé, j’ai tué pour vivre, des cerfs, des chevreuils mais la soif me tiraillait. J’en voulais toujours plus.
 J’ai bu mon premier homme trois jours après ma transformation, un homme qui s’était baladé dans la réserve, un des derniers qui était resté pour la réserve. J’ai caché le corps avant de me décider à partir, à retrouver cette Violine car si quelqu’un pouvait m’apprendre, me faire comprendre ce que j’étais devenu, il me semblait que ce ne pouvait être qu’elle. Ou ce Moana qui avait disparu.
C’est cette nuit-là que j’ai dit au revoir à ma mère, en caressant ses cheveux avant de me volatiliser, de m’enfuir et de chercher à apprendre, à m’apprendre et retrouver cette Violine.

 
La Suite : Histoire vampirique:


Violine, après m'être enfui de la réserve, j'ai passé près de trois mois à la chercher avant de trouver sa trace. J'ai débarqué, petite nouvelle pour me présenter à celle qui est devenue ma tutrice. Mon sire état en mission, alors elle devait s'occuper de moi, le temps qu'il revienne. Les neuf mois suivants, je les ai passé en sa compagnie, à approfondir mes connaissances sur ma nouvelle nature, à comprendre, apprendre, à me perfectionner. C'était un univers qui s'ouvrait à moi, et Violine était là pour me guider. Je me suis attachée à elle, beaucoup. J'étais devenue presque possessif avec elle. Un monstre un jour voulut la blesser et une larme de sang coula de sa joue. Ce jour-là, je suis entrée dans une rage si forte qu'il ne resta rien de lui. Nous étions devenues comme une mère et sa fille. Je ne supportais pas l'idée qu'elle puisse souffrir et elle me protégeait à sa manière.
Et au bout d'un an, il arriva, tout sourire, avec sa tête de vainqueur : Moana …
Violine servit de médiateur durant cette rencontre que j'espérais depuis tant de temps. J'étais partagé, la rage et la joie … une partie de moi voulait se jeter dans ses bras, comme une fille ferait à son père mais une autre mourrait d'envie de lui coller une torgnole. Je fis les deux. Voilà comment commença notre relation. Par une baffe et un câlin.
Moana, Violine et moi restions ensemble, comme une famille, à voyager partout. Violine et Moana était comme frère et sœur et moi, j'étais comme une enfant pour les deux. Tout allaient bien, jusqu'à ce que ses foutus inquisiteurs nous trouvent, six ans après mon étreinte. Ils nous sont tombée dessus, bien plus nombreux que nous ne pouvions en contenir. Nous nous sommes battus, jamais nous n'avions menés un combat si rude. Mais malgré tout, tous nos efforts … il eut une perte de notre côté. Violine se fit enlever. Pendant un an, Moana et moi suivîmes les traces qui laissaient pour tenter de la retrouver mais ils finirent par la tuer, sous nos yeux, sans que nous puissions réagir. Les inquisiteurs n'ont pas survécu.
Cependant, leur mort ne soulagea pas la peine que nous ressentions. Nous étions perdus, brisés. Nous avions pensés survivre ensemble mais Violine nous avait quittés. La haine nous rongeait, la peur aussi. Je n'avais plus goût à rien. Nous errions, cherchant toujours plus loin un abri, pendant trois ans avant que Moana ne disparaisse à son tour.
Il m'avait appris que parfois, il faisait des missions pour un ancien Gangrel, une personne qu'il appréciait beaucoup et à qui il devait beaucoup. De temps en temps, il s'évaporait pour remplir une mission à son compte et revenait. À chaque fois qu'il partait, il juré sur sa Parole qu'il reviendrait. Et jamais il ne l'a rompue. Cette fois-là aussi, il me l'avait promis, alors je l'attends, et le cherche. J'ai passé un an à sillonner le Canada, et la partie nord-ouest des États-Unis. Et maintenant, j'arrive à Los Angeles, en espérant retrouver sa trace, en espérant avoir de ses nouvelles, savoir s'il est encore en vie …
Et rien ne m'arrêtera, RIEN !





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En dehors du forum
QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?


Pseudo : Comme avant ^^
Age : Toujours pareil
Comment avez vous découvert le forum ? Devinez ...
Votre avis sur le forum ? Je sais pas trop ^^
Votre présence sur le forum ? Autant que je pourrais
Quelles sont les caractéristiques de votre race ? Ok par Nod.




Dernière édition par Griffe le Mer 12 Juin - 16:51, édité 1 fois
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Date d'inscription : 18/01/2013
Age : 36

Griffe  Empty
MessageSujet: Re: Griffe    Griffe  EmptyMer 12 Juin - 15:49

Eh bien ça fait plaisir de revoir cette tête Very Happy
Je ne me souvenais pas de toute l'histoire, le concept de fille qui grandit entre les hommes et les loups, c'est très intéressant !
Bienvenue chez les Gangrel miss ! En espérant que tu trouveras celui que tu cherches...

Lilith t'ajoutera ton rang en image Wink
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Griffe

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