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 Sydney.

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MessageSujet: Sydney.   Sydney. EmptyJeu 20 Juin - 11:51



Présentation de  


Sydney Blackbird
VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE





Nom : Blackbird
Prénom : Sydney
Surnom : King of Disco.
Date et lieu de naissance : New York, 20 juillet 1870.
Date et lieu d'étreinte : New-York, 01 juillet 1928.
Age + Statut d'âge : 85 années de vie nocturne, Vieux nouveau-né.
Génération X ème.
Faction Sabbat.
Clan Toréador Antitribu.
Poste Évêque, Saint du Disco.
Disciplines Présence : Niv III, Vicissitude : Niv III, Célérité : Niv II.




    Feat. Bill Nighy.


L'idole des dance floor
A quoi je ressemble réellement?



Arrive à la cité des anges le roi du disco, le maître des dance floor, le mécène du son rétro. Saint Blackbird et sa guitare électrique, prêt de nouveau à incendier les pistes, à vos pattes d’éléphants les néophytes ! Que ABBA résonne !

Un vieillard ! Un has-been ! Surement pas, il est celui qui brille. Toujours à se cambrer sur scène, exécutant les plus grandes danses du Disco avec souplesse et grâce ! C’est un dieu de la piste ! Le plus souvent paré de son costume violet, patte d’ephs évidemment ! Foulard rouge, grand chapeau violet avec une plume c’est tellement plus classe ! Veste ouverte sur le torse quand il danse, notre maître sait néanmoins se tenir au conseil, chemise blanche en dehors de la piste. Mais il ne se séparera jamais de ses lunettes teintées de rouge, il paraît que ce sont ses portes bonheur.

Le décrire, notre dieu du Disco ! On pourrait le voir vieux, mais moi je vois l’esprit des années 70, le symbole de toute une décennie. Sydney possède encore une chevelue blonde et fine, des traits ridés certes, mais des traits toujours prêt aux nuits de folie. Si vous voulez mon conseil n’irritez pas son Excellence car s’il sait amusé, son expression peut devenir assez flippante parfois. Certains ont testés et ben, ils ont eu des problèmes. Sinon pour le reste, Il est grand et ses jambes,  mon dieu je n’ai jamais vu de jambe danser aussi bien sur Dancing Queen ! Mince et élancé de tout son long il nous fait rêver !  Le prince des pistes malgré son manque de conformisme est mue d’une aura de raffinement défiant tout bon lord britannique.

Excentrique à souhait, osant toutes les couleurs, grand adepte du psychédélique ! C’est notre Dieu, je suis son plus grand fan ! SYDNEY !!!



Let's groove my mind
QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?



A tout ceux qui liront ma bible du Disco, mes chers amis il me faut m confesser. Je n’ai pas toujours été cet avatar du psychédélique. Mais ceci est une autre histoire, avant de lire la face B de votre cassette, toujours lire la face A et même si il y-a votre musique préféré sur l’autre face.

Je suis un Toréador et la rose est mon arme. Si je suis maître aujourd’hui c’est bien pour mes qualités de gestionnaire avant mes qualités de danseur, de metteur en scène. J’aime le dance floor vous le savez, je suis attiré par les feux de la rampe, comment résister à une danse, comment dire non au public ? A mes fidèles, aussi longtemps que je vivrai, ABBA et Boney M survivront à travers moi je vous en fait le serment. Je suis un seigneur veillant sur ma piste en gardien et pour constituer cet empire, j’ai été sage et clairvoyant dans mes investissements. Avisé et particulièrement retord lorsqu’il s’agit d’argent j’ai su en maître comptable ériger et conserver une véritable fortune, sans pour autant céder aux sons de la cupidité, je tenais à vous mes fans de faire cette confession.

Cependant sachez le je suis un caïnite d’art avant tout. Cinéma, littérature, danse, théâtre et musique bien sur, j’ai mis un pied dans chacun de ses domaines pour votre divertissement. Mais aussi je le concède j’ai œuvré pour m propre personne, car une si une rose naît belle, elle possède également un égo. Le miens est surdimensionné, un véritable culte de personnalité, que j’aime voir vos yeux remplis d’étoile à mon arrivée sur scène, vous ne pouvez imaginer l’extase que je ressens quand vous criez mon nom, criez le ! Encore et encore ! Aimez moi, Idolâtrez moi !

Quand vient le temps des coulisses je ne fais pas que du placement financier. J’ai en moi une perversion, un coté dérangeant, vraiment très désagréable. Il met déjà arrivé par exemple d’avoir la lubie de danser le Disco avec un partenaire, jusqu'à la mort de celui-ci. Il avait un costume certes un peu particulier, ma piste en était recouverte de sang à la fin de la séance, mais quelle soirée mes amis, ah… Ce cher Alberto… Si j’amuse, si je fournis le divertissement, si l’on se moque de moi pour mes gouts rétro sachez que mes ennemis me craignent. Point pour mes pas de danses, ni pour mon argent, mais c’est surtout pour les traitements que j’opère en cas de déception. Je suis extrêmement lunatique, pouvant passer du rire aux larmes, de la joie au plus cruel des sadismes. Je suis comparable aux seigneurs Tzimisce en leur royaume, veillant tel un gardien sur le Disco. Je sais être une icône et mon masque montre quelqu’un de sympa accessible, profondément soucieux de vous, mon public. Mais une rose à des piquants, n’oubliez pas ce fait. N’oubliez pas malgré mon jeune âge, mon commandement si impérieux.

Mon humour déroute, désarme, habituellement je reste un adepte de la diplomatie mais sur un coup de sang je peux faire subir mille tourment en un pas de danse. Juste pour une réponse ou une vengeance, oui je suis assez rancunier. Je demeure bon seigneur malgré tout et je sais écouter vos doléances d’une oreille distraite. Je reste une personne attachée à des superstitions, mes lunettes porte bonheur et aussi je prends plutôt aux sérieux les chats noirs, ce sont des bêtes à éviter. Je ne peux concevoir de porter du vert, pour un artiste ce serait désastreux. On me dit capricieux, mais comme toutes les étoiles.

Mais trêve de moi dans ma tête, passons à moi, ma vie, mon œuvre, ma vie. Comment cela, serais-je narcissique ?


My life before and after...
MA VIE  DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...



Ma vie commença mes chers fans dans les ruelles sombres et grises de la Grande pomme. Je n’étais qu’un petit new-yorkais fils d’une famille immigrante d’Angleterre. Les Blackbird étaient spécialistes du mouton la bas en Angleterre, bergers on ne pouvait dire qu’il y-avait guère de déboucher dans le secteur à New-York. Pauvres nous étions, vivant dans des places insalubres non éclairées ou la maladie régnait. Je revois encore mon jeune frère mourir assez jeune, devant mes yeux, non ne pleurez point mes fans, c’est ici que commence la grande quête de Sydney Blackbird.

Promis à un destin sans valeur, n’ayant pas accès aux chances de l’éducation, j’étais destiné à construire ces bâtiments d’acier. Mourir de froid, de maladie ou d’une chute fatale. Mais jeune je rencontre un rêve, une étoile vint illuminer le décor sombre de ma triste existence. Travailleur adolescent près de Broadway je rencontre les lumières de la scène, la couleur pourpre des rideaux. Une voix m’appelai, l’attrait de la scène naquis en la personne de Betty Ross, véritable Diva de la scène, j’avouai mon amour pour cette rose. Mais comment chers fans, un simple esclave des temples gris pouvait approcher telle lumière ?

En devenant lui-même une étoile, en égalant assez près cette merveille pour toucher sa peau, effleurer simplement ses cheveux. Tous les soirs je voyais les hommes rustres et bourgeois se courber à chacun de ses pas, et tout le reste du temps je m’entrainais, je dansais imaginant sa voix résonner dans ma tête. J’étais fan avant de vous rencontrer mes chers fans. Puis il y-eut cette audition, le grand théâtre recrutait et enfin je reçus la consécration et l’honneur. On reconnaissait mon talent pour la danse, il faut dire à l’époque j’étais souple et agile, mon équilibre était d’ailleurs reconnu dans le métier. C’était à moi que l’on commanditait les missions les plus périlleuses, notamment sur ce fichu Empire State Building.

Danseur aux cotés de Betty Ross, j’étais enfin à quelques pas de ma reine. Mais quelle déception de trouver une alcoolique, droguée et aussi si désagréable personne. Quelle monde des coulisses détestable. Me détournant de cette mégère pour plonger dans des années folles, j’eus à partir de cette époque une carrière montante. Jeunesse à la sexualité débridée, j’ai côtoyé de nombreux danseurs et danseuses. Au théâtre j’étais déjà prisé pour de nombreux rôles et quel succès en 1904 lors de la représentation de The Importance of being Earnest. J’étais une célébrité en vogue, une icône encensée par la critique et adorée par toute la Big Apple. Mais comme toute génération doit laisser la place aux jeunes je laissait vers l’âge de 40 ans la place à une nouvelle jeunesse pleine de promesse. Mais il n’était pas question d’abandonner la scène, malgré l’âge je demeurai un danseur très correcte capable de me produire pour la musique de Tchaïkovski. Néanmoins ce fut dans la mise en scène que se dirigea mon plan de carrière. Véritable meneur, je mis en scène tout Shakespeare, Racine et Oscar Wilde mon auteur préféré.

J’étais devenu le vieil artiste adulé des grands journaux de critique. L’icône intellectuelle et la référence en matière de bon gout, d’art. Mais déjà ma nature violente cachait une vie privé bien singulière derrière les projecteurs. Ma femme, cette gueuse de Matha n’est point décédée d’un accident domestique et déjà je vous le garantis la drogue circulait assez bien en coulisse. Le point culminant fut l’orchestration du meurtre d’un mauvais maître chanteur, je trouvai déjà humain une fascination dans les mises en scènes macabres, bien avant Hitchcock. Déjà sans le savoir j’avais un pied dans le monde des ténèbres.

L’Amérique vivait dans la peur du rouge mais la Big Apple continuait de vivre dans une fête constante. Les années folles ruinaient les bourgeois en quête de plaisirs nocturnes. C’était une époque folle ou Gershwin provoquait l’extase de son jazz. L’or et l’alcool coulait à flot et New-York était loin d’une Europe en ruine, de la morosité d’un vieux continent en proie à la zizanie des nations. Ce fut à cette époque que je fis connaissance d’Hector, jeune comédien talentueux, mon égérie à vrai dire et mon amant également. Ephèbe et génie de la scène, j’avouai être amoureux mais aussi jaloux de cet artiste, qui me rappelait tant moi…

De plus il était aussi vil, envieux et susceptible que votre humble king, n’hésitant pas à critiquer ma direction au Time’s par jalousie, osant troubler ma carrière d’un papier abject. Juste parce que je ne lui avait pas donné le premier rôle. Ma colère était rouge… Je ne rêvais que de massacrer cette engeance, ce sale profiteur ! Notre collaboration était finie, ainsi que notre idylle.

Croyez moi chers fans, dans la douleur d’un cœur brisé on ne pense guère à vraiment orchestrer un crime, tant la passion du meurtre nous envahit. Alors que nous vivions encore ensemble, je rentrais et constatant qu’il était bien la, ce cher Hector, je pris un club de golf. J’adorai le golf à cette époque. Arrivant en son dos, je n’eus aucune pitié et ma colère frappa jusqu'à ce que la mort d’Hector ne survienne, son plus beau rôle, drogué à l’opium sa résistance à mes coups n’avaient que renforcés. C’était mon deuxième meurtre de sang froid et quel vide après l’acte. Comment réagir face à son amour couché dans une mare de sang ? Un crime passionnel et je me voyais déjà faire ma dernière couverture du Time’s. « Le génie Blackbird, assassin ! ». J’étais alors une étoile déjà morte. Me précipitant dans la cuisine pour me laver les mains, j’entendis quelques bruits de pas dans le salon. La police pensais-je, déjà ! Au point ou j’en étais, je pris de nouveau un autre club de golf et discrètement j’approchai du salon, la ou reposait Hector.

Une jeune femme était agenouillé auprès d’Hector, vu son habit et la fenêtre ouverte il ne s’agissait certainement pas d’un flic. La passion étant encore la et dans la panique je préféra frapper dans le doute. Je n’étais plus vraiment à un crime prêt. Malgré mes pas de danseurs discrets et la célérité de mon avancée je fus surpris de voir son visage se retourner à la dernière seconde. Un si beau visage, une si belle femme, mais le coup était déjà parti. Je massacra ce si beau visage, cette si belle rose, elle ressemblait tant à Betty… C’était d’ailleurs Betty… Combien de coup avais-je donné jusqu'à ce que mon club se cassa ? Elle était si résistante … Trop résistante, mais enfin j’avais eu raison d’elle, ma chère Betty... Mes amis je venais de tuer la femme qui m’avait donnée l’envie d’être parmi vous, ma première muse. Imaginez ma surprise moi ayant 50 ans et elle toujours aussi jeune et belle, par quelle magie cela était-il possible ?

J’eus ma réponse par la suite, lorsque des applaudissements se firent entendre depuis la fenêtre. Une femme blonde drapée de blanc et un homme de noir vêtue se tenait en mon appartement. Décidément la sécurité à la première avenue laissait à désirer et j’étais bien trop fatigué pour commettre deux meurtres de plus… J’étais finie, je me voyais déjà me suicider de peur de vaciller de mon piédestal. Des yeux je recherchai mon colt. Mais c’était inutile, j’eus enfin la révélation d’un nouveau monde.

J’avais en face de moi deux membres du sabbat, la blonde une belle toréador et l’homme un tzimisce. Ils étaient la pour éliminer Betty Ross, Toréador et camariste convaincue. Elle était venue en ma demeure pour recruter Hector, pour le transformer. Un peu déroutés par les événements ils ne savaient pas vraiment quoi faire de moi, mais la blonde, ma dame, Narcissa… Elle me transmis sans délai son baiser, reconnaissant en moi l’étoffe d’un grand artiste. C’était un peu comme recevoir l’oscar gratifiant l’ensemble de la carrière d’un artiste. En compagnie de Narcissa et de Drake le Tzimisce j’appris enfin ce qu’était ce monde caché. Ah l’étreinte, l’expérience la plus orgasmique de toute ma vie… Aux mains de Narcissa il me semblait être le plus important des hommes. Mais mort je ne put que m’effacer devant Drake, le véritable amour de ma dame. Je ne comprenais guère cette lubie, il paraissait aussi aimable qu’une porte de prison. Enfin, si j’avais une mère, je compris vite que Drake endossait le rôle paternel, enfin plus ou moins cela dépendait de son humeur à vrai dire. S’il avait été d’accord pour mon étreinte il ne faisait qu’accéder aux moindres caprices de la toréador antitribu. Et encore cédant à la volonté de ma Dame il accéda à ma requête… Me donnant son sang, il me permit de maîtriser les chairs et les os. Discipline infernale de la vicissitude je suis une rose plutôt dangereuse comme vous pouvez le voir mes amis.

La suite, ce fut que je put conduire le chariot de ma gloire. Vers les étoiles et le panthéon des roses de ce siècle, je marqua à tout jamais l’histoire de ma griffe. Au Sabbat je commençai ma carrière dans les masses, j’avais encore un blason à faire briller, une nouvelle route à tracer. Alors que les Ventrues du Sabbat négligeaient l’aspect financier du pouvoir les roses excellaient toujours dans la gestion des patrimoines. J’avouai que la matière comptable ne me passionnait guère, mais ce fut avec elle que j’eus mes premières distinctions. Gérant la fortune d’un évêque de New-York j’attirai déjà les premiers projecteurs. Wall-Street n’avait plus de secret pour moi, particulièrement avisé je mis en place un système de spéculation intéressant. Je ne pensais pas que mes diverses opérations conduiraient à liquider les avoirs de plusieurs grands camaristes influents. Du moins j’avais pas imaginé tel succès, et c’est à l’aube du jeudi noir que ma fortune personnelle commença à monter en flèche. J’étais à des lieux de ma posture actuelle et j’apparaissais comme le danseur des flux boursiers, le petit génie de la finance du Sabbat. A vrai dire ce n’était pas étonnant considérant mon parcours, artiste, je n’avais rien avoir avec le coté flambeur qui collait tant à l’image du métier. J’étais prudent, avisé et sans doute un peu cupide.

Il s’agissait ici de la découverte d’une nouvelle guerre, détruire la Camarilla par l’argent, réduire en poussière le patrimoine de ces vieux vampires. J’avouai, l’idée déplaisait aux Tzimisces, mais je reçus l’applaudissement des joueurs d’échecs, les lasombras. Après quelques décennies en apprentie maître des finances du Cardinal Polonia, je reçus la distinction de le servir en tant que prêtre de meute.

