Présentation de  

Hope Grace McFlair

VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE

Nom : McFlair. Mon véritable nom est Hopfe, mais je l'ai changé le jour où j'ai quitté l'Allemagne pour venir vivre aux Etats-Unis. Prénom : Hope Grace. En tout cas c'est ainsi qu'on m'appelle maintenant. Mon vrai prénom est Günta. Surnom : Aucun pour le moment. Un jour, peut-être... Date et lieu de naissance : Je suis née humaine le 7 septembre 1911 en Allemagne, dans une petite ville près de Berlin. Date et lieu d'étreinte : Je fus étreinte en 1944, à 33 ans, dans le laboratoire où je travaillais alors comme scientifique pour le Reich. Age + Statut d'âge : 70 ans en tant que vampire, Vieux Nouveau-Né. Génération 9ème génération Faction Sabbat. Clan Tzimisce. Poste Aucun (à venir) Disciplines Animalisme niveau 2 , Auspex niveau 2 , Vicissitude niveau 4

Feat. Marilyn Monroe

Les apparences sont trompeuses

A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?

Déjà enfant, ma petite taille était raison de moquerie. "Der Zwerg" (la naine), "Winzig" (minuscule) et autres surnoms affectueux de mes camarades de classes ont bercé ma jeunesse. Heureusement, avec le temps j'ai appris à vivre avec, et maintenant on ose plus - ou presque - se moquer de moi. Je mesure un mètre cinquante-deux. C'est vrai que ce n'est pas bien grand, mais tout ce qui est petit est mignon, alors...
A la base je suis brune. Mais comme vous le voyez ma couleur de cheveux de prédilection reste le blond dans tous ses dérivés, avec une préférence pour le platine. Que voulez-vous, c'est un reliquat de ma vie humaine que je ne peux pas laisser de côté. Et puis ça revient à la mode, alors j'en profite !
J'ai les yeux bleus. Oui, blonde aux yeux bleus ça fait cliché, mais je m'en moque.
Je suis une accro inconditionnelle du style pinup. Donc tout y passe : coiffure, maquillage, vêtements, style musical... Même les tatouages (mais ils restent dans des endroits discrets)
J'aime le rouge à lèvres vif, les yeux maquillés d'un trait noir épais, les cheveux gonflés à grand renfort de bigoudis et de laque, les jupes crayon et les robes rockabilly avec des escarpins aux talons d'une hauteur indécente. En tout cas, quand je sors. Si c'est pour rester chez moi, autant ne rien porter du tout, c'est plus confortable.
Que dire de plus sur mon apparence ? Ah mais oui, j'allais oublier ! Il parait que j'ai une voix magnifique. Une voