Présentation de  

Raphaël Dorian

VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE

Nom : Dorian Prénom : Raphaël Surnom : P'tit crétin, mais seul ma Dame est autorisée à l'employer ^^ Date et lieu de naissance : Orléans, le 8 mars 1912 Date et lieu d'étreinte : Cadarache, le 13 décembre 1943 Age + Statut d'âge : Vieux nouveau-né, 70 ans en tant que cainite Génération 10ème Faction Camarilla Clan Brujah ! Poste Aucun, pour le moment... Disciplines Présence: IV Puissance: III Animalisme: I

Feat. Tom Cruise

Les apparences sont trompeuses

A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?

Il s'agit là de la première chose marquante à mon sujet lorsque je révèle que je suis du clan de la Sagesse, plus connu comme le clan de la Force. En vérité, je n'ai rien d'un catcheur bodybuildé, ni même d'un karatéka surentrainé...J'imagine que vous aussi vous êtes choqués, si ce n'est surprit. Oui, qui peut imaginer que sous mes traits fins, mes longs cheveux bloux (Terme désignant le mi-chemin entre le blond et le roux ^^), mon corps svelte et élancé, se cache une force capable de soulever un homme par le petit doigt ? Plus précisément, je mesure 1m83, je pèse environ 78 kg (Tout dépend si je me suis nourri récemment ou non...), j'ai la chance de posséder deux saphirs couleur océan en guise d'iris et une peau qui est restée rosée par mon humanité élevée (Par rapport à la moyenne...). Des sourcils un tantinet broussailleux mais pas désagréables, des lèvres désirables à souhait et une peau douce comme de la soie. J'aime porter des hauts légers (Des chemises de préférence) aux couleurs neutres, des pantalons moulants aux couleurs tout aussi passe-partout, des chaussures noires bien cirées, et je regrette que les gants ne soient plus au goût du jour. Je n'apprécie pas les couvre-chefs, mais je n'aime pas non plus que mes cheveux soient libres et je les attache à hauteur de la nuque. J'affectionne particulièrement les manteaux longs, en cuir, qui me donnent un faux air de "Bad boy" qui me sied. A l'intérieur sont cachés deux uzis constamment chargés, deux chargeurs supplémentaires ainsi qu'un sabre oriental, attaché à ma ceinture mais dissimulé par l'épaisseur du cuir. J'ai également une chevalière à l'auriculaire de la main droite qui m'a été remise par ma Dame il y a fort longtemps.
Ma démarche est calme et assurée, parfois rêveuse et détachée, à l'instar de mon attitude générale. Pour achever mon portrait, sachez que vous n'aurez que rarement l'occasion, si ce n'est jamais, de découvrir le tatouage que je porte sur la fesse droite, représentant une licorne cambrée.  

A la découverte de votre esprit

QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?

Please allow me to introduce myself,
I'm a man of wealth and taste...

Autant mettre en avant mon plus gros problème: Je suis rejeté des miens, à défaut simplement exclu, ou encore mal intégré. Oui, je n'aime pas la violence, je n'aime pas me battre, je n'aime pas l'agressivité...Je le fais si nécessaire, mais ça ne me procure aucun plaisir et j'essaie, tant que faire se peut, que cela n'arrive pas. Je suis bien plus à l'aise dans la cour d'un Elyseum que dans les Brailleries de mes congénères. Ce simple fait m'a prédestiné à la solitude et au non-soutient de mon clan. Mais vous savez quoi ? Rien à fiche. Je me débrouille très bien sans eux, même si je me dis que j'aurais été plus à ma place en tant que Ventrue ou Toréador...La seconde chose qui m'a définitivement fait faire scission avec le clan de la Sagesse, c'est mon pragmatisme et ma rationalité. J'ai compris qu'un problème ne se résume pas que à la partie émergente de l'Iceberg, ce qui a contrarié les miens plus d'une fois. Je suis passionné aussi, comme tout véritable Brujah. Je suis épris de séduction, de philosophie, d'échanges.... Un dialogue de sourd n'a aucun intérêt me concernant. Ce n'est pas pour rien si je maîtrise aujourd'hui quatre langues (Anglais, Allemand, Arabe et Français) dont plusieurs patois, et je m'échine à apprendre l'Espagnol, le Mandarin et le Japonnais. Tout comme les miens, j'ai embrassé de grandes causes, mais elles me tiennent au secret par peur du ridicule, si bien qu'on à souvent remit mon engagement en doute...
Oh, j'allais oublier...malgré une tendance plutôt Anarch, je reste fidèle à la Camarilla en vertu de mon engagement pro-nodiste. J'ai d'ailleurs pour habitude de suivre les voies nodistes avant celles de la Cama, mais n'ayez crainte...Je sais respecter vos petites règles aussi ^^
Je pense vous avoir dit assez me concernant, le reste vous le découvrirez lors de nos rencontres ^^

My life before and after...

