Debbie Cauldwell
Messages : 68 Date d'inscription : 25/11/2013
| Sujet: Debbie Cauldwell - Goule Mer 27 Nov - 14:10 | |
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Présentation de
Debbie Cauldwell VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE
Nom : Cauldwell Prénom : Debbie Surnom : Beauté Froide. Date et lieu de naissance : Los Angeles, 8 août 1985 Age + Statut d'âge : 30 ans, Goule (depuis approximativement 1 an et demi, légèrement plus) Métier Anciennement agent du FBI
Faction Camarilla Poste Goule de Lowell Shade Discipline Célérité I
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Les apparences sont trompeuses A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?
Vous sentez comme une sensation dérangeante dans le creux de vos épaules et qui se répand dans vos membres. Un peu comme si vous veniez d’être pris en faute comme un enfant, ou encore que vous veniez de vous faire rabrouer sévèrement, devenant le centre de toutes les attentions. Vous vous retournez pour voir d’où cela provient, et là, un regard perçant et sombre vous toise aussi sûrement que s’il vous passait aux rayons X. Il vous est difficile de définir la flamme qui les anime : détermination inépuisable, colère froide et maîtrisée, volonté inébranlable ? Un mélange des trois ?
Un frisson vous parcourt et sur le coup, vous vous sentez mal à l’aise. Mais rapidement, vous vous détendez en voyant à qui vous avez affaire. Une femme, une simple femme, et jolie avec ça. Ce n’est quand même pas cette ravissante créature aux courbes tentatrices qui va vous mettre le cafard, n’est-ce pas ? Vraiment ? Et pourtant, vous déglutissez difficilement sans trop savoir pourquoi, sans doute à cause d’une certaine prestance pour le moins déconcertante que dégage la jeune femme. Elle ne va pas vous manger voyons, approchez-vous d’avantage.
Vous remarquez alors qu’elle semble relativement jeune. Une étudiante ? Une moue réprobatrice de sa bouche charmante et un sourcil relevé semblent vous inciter à ne pas en dire un mot. Elle est belle, mais d’une beauté froide, le genre de femme indépendante et insensible à la flatterie directe. Son visage harmonieux et fin, encadré par une chevelure de jais, a l’air sévère et dégage une personnalité forte, sans que cela ne rebute pour autant. Au contraire, c’est même ce qui fait tout sa beauté.
Il n’est pas aisé de maintenir un contact visuel aussi profond et direct avec elle, aussi votre regard glisse plus bas et s’attarde sur sa silhouette. Fine, avec juste ce qu’il faut de formes aux bons endroits, le tout drapé d’une élégante robe noire et d’une veste d’un beige sombre, les hauts talons noirs avec. Elle atteint bien le mètre soixante-quinze, perchée sur ses escarpins, et légèrement moins d’un mètre soixante-dix sans. Pas de collier, pas de boucles d’oreille ou toute autre babioles encombrantes ou bruyantes ne viennent égayer ses charmes, elle n’en a pas besoin. Seulement une bague ou deux, assez discrètes.
Elle finit enfin par cesser son observation et vous adresse d’une voix moqueuse mais sans l’ombre d’un réel sourire : « Ne bave pas, ce n’est pas pour toi. »
Et elle vous plante là, vous laissant à vos divagations tandis qu’elle reprend son chemin d’une démarche souple et sûre d’elle.
A la découverte de votre esprit QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?
Il y a 5 ans, avant la rencontre de Debbie et Stephen.
« Donc, heu… Ma sœur. Comment te la décrire ? Déjà, il faut que tu saches que c’est une forte tête. Elle est déterminée dans tous ce qu’elle entreprend, à un tel point que je trouve que ça tourne parfois à l’obstination. Et crois-moi, elle ne se laisse pas non plus marcher sur les pieds ni impressionner : c’est une femme moderne, indépendante, et fière de l’être. Et elle est un peu chiante aussi. Parfois. Ça dépend si elle t’aime bien ou pas.
Ce que j’ai du mal à supporter avec elle, c’est quand elle se moque de moi. Elle n’est pas une de ces garces qui critiquent à tout va, mais disons qu’elle a un certain talent pour le sarcasme et appuyer là où ça fait mal. Et donc forcément, ce n’est pas toujours agréable. Et elle est plutôt futée avec ça, en plus d’être observatrice.
Par contre, son côté un peu teigneux peut avoir des avantages. Par exemple, elle ne supporte pas qu’on touche à son entourage. Sinon, elle devient très rancunière, et comme elle sait être patiente quand il le faut… Bon finalement c’est peut-être pas un avantage, tout bien réfléchi. En plus c’est une mauvaise perdante, t’imagines pas ! Puis, j’en suis pas très fier non plus, mais elle a côté un peu sombre par moment, je trouve. C’est un crème dans le fond, faut juste s’accrocher un peu pour le voir, mais il lui arrive d’être parfois calculatrice, voir même sans scrupules…
Mais enfin, ce que je veux dire, c’est qu’elle a un fort sens de la famille et de l’amitié. D’ailleurs, elle a pas l’air très tendre vu comme ça, mais faut pas s’y fier. C’est juste qu’elle n’a jamais aimé montrer l’affection qu’elle éprouve pour ses proches de manière trop voyante. C’est une battante, tu vois ? Elle veut toujours montrer la meilleure image d’elle-même, celle d’une femme forte qui n’a pas besoin d’être protégée par qui que ce soit.
Ça se ressent dans ses relations avec les hommes d’ailleurs. Je ne l’imagine pas autrement qu’avec quelqu’un du même tempérament qu’elle, quelqu’un qui puisse lui donner du défi et lui tenir tête, avec une forte personnalité. Quelqu’un d’autoritaire et avec une certaine prestance, j’imagine. Enfin, non, ça lui plairait peut-être pas au final, j’en suis pas sûr. Enfin, c’est une fille quoi, elle est compliquée…
Elle est aussi très impliquée et passionnée par son métier, et elle a une nette préférence pour les affaire compliquées, celles qui demandent forcément un certain investissement. Car plus le défi est corsé, plus elle a envie de trouver la vérité. C’est aussi un moyen pour elle d’être considérée avant tout pour son travail et ses capacités plutôt que comme une femme. Ça aussi, c’est très important pour elle, de ne pas être prise pour une sorte de belle plante verte ou de potiche. Et… Enfin bref, oublie-la.
- Mais…
- Oublie-la je te dis, c’est pas ton type. Trouve-toi une fille gentille qui cuisine et qui veut deux ou trois gosses, tu seras bien mieux avec, un gars tranquille comme toi. Et puis c’est ma sœur. »
My life before and after... MA VIE DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...
« Heure du décès ? - Plus d’une heure, aucun doute là-dessus. - Cause probable de la mort ? - Hm… Je pense qu’on devrait attendre l’avis du légiste. »
Leur voix me parvenait à travers un voile. Je restais là, à regarder l’endroit où gisait le corps de mon fiancé, Stephen, il n’y a encore pas si longtemps, délimité par des bandes plastifiées. Je crois que mon visage n’exprimait rien à ce moment-là, je n’en suis plus très sûre. Et ça, on peut dire que ça ne me ressemble pas, de douter de moi. Mais ce qui est certain, c’est que j’étais probablement pâle comme un linge, et que je me sentais gelée de l’intérieur jusqu’à la moelle. De ça, je m’en souviens à peu près, car un agent de police m’avait demandé si j’allais bien ou si je voulais un peu d’eau et m’asseoir. Je l’avais envoyé paître d’un regard noir et d’un revers de la main, reprenant peu à peu pied avec la réalité. Je n’avais pas besoin de sa pitié.
A la mort de mon grand-père, quand j’étais encore une enfant, je me souviens que j’avais beaucoup pleuré et crié à la face de la Vie que ce n’était pas juste. C’était la réaction qui m’avait paru la plus censée et naturelle, face à cette souffrance. Mais mon grand-père était mort de vieillesse et avait eu une vie bien remplie. Il n’avait pas été assassiné comme mon fiancé. Et alors que je me retrouvais confrontée pour la deuxième fois à la perte d’un être cher, je ne savais quelle attitude adopter cette fois-ci. Une colère froide ou une plaie à vif. Car cette vie perdue était infiniment plus injuste que la mort de mon grand-père, et en me remémorant ce souvenir, j’en prenais la pleine mesure.
« On retrouvera celui qui a fait ça, et à ce moment-là… Je te garantis qu’il le payera très cher. »
C’était Thomas, mon frère aîné. Travaillant dans la police de Los Angeles, il m’avait tout de suite averti quand il était arrivé sur les lieux, suite au signalement de la découverte du corps. Je vis à son regard qu’il hésitait à me prendre dans ses bras, autant pour me réconforter moi que lui-même. Il savait très bien que je n’étais pas une grande fan des démonstrations d’affection publiques, néanmoins je consentis à me rapprocher suffisamment de lui pour lui passer une main dans le dos, tandis qu’il m’entourait les épaules d’un bras.
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Mais un deuxième coup dur avait suivi cette macabre découverte au fil des semaines qui suivirent. L’enquête patinait et avançait laborieusement, pour ne pas dire pas du tout. Et quand Thomas m’avait annoncé cela en laissant libre cours à sa frustration en tapant du poing sur la table, je laissais une colère sourde et froide m’envahir. C’était quand même incroyable de vivre au 21ème siècle et de laisser un assassin vadrouiller à sa guise alors qu’il s’était écoulé près d’un mois. Les lieux avaient été passés au peigne fin, mais rien. A ce moment-là, j’avais pu prendre suffisamment de recul sur cette fameuse nuit, et j’ai alors décidé de mener ma propre enquête, malgré les protestations de mon frère qui me disait de ne pas m’en mêler. Il en faisait une affaire personnelle, mais j’estimais avoir autant le droit que lui de savoir ce qui s’était réellement passé. Il faut dire aussi qu’il s’en voulait. Thomas a toujours eu un comportement très protecteur vis-à-vis de moi, et il souhaitait me tenir à l’écart de cette affaire où il jugeait que je ne pourrais être objective. Ça ne l’avait d’ailleurs pas enchanté, lorsque j’avais rejoint les rangs du FBI, il y a déjà quelques années, mais c’était ainsi. Je traçais ma propre route avec mes propres armes, et je ne tolérais aucune contestation sur ce point.
D’ailleurs, j’en profite pour faire une parenthèse sur ce qui m’a amené à travailler au FBI. Mon frère m’a toujours dit que je n’y étais pas pour de bonnes raisons. A vrai dire, peu m’importe qu’il ait tort ou raison, car le résultat serait le même : j’y étais, et je n’avais pas l’intention d’en partir. Quant à ses motivations, elles me venaient de très loin. Vous savez ce qu’on dit des enfants : ils sont impitoyables, à leur manière. Au primaire, l’un de mes camarades de classe ne cessait de se vanter de son père, qui était un agent du FBI. Il en était horriblement fier et ramenait sans cesse tout à ce dernier.
Agacée de l’entendre, j’ai fini un jour par lui annoncer que son père n’était rien d’autre qu’un homme comme un autre. Cela a fait son petit effet, mais il a fini par prétendre que j’étais tout simplement jalouse parce qu’une fille ne pourrait jamais faire de même. Et c’est parti de là, tout bêtement. Si l’on suit ce schéma, j’aurais tout aussi bien pu devenir simple vendeuse ou même Présidente des Etats-Unis. Mais non, à huit ans, je décidai de devenir agent du FBI pour pouvoir un jour lui clouer le bec pour de bon.
J’ai toujours eu horreur qu’on me prenne de haut pour la simple raison que je suis une femme. Que ce soit dans mes études ou dans mon travail actuel, je m’efforce toujours de prouver qu’une femme égale sans problème un homme, voire même qu’elle le surpasse. En ce sens, mon frère a peut-être raison quelque part. Ce n’est ni par amour de la justice, ni pour voler au secours de la veuve et l’orphelin que je fais ce métier, mais uniquement pour m’épanouir moi-même. Et soyons honnêtes, je trouve bien plus intéressants d’être sur le terrain et de devoir parfois prendre des risques plutôt que de rester toute l’année derrière un bureau ou à sourire toute la journée à des inconnus irritants.
Dire qu'on veux être quelqu'un en particulier, c'est une chose. Y arriver en est une autre. Ce ne fut pas de tout repos : la formation fut intense et la barre placée haute, trop pour certains. On nous demande d'acquérir beaucoup de compétences en peu de temps, comme apprendre à se servir efficacement d'une arme à feu, maîtriser les techniques de filature, et bien sûr avoir certaines qualités de déduction et de logique. Mais la preuve est là que c'est tout à fait possible pour une femme, car je l'ai fait.
Mais revenons-en à mon histoire.
C’est alors, en commençant à m’impliquer officieusement dans l’affaire, que j’en suis venue à éprouver des sentiments qui ne m’étaient guère familiers : le doute et la stupeur.
Premièrement, mon frère m’avait rapporté que le corps de Stephen avait d’étranges marques dans le coup, comme si un animal lui avait sauté à la gorge, excepté que la dentition ne collait pas. Deuxièmement, le légiste avait déclaré que la mort était due à une exsanguination. Or, et je m’en souvenais comme si c’était hier, les traces de sang étaient minimes sur le lieu du crime. Les alentours avaient été fouillés et rien n’indiquait que le corps avait été déplacé. Où était passé tout ce sang ? Cinq litres, ça ne s’évaporait pas en une heure, d’autant que ça laissait des traces. Troisièmement, les archives purent m’apprendre nombre de choses intéressantes : plusieurs affaires similaires dans les faits s’étaient déjà produites et n’avaient jamais aboutis sur autre chose qu’un « classé sans suite ». D’autant qu’en contactant quelques connaissances dans d’autres grandes villes, je me suis également aperçue que ses meurtres étranges ne concernait pas uniquement Los Angeles.
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Finalement, le verdict est tombé : le propre cas de Stephen a été classé, seulement au bout de quelques semaines. C’est mon frère qui me l’a annoncé. Lorsque je lui en ai demandé les raisons, il est resté tout aussi abasourdi qu’il ne l’était en arrivant. L’ordre venait de haut apparemment. De très haut. Thomas émettait même des doutes, à l’idée que cela provienne de sa propre hiérarchie. Mais qui alors, quelqu’un d’encore important et haut placé ? Les politiques ? Les fortunés ? Qui pouvait bien oser aller à l’encontre de toutes ces enquêtes ? On aurait dit que quelqu’un cherchait farouchement à faire en sorte que toutes ces affaires n’éclatent pas au grand jour et ne parviennent pas non plus aux oreilles de l’opinion publique.
Quelque chose se trame dans l’ombre de Los Angeles, j’en suis devenue persuadée. Quelque chose qui nous dépasse probablement tous. Je vous arrête tout de suite si vous pensiez me rire au nez et me dire que je suis devenue une de ces paranoïaques persuadées qu’il y a des complots partout. Les faits et les preuves sont là, et ils sont plus qu’éloquents. S’agit-il de ce que me souffle mon intuition ? De créatures de la nuit, des créatures sorties tout droit des fables, qui ne nous considèrent, nous les Hommes, que comme du bétail ? S’agit-il de quelque chose de bien pire et plus tortueux encore ? C'est peut-être là une idée folle, mais lorsque je repasse au crible tous ces dossiers, cela me parait de moins en moins surréaliste. Il n’appartient qu’à nous d’en remonter le fil et de mettre les choses au clair. Si je dois être seule dans mon combat, très bien. Mais rien ne m’arrêtera, quel que soit le fin mot de l’histoire et les dangers, tant que je n’aurais pas mis la main sur l’assassin de Stephen…
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Octobre 2015
Le destin est d'une ironie grinçante à toute épreuve. Les choses s'étaient de loin passées comme prévu. J'avais bel bien découvert qui était l'assassin de Stephen, un dénommé Ian Winston. Mais en grattant en profondeur, j'avais aussi découvert quelque chose qui avait confirmé me doutes et mes craintes : il existait, sous le revers de la nuit de Los Angeles, des êtres qui n'avaient rien d'humain et vivaient sous le nez des humains. Des vampires.
Je les haïssais, j'avais tout mis en oeuvre pour venger la mort de mon fiancé, envisageant même de poursuivre l'éradication une fois ma vengeance accomplie. J'avais été prise de court, et n'avait pas pu tuer Winston aussi tôt que le souhaitais. Emmêler dans la toile de plusieurs de ces créatures de la nuit : Lowell Shade, Asher de Rosenlord, et de plus loin, un dénommé Ismahel, j'avais fini par provoquer un intérêt en eux à mon égard. C'était finalement Lowell qui était rentré dans mes bonnes grâces. Peut-être parce que nous parlions plus ou moins le même langage, là ou Rosenlord ne faisait qu'éveiller ma méfiance au moindre geste, à la moindre parole. Mais je n'étais pas dupe : marchander avec Lowell ou un autre revenait à la même chose, à savoir, jouer plus fin que l'autre pour obtenir ce qui m'intéressait. Savoir comment tuer ces créatures, et mettre fin aux jours de Winston. J'avais obtenu gain de cause pour le premier. Mais la suite avait mis plus longtemps à se réaliser, car un événement parfaitement imprévu était survenu : le réveil d'un très ancien et puissant vampire.
Cela avait changé beaucoup de choses, et je ne parle pas uniquement du quotidien de Los Angeles. Prise par le flot des événements, j'en étais venue à faire un choix bien plus tôt que je ne le pensais, et auquel j'avais déjà pensé. Un choix qui me répugnait, autant qu'il attisait mes sentiments les plus mauvais. Lorsque Lowell me l'avait proposé, j'avais accepté : j'étais devenue sa Goule, compromis acceptable entre l'Humain et le vampire, qu'il m'avait présenté très certainement dans le but de me faire céder. J'avais accepté pour augmenter mes chances de me débarrasser de Ian plus tard, ainsi que d'autres vampires si l'occasion se présentait. J'avais aussi accepté pour avoir une chance de survivre à tous ceci, et veiller sur mon frère de loin dans la tourmente qui avait frappé la ville.
J'en étais finalement venue à découvrir l'envers du décor qui animait Los Angeles lorsque le soleil s'engouffrait dans la ligne d'horizon. J'avais au final franchi tellement dans de pas dans ce nouveau monde, que revenir à une vie humaine me paraissait impossible à mes yeux. Je ne pouvais définitivement plus fermer ces derniers sur ce que je savais. Alors j'avais fini par accepté de m'y enfoncer encore d'avantage en découvrant l'univers dans lequel évoluait Lowell.
J'ai fini par devenir la moitié de ce que je détestais, et déteste encore aujourd'hui. Et pourtant, une part en moi me susurre de franchir le pas. De devenir ce dont je crache, de la façon la plus méprisante qui soit, le nom. Et cette part de moi prends une place de moins en moins négligeable. Peut-être vais-je finir par lui céder. Peut-être serait-ce une bonne chose, pour ce à quoi j'aspire. La mort "malheureuse" de Winston lors de cet épisode de trouble n'est que le début. Car quoi que je devienne à l'avenir, je n'oublie pas qui je suis, ni d'où je viens.
En dehors du forum QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?
Pseudo : Sofia machin-truc. Age : 19 ans. Comment avez vous découvert le forum ? Il y a très longtemps, avant sa fermeture et sa réouverture. Votre avis sur le forum ? Il m’a l’air bien. ^.^ Je suis contente de le revoir. Votre présence sur le forum ? Variable. Suffisamment pour jeter un coup d’œil régulièrement. Quelles sont les caractéristiques de votre race ? Validé par Nod.
Dernière édition par Debbie Cauldwell le Mer 16 Sep - 16:21, édité 15 fois
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| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Mer 27 Nov - 15:47 | |
| Bienvenue sur le forum, je te souhaite un bon courage pour la fin de fiche.^^ |
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| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Mer 27 Nov - 16:30 | |
| Puisses-tu connaitre l'extase joviale de la mort en cette ville ! ( ça signifie bienvenu pour celles et ceux qui ne parlent pas le Pitre anti-tribu) |
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| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Mer 27 Nov - 22:04 | |
| Bienvenu parmi nous, petite créature fragile et si mignonne ^^ Dans cette période maudite des étudiants (les débuts des partiels) je suis très heureuse de voir de nouvelles têtes ^^ Meme si nous sommes un peu débordés en ce moment, on s'occupera de toi, t'en fais pas ^^ Préviens nous dès que ta fiche est terminée, et si tu as des soucis, n'hésite pas à aller embêter Nod (et moi aussi, si tu le veux ^^) Bon courage pour ta fiche, et à bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Jeu 28 Nov - 7:33 | |
| Moi, un clown ? Je suis un Arlequin, et narcissique avec ça ! Ca n'a rien à voir ! Et un AR-TISTE, aussi ! x) |
| | | Debbie Cauldwell
Messages : 68 Date d'inscription : 25/11/2013
| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Ven 29 Nov - 14:34 | |
| Merci à vous ! ^.^ (désolée Lucien, mais j'insiste ) Et j'ai terminé ma fiche. |
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| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Sam 30 Nov - 13:44 | |
| Alors alors, je vais être la première à m'occuper de toi ma chérie ^^ On va voir si tu survis à mes méthodes et mes possibles tortures Alors, pour le physique, c'est parfait, rien à redire, j'apprécie la manière de voir même si je pourrais te demander d'être un peu plus généraliste mais bon, j'aime assez comme ça Le mental ... Alors, j'aime bien l'idée du dialogue, mais bon, juste, précision, son fiancé, c'est stephan ou stephen ? parce que tu ''an'' dans le mental, et dans les premières lignes de l'histoire, c'est ''en''. En parlant de l'histoire, j'suis partagée. Elle n'est pas longue, on ne parle pas beaucoup de son enfance, ni de comment elle est devenue agent du FBI et pourtant, je serais tentée de laisser passer ça ainsi, je trouve qu'elle est bien, résumé parfois, fonctionne très bien. Limite, je te demanderai bien d'ajouter quelques trucs du genre, pourquoi elle est devenue, comment, quelques mots de plus ci et là dans le mental et dans l'histoire. Et après, je pense que je te donnerais ton premier avis positif |
| | | Debbie Cauldwell
Messages : 68 Date d'inscription : 25/11/2013
| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Lun 2 Déc - 15:44 | |
| Je suis contente que la structure du récit te plaise. ^.^ Je voulais essayer quelque chose qu’un peu original pour n’assommer personne avec un banal monologue ou une simple description dans les formes.
Pour le mental, où j'ai écrit "Stephan" c'était une faute de frappe. C'est bien Stephen, avec un "e". ^.^’
Sinon, j’ai étoffé un peu l’histoire, ça devrait t’éclairer un peu plus sur son enfance et ses motivations (j'ai discrètement mis les paragraphes supplémentaires en italiques pour que tu ne cherches pas pendant trois heures). Désolée si je ne fais pas trop dans le détail, c’est plus par soucis de ne pas ennuyer avec ce qui me parait futile. |
| | | Nod Admin Fondatrice
Messages : 1305 Date d'inscription : 18/01/2013 Age : 36
| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Lun 2 Déc - 15:45 | |
| Bienvenue sur le forum ! J'ai des semaines assez chargées en ce moment, mais j'espère avoir un peu de temps pour toi avant la fin de la nuit ^^ |
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| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Lun 2 Déc - 16:03 | |
| Eh bien tout cela me semble parfait
Voici ton premier avis positif ! |
| | | Nod Admin Fondatrice
Messages : 1305 Date d'inscription : 18/01/2013 Age : 36
| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Lun 2 Déc - 16:41 | |
| Bien ! Le concept du flic qui traque les vampires, c'est assez classique, mais ça fonctionne tout à fait ^^ La fiche est agréable à lire, pas trop longue mais largement suffisante pour une humaine, on a l'essentiel des infos. Te voilà donc validée ! Bon jeu à Los Angeles |
| | | Nod Admin Fondatrice
Messages : 1305 Date d'inscription : 18/01/2013 Age : 36
| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Mar 15 Sep - 21:49 | |
| Fiche ressortie du placard ! Merci de signaler par un message lorsqu'elle aura été modifiée, et de bien penser à remplir le tout dernier champ de la fiche |
| | | Debbie Cauldwell
Messages : 68 Date d'inscription : 25/11/2013
| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Mer 16 Sep - 16:20 | |
| Voilà, normalement je pense que c'est bon. |
| | | Nod Admin Fondatrice
Messages : 1305 Date d'inscription : 18/01/2013 Age : 36
| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Mer 16 Sep - 20:33 | |
| Alors alors ^^ Il est noté en haut de ta fiche "ex-agent du FBI", tu n'en fais donc plus partie ? Mais tu n'expliques pas ton départ dans l'historique, alors qu'il est noté dans ton caractère que tu es impliquée et passionnée par ton métier. Aussi, les dates ne collent pas : si tu deviens goule durant la tourmente engendrée par l'éveil du vieux vampire, ça a eu lieu il y a six mois seulement, et tu dis être goule depuis un an et demi. Et pourrais-tu évoquer un peu plus en détail la mort de l'assassin de ton fiancé ? Tuer quelqu'un de sang froid n'est tout de même pas un acte anodin. |
| | | Debbie Cauldwell
Messages : 68 Date d'inscription : 25/11/2013
| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Mer 16 Sep - 21:29 | |
| Ah, il y a eu une incompréhension de ma part sur le temps qui s'est écoulé d'après le nouveau contexte alors. Je modifie tout ça demain. |
| | | Nod Admin Fondatrice
Messages : 1305 Date d'inscription : 18/01/2013 Age : 36
| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule Lun 21 Sep - 17:34 | |
| Tu penseras à prévenir lorsque les modifications auront été faites. ^^ |
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| Sujet: Re: Debbie Cauldwell - Goule | |
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