Ma fortune était déjà conséquente et je ne sais pas, j’eus la nostalgie de mon existence d’autrefois. Ou était la scène, ou était le son des clameurs, ou était donc la gloire ? Seul avec des chiffres, une existence de comptable, non ce n’était pas ce que je voulais.
J’explosai alors littéralement de créativité, mon génie découvrit alors un son, une musique. Au hasard des boîtes de New-York, des premiers sons intéressant semblaient fleurir. J’adorai ce son, j’adorai le rythme, il était bon, il était merveilleux, si propice à la danse, à l’extase de la scène. Je misa alors ma fortune sur ces artistes si vertueux, en l’espace de quatre mois j’ouvris quatre clubs à Manhattan, le Disco était né. En ces temples de couleur, au milieu des tours grises, les artistes pouvaient se produire et avaient ma bénédiction religieuse pour prêcher la sainte musique. Une véritable culture naissait sous mes yeux, un souffle de liberté qui allait conquérir le monde occidental. Des maisons de disque naquirent, je n’avais pas vraiment oublier le coté financier de tout bon filon.

Sous les boules à facette, j’étais le grand Sydney, celui qui aidait les artistes à produire, diffuser leur son. J’étais le maître des pistes, le King des Dance Floor. Gloria Gaynor, Cerrone, Barry White et Dona Summer, ils me doivent tout. Mélange de funk et de pop, un mélange expérimental composé initialement par des synthétiseurs, le Disco eut un succès fulgurant et mes discothèques régnaient en maître sur Manhattan, Harlem, Brooklyn et le Bronx.

En l’espace de quelques années je devenais bien plus influent qu’un simple évêque. J’étais devenu un maître de la Grande Pomme et bientôt tout le Sabbat new-yorkais n’avait plus que mon nom en tête. Frigide ma hiérarchie n’avoua qu’a demi mot le succès de l’entreprise. Il ne s’agissait pas que d’une réussite commerciale, mais bien de discothèques, de lieux propices aux vampires de notre secte souhaitant se sustenter. Egalement le Disco symbolisait une victoire sur la Camarilla, nous avions grandi en influence, toute la société américaine était maintenant nourrie au biberon de mon Disco. J’avais ruiné pas mal d’investisseur Ventrue par ce coup violent. Mais moi, pape inconditionnel du Disco ,cela ne suffisait pas encore au cardinal Polonia.

Mais dans la continuité des 70’s, il dut bien avouer ma supériorité, j’étais désormais extrêmement riche et influent. Quelle célébrité ? Quel sénateur ? Quel acteur ? Quel grand boudait encore mes Discothèques ? En plus d’attirer le bétail, j’attirai les maîtres de ce troupeau, autant de personnalité servile à notre grande disposition. Sous couvert de la nuit, aux sons du disco combien de politique, de destin ont été joués en mes temples ?

Malgré la jeunesse, je reçus enfin la reconnaissance d’une hiérarchie qui avouait enfin ma grandeur. De prêtre je devins alors Evêque de Los Angeles, oh le Disco était déjà dépassé lorsque je reçus cet honneur. Je n’avais pas vu Madonna arrivée… Et les 80’s enterrèrent mon son chéri. J’étais milliardaire et certaines de mes discothèques s’adaptèrent aux nouveaux sons que la nouvelle génération désirait. Je conservai bien sur quelques temples à l’effigie de mon amour et je cultiva ainsi la nostalgie pour une génération entière. Encore aujourd’hui on se souvient de mes muses et poulains, ABBA, Boney M et ma Gloria, ma Gloria…

Depuis malgré les évolutions musicales mon amour s’est bloqué au temps du Disco. Mais j’ai bien tenté de faire autre chose, animateur radio… Oh, cela ne m’a guère plus… Réalisateur de film d’horreur, j’avouais l’ambition de mon œuvre était grande. De vrais gens dévorés par de vrais zombies ! Mais le film fut descendu par la critique ! Enfin j’eus beaucoup de succès dans ma boîte de production de séries pour la télévision. Jamais je ne pensais que cette série… Dallas aurait du succès ! J’avoue, le concept est de mon crue, Ewing et Barns, ça faisait un peu Sabbat et Camarilla, pour un monde impitoyable. Puis il y-a eu d’autres séries… La plupart maintenant viennent de l’idée de mes scénaristes et je ne touche guère à l’encre ces derniers temps.