MA VIE  DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...

New York city, 24 février 2012, 22h38.


New York city, 24 février 2012, 22h38.

Dans l’un des innombrables gratte-ciel de Wall-street, une goule femelle pénètre dans le bureau de son maître, un cainite du nom de Jonathan Alvarez, Brujah anti-tribu.

-Monsieur, puis-je vous faire mon rapport ?

Le vampire, habillé en jean déchiré et veste en cuir courte, lui fait signe d’attendre. Quelques minutes plus tard, un asiatique sort de la pièce et disparait dans les méandres des couloirs. La goule, vêtue à l’instar de son maître en style motard, entre et s’assied sur le siège laissé inoccupé suite à la sortie du jaune.

-Raconte moi tout, Anaïs. Je veux TOUT savoir, dit-il en croisant les doigts sous son menton.
-Oui, John. Je pense que ça va te plaire. J’ai pu l’approcher de près, on a même passé quelques nuits ensemble…Tout d’abord, il s’appelle Raphaël Dorian, mais ça tu le savais déjà. Son histoire commence en France. Il est né en 1912 à Orléans, dans une famille bourgeoise. Il est fils unique d’un père qui travaillait le cuir et le tissu. Je ne sais pas si ça t’intéresse vraiment, mais je ne veux omettre aucun détail. Son père a été envoyé à la guerre trois ans après sa naissance et y aurait laissé la vie, du moins c’est ce que Dorian pense puisqu’il n’est jamais revenu. La vie a pas été simple pour lui, il a connu la survie dès son plus jeune âge, même si sa mère a su garder l’entreprise. Quand on connait la situation de l’époque, je n’ai pas été surprise qu’il connaisse la misère, le travail manuel harassant et toutes les choses qui vont avec une conjoncture pénible. Sa mère s’est remariée en mille-neuf-cent-vingt  avec un paysan, qui a soi-disant plus ou moins reprit l’entreprise de son prédécesseur en plus de son activité à la ferme. Il ne m’a pas plus parlé de lui que ça, j’ai pas vraiment d’infos à ce sujet. Par contre, il a pas arrêté de me dire qu’il n’avait pas eu d’enfance, qu’à l’époque il avait travaillé autant que les adultes pour que la famille survive. Bref, le crac boursier des States en mille-neuf-cent-vingt-huit a failli les ruiner. Ils ont abandonné le textile pour se consacrer à la ferme et vivre de leur propre production. Une période alors plutôt calme pour lui, m’a-t-il dit, jusqu’à ce que la seconde guerre mondiale éclate. Malgré ses vingt-sept ans, il était resté à la ferme qu'il comptait reprendre par la suite. Enfin...apparemment ses parents la lui ont imposé comme avenir et il avait accepté sans trop se rebeller. Mais les Allemands ont fini par arriver. Ils ont ravagé et pillé la ferme, tuant son beau-père qui tentait de les empêcher de violer sa mère…Il était aux champs à ce moment là et n'est arrivé qu'après, en entendant les coups de feu. Je ne peux qu’imaginer l’horreur qu’il a vécu. Oh, oui pardon, pas de sentimentalisme. Sa mère a été descendu aussi, mais il a réussi à se cacher puis s'est enfui.  

Il est rentré dans la résistance, s’est battu contre les rafles avec virulence –Il m’a raconté plusieurs escarmouches, je sais pas si c’est vrai, mais si ça l’est…Il en a connu des vertes et des pas mûres !-…J’en étais où ? Ah oui, donc il s’est battu contre les forces Allemandes. Plus par vengeance que par goût du bien, m’a-t-il confié. Fiou…C’est fou, quand on le voit on a du mal à imaginer qu’il puisse être un soldat. Par la suite, avec la ligne de démarcation, il a continué son combat dans le sud, un peu plus à l’abri de la Wehrmacht. Son agressivité et son désespoir en l’avenir en ont fait un casse-cou, une tête brûlée qui a eu la chance de s’en sortir…

Ca a continué comme ça jusqu’en mille-neuf-cent-quarante-trois, où il a attiré l’attention d’une résistante particulièrement renommée. C’était une caïnite, vous la connaissez bien…Vous avez mis fin à ses nuits il y a presque un an maintenant. Oui, Isabelle Dawkins, une anglaise qui avait embrassé la cause des défenseurs. Dorian lui-même n’a jamais su pourquoi. Toujours est-il qu’elle a apprécié son tempérament et son engagement et, après avoir passé beaucoup de temps avec lui, elle a finit par lui révéler la vérité et en a fait son infant. C’était le 13 décembre 1943. Il avait trente-et-un an. Devant cette nouvelle vie, il a quitté la résistance pour se plonger à corps perdu dans les mœurs cainites.

Il ne s’est pourtant pas révélé à la hauteur des attentes de sa Dame, qui pensait avoir trouvé un guerrier passionné. Complètement opposé à ça, il a préféré cultiver son intellect au lieu de ses aptitudes de combattant. Lui-même m’a dit qu’il se considérait plus proche des Ventrues ou des Torés, et à force il est devenu marginal. Oui John, je sais, il tenait beaucoup à sa Dame. En fait, elle-même tenait aussi beaucoup à lui et l’a toujours accepté ainsi. Ils étaient amants depuis toujours et s’étaient échangés leur sang bien plus de trois fois. Le lien du sang, tu m’avais dit, non ? Oui, ok. Néanmoins, elle a quand même réussi à lui enseigner à se servir d’épées, même s’il maniait déjà parfaitement les armes à feu. Ses disciplines ? D’après ce que j’ai compris, il a fait des progrès énormes dans la Présence –Je le soupçonne d’ailleurs de l’avoir utilisée sur moi pour mieux me séduire-, mais il n’a pas négligé la Puissance. Pour le reste…Si, il m’a dit qu’il savait parler aux animaux, mais c’est tout.
Oui, oui…c’est un charmeur, lui et sa Dame jouaient beaucoup à ce jeu semblait-il. Je l’ai trouvé très instruit, aussi. Si je peux me permettre, rien à voir avec toi. Hé, pardon ! Je disais pas ça en mal, tu sais que je peux pas blairer les tapettes…Bref, il m’a aussi raconté qu’elle était vouée au culte de Nod, ou un truc du genre…Ils ont beaucoup voyagés.

Ils ont commencé par « rentrer » en Angleterre, à Bristol, après son étreinte où il a été éduqué dans les mœurs vampiriques pendant environ cinq ans. Il a intégré une coterie mais ça s’est pas très bien passé. Il était empanaché de liberté et de franchise…Forcément, dans la Camarilla ça ne passe pas. Quand les tensions de la guerre ont commencées à se calmer, ils sont retournés en France. Leur « mission » a vraiment commencé à ce moment. Pendant presque dix ans, ils ont profité de la reconstruction pour parcourir librement le pays, allant de ville en ville pour en apprendre plus sur le passé. Ouais ouais, ces histoires sur les vampires de l’âge de bronze et d’avant. Ils ont ensuite fait un crochet de deux ans en Ecosse avant de rejoindre l’Allemagne. Hu ? Je ne sais pas, il n’a pas voulu me révéler quoi que ce soit sur son séjour dans les Highlands, à part qu’il était tombé amoureux de la Cornemuse et d’Amazing Grace.
La Germanie a été une véritable déception pour sa Dame et pour lui, apparemment. De Berlin à Stuttgart, ils n’ont soi-disant rien trouvé leur permettant d’avancer dans leurs recherches. Ils y sont quand même restés trois ans, mais en vain. Après cet « échec », ils ont décidés de se rapprocher du berceau ancestral commun à nos deux races : La Mésopotamie. Ouais, le Croissant-fertile, à la recherche des villes disparues de Babylone et d’Uruk, du pays de Canaan, des vestiges de tout ce qui s’est passé il y a des milliers et des milliers d’années. Ouais, ils ont toujours réussi à faire en sorte que le Sabbat les laisse tranquille, en affirmant principalement qu’ils étaient Anarchs. Ce qui n’est pas faux, mais pas totalement vrai non plus…Bref, ils ont pas fait de bordel et au prix de quelques tributs ils ont pu voyager sans grandes encombres. Je crois que c’est là-bas qu’ils ont passé le plus de temps…vingt-cinq ans je crois. Oui, ils connaissent bien le Sabbat. Sa Dame était pas foncièrement contre et quelques démonstrations un peu violentes leurs ont permis d’être presque acceptés. Mais Raphaël m’a dit que malgré son mutisme sur ces actes, il les condamnait néanmoins fermement. Il lui est d’ailleurs arrivé de tuer quelques Sabbatiques qui l’ont un peu trop cherché, soi-disant.

Mais dans leur quête de connaissance, ils ont fini par migrer en Inde, à la fin des années quatre-vingt. Beaucoup de la sagesse du Sabbat les avaient intrigué et ils ont voulu en avoir leur cœur net. Ben, par exemple, est-ce que Caïn est vraiment le premier vampire ? Pourquoi est-ce qu’il y a autant de déesses noires, accompagnées d’offrandes de sang et d’animaux mangeurs d’hommes ? C’est des antés ou des vampires qui datent de bien avant ? Est-ce que Caïn est le vainqueur, ou le dernier survivant, d’une guerre qui s’est déroulée à une époque si lointaine qu’on ne peut même pas l’imaginer ? Qu’est-ce que l’Atlantide, si ce n’est un royaume vampirique ? Enfin voilà, c’est ce qu’il m’a dit mot pour mot. Ils n’ont eu de cesse de chercher des écrits et des artefacts anciens. Lui-même est pro-no…pro-nodiste, oui. Il n’a pas vraiment d’allégeance envers une secte ou une autre, bien qu’il n’apprécie pas le Sabbat. J’imagine que ça lui rappelle trop les Nazis et leurs expériences particulières…En tout cas, ils sont repartis de l’Inde en quatre-vingt dix-sept, pour aller se perdre en Egypte pendant six ans, avant d’aller à Istanbul jusqu’à il y a moins d’un an, quand t’a chargé un des rares Assamites non maudit de le diableriser pour pouvoir t’occuper tranquillement de sa Dame.

En somme, ils ont vécu en solitaires jusqu’à l’année dernière, voyageant de ville en ville à la recherche de secrets cachés. Il m’a affirmé qu’ils avaient pu obtenir, l’espace de quelques nuits, un exemplaire du livre qu’Aristotle à écrit suite à ses propres recherches, qui concernaient le même domaine qu’eux. Caïn, Lilith, Enoch et tout ce bordel, ouais. Hum ? Oui, oui…Comme tu dis, il n’est pas très méfiant. Au fait, pourquoi t’as détruit sa Dame ? Ah, un compte à régler…d’accord. Si je te demande ça, c’est parce qu’il est toujours sous le lien du sang qui le liait à elle, et il te cherche activement partout. Non, il n’a aucune idée sur notre relation, mais sa vengeance ne trouvera pas de repos tant que…Oui, je sais que c’est pour ça que tu m’as envoyée en apprendre plus sur lui. Mais fais quand même attention, j’ai appris qu’il est arrivé à New York hier soir, il- Pardon, je veux juste pas qu’il t’arrive-

Une giclée de sang jaillit du crâne de la goule à ce moment, accompagné du bruit détonnant d’un uzi semi-automatique et du fracas d’une vitre qui vole en éclat.

-Quand on parle du loup, il n’est jamais loin…déclare Raphaël en français, ouvrant la porte du bureau d’un coup de pied.

L’arme dans la main gauche, son sabre dans celle de droite, il ouvre une nouvelle rafale qui achève la goule. Son maître s’est levé, mais n’intervient pas.

-Salope ! S’exclame-t-il en anglais cette fois. T’as cru que j’avais pas compris ton p’tit jeu ? Mais merci de m’avoir amené directement à ma cible…

Il se tourne alors vers John, puis ajoute :

-Je présume que j’ai pas besoin de me présenter ?
-Tu présumes bien…rétorque John en jetant un regard vers sa servante décédée.

D’un air tranquille, il se dirige vers une armoire de la pièce, l’ouvre et en sort une épée à deux mains, style médiéval. Le sabbatique arbore un sourire carnassier alors que son opposant affiche une expression résolue et malveillante. John déclame une dernière parole avant l’affrontement :

-Je vais prendre autant de plaisir à absorber ton âme que j’en ai eu avec ta Dame, mon cher petit…Meurt !

Raphaël ne répond pas, mais bascule son arme en mode automatique et vide le chargeur sur son ennemi. Cela n’a pas grand effet et le combat au corps à corps s’engage. Le duel ne dure pas longtemps, John domine le nouveau-né jusqu’à parvenir à lui planter son arme dans le ventre dans un estoc brutal. Pressentant que l’arme remonterait pour le couper en deux à la verticale, Raphaël lâche son sabre, retient l’épée de toutes ses forces et dégoupille une grenade…qu’il enfonce profondément dans le torse de l’anti-tribu d’un coup de poing enragé, la logeant dans un coin difficile à localiser. Déstabilisé, l’ancilla relâche son étreinte et tente de s’en débarrasser pendant que Raphaël court se réfugier… Quelques secondes plus tard, une explosion retentit, suivie d’un flot de sang. Quand le nouveau-né se relève, l’ancilla git au sol, le torse éclaté et les membres écharpés par les projections, mais bel et bien vivant. N’écoutant que sa haine, Raphaël s’empare de l’épée lourde, bondit et tranche à en fendre le sol jusqu’à l’étage inférieur. Mais doté d’une grande rapidité, le abbatique réussi à esquiver le coup à temps et récupère le sabre à terre. Le combat reprend de plus belle, mais c’est Raphaël qui mène la danse cette fois.