Je suis puissant et Evêque ! La cité des anges ne me fait pas peur, c’est toujours un territoire américain et même si je n’ai guère bougé de la Grande Pomme beaucoup de mes filiales demeurent en cette cité. Ce fut donc en territoire conquis que je m’installa en cette terre. Et comme un Tzimisce je ne pouvais décemment me fixer en ce sol sans construire un temple à ma démesure. En plein centre ville, je fis aménager une discothèque à la démesure de ma volonté, le Dark Umbrella. Inutile de préciser le style rétro de ce lieu sacré. En ce temple je compte bien prêcher la sainte religion de cette musique divine.

Ici je compte bien entendu étendre encore plus mon influence. Un ancien Tzimisce en Archevêque gouverne, j’espère qu’il ne se sentira point en compétition face à mes atouts. Car je ne suis pas qu’un Nouveau né obsédé de musique funk. Je suis un maître de cette société américaine, de musique et de séries, j’abreuve ces esprits de mes productions. Il va donc être question d’une collaboration fructueuse, croyez le mes chers fans. Sydney Blackbird débarque chez les anges, cela va groover, vous pouvez me faire confiance.





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En dehors du forum
QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?


Pseudo : Syrius.
Age : 23 ans.
Comment avez vous découvert le forum ? Comme pour Shiro et Orphée.
Votre avis sur le forum ? L'avis n'a pas changé.^^
Votre présence sur le forum ? Extrêmement régulier.
Quelles sont les caractéristiques de votre race ? Celles qui sont notées dans les descriptifs de clan,of course !


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MessageSujet: Re: Sydney.   Sydney. EmptyDim 23 Juin - 21:40

Désolé pour ce nouveau changement, je n'ai put résister de dépoussiérer Sydney Blackbird. La fiche est donc terminée, j'espère qu'un Eveque nouveau né est acceptable. A la base sur l'ancien fofo Sydney était plus vieux mais comme j'ai déjà deux antiquités à mon actif ben voila quoi.^^
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Nod
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MessageSujet: Re: Sydney.   Sydney. EmptyLun 24 Juin - 13:06

Que voilà une fiche bien longue !
Je n'aurai pas le temps aujourd'hui je pense de m'en occuper, mais on (Lilith ou moi) fera ça dès que possible. ^^
Merci à toi en tout cas d'avoir bien voulu faire un personnage plus jeune. ^^
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MessageSujet: Re: Sydney.   Sydney. EmptyJeu 27 Juin - 18:32

Salutations cher roi du Disco,

Je te déclare officiellement titulaire de la fiche de présentation sur laquelle je vais me faire les crocs (euh... pas littéralement, hein? Quoique xD)

Bon, en plus tu as bien blablaté, c'est un plaisir ^^

Aloooors, concernant l'apparence de notre ami, rien à dire si ce n'est que je te décerne la médaille du bling bling. (J'aime tout particulièrement le détail qui tue : les lunettes porte-bonheur. Au plaisir de les croiser celles-là xD)

Pour la psychologie de notre cher fan des pattes d'eph', je m'incline, le tout est cohérent, et reflète extrêmement bien la mentalité Toré d'ailleurs : passionné mais point con avec un égo de la taille d'une pastèque transgénique. Un clan de Patriciens quoi ^^" Rappelle-moi de ne jamais médire à propos d'ABBA devant lui ^^

Concrètement, pour l'histoire, pas grand chose à dire ^^" le tout est cohérent, en fait Sydney est aussi terrible dans la vie que dans la non-vie xD je plains sa femme!

Au niveau de ses activités vampiriques, et de l'obtention de son poste d'évêque (ainsi que de la vicissitude) le tout me paraît totalement cohérent, le fait qu'il soit nouveau dans la cité est également une bonne idée ^^'

En somme, ce sera pour ma part un "faites péter le son, cher Evêque, et re-bienvenue sur le forum!"

N'oublie pas d'activer ta fiche de disciplines dans ton profil ^^ et va faire groover Los Angeles!
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