Les murs éclatent, les meubles volent, les deux créatures de la nuit se déchainent et déchainent leur passion. L’ancilla n’a toujours pas eu l’opportunité de se soigner et Raphaël ne compte pas lui laisser la possibilité de le faire. Les coups pleuvent, les lames tournoient, la folie du champ de bataille bat son plein. L’ancilla peine de plus en plus, se servant de son sang pour activer son pouvoir de Célérité régulièrement, afin d’éviter les attaques frénétiques de Raphaël et contre attaquer à son tour. Il n’arrive cependant jamais à atteindre le cou de ce-dernier. Finalement, le nouveau-né parvient à trancher le bras armé de son adversaire. Pris dans son élan, il tourne sur lui-même et lui coupe les jambes. John tombe au sol, paniqué, et tente de reculer comme il peut. Son adversaire l’immobilise en le transperçant d’un coup de l’épée lourde jusqu’à la sertir dans le sol. Malgré sa force, l’ancien n’a pas le temps de se défaire que le sabre de Raphaël vient lui séparer la tête du reste du corps. C’en est finit de lui, il ne reste bientôt plus qu’un tas de cendres.

Sa vengeance comblée, Raphaël ne ressent pourtant aucun plaisir. C’est même un râle de peine qu’il émet en tombant à genoux, comprenant qu’il devrait désormais trouver un nouveau sens à sa non-vie. Un vrai sens. Il finit par se calmer, soignant ses blessures et se félicitant d’avoir coupé le réseau de surveillance du bâtiment. En effet, les dégâts sont considérables, bien qu’invisibles de l’extérieur. Mais il ne faut pas trainer, la police serait bientôt alertée du remue-ménage –si ce n’était pas déjà fait-. Il récupère ses armes et l’épée de son ennemi vaincu, avant de les dissimuler sous son long manteau de cuir. Il rejoint le toit du bâtiment. Sa montre affiche 3h28. Prenant appui sur ses jambes, il s’élance dans une série de bonds de toits en toits jusqu’à être loin et en sécurité. La Lune est recouverte de nuages, la nuit est noire et le cache durant tout son parcours. Il ne peut s’empêcher de sourire à cette agréable intention.

Aujourd’hui, après une longue errance de plus d’une année, il arrive à LA dans l’espoir de s’installer et de fonder une nouvelle vie.

En dehors du forum

QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?

Pseudo : Seb
Age : 25 ans
Comment avez vous découvert le forum ? Je ne peux pas dire mieux: En fouinant sur internet
Votre avis sur le forum ? Il est bien, mais croyez vous vraiment que je me serais inscrit sur un forum misérable ? Non, certaines petites choses me perturbent, mais il est des choix que les grands de ce monde font dans un certain intérêt. Je me demande juste lequel ^^ Si certains grands de ce forum souhaitent connaître plus avant ces sujets, ils savent comment me contacter ^^
Ps=> Cela n'a pas de rapport avec ma demande "spéciale" ^^
Votre présence sur le forum ? Vous verrez bien ^^
Quelles sont les caractéristiques de votre race ? Ok pour Nod.

Citation :

Ensuite, en lisant les fiches des clans, j'ai médité sur la situation Assamite. Vous avez gardé (ou inventé, mais j'imagine plus gardé) la malédiction lancé par les Trémères sur eux, les privant de se nourrir de sang Caïnite. Cela me dérange déjà beaucoup plus, parce que si un Assamite ne boit pas régulièrement du sang de vampire il souffre de carences (Frénésie plus facilement atteinte etc). Je trouve que c'est très rebutant à jouer et je serais étonné si un jour un nouveau joueur prend ce clan d'entrée de jeu. De plus, si les Trémères ont le pouvoir de maudire tout un clan, pourquoi ne le font-ils pas avec les autres pour prendre l'avantage, ou simplement se débarrasser de leurs ennemis une fois pour toute ? (Genre les Tzimisces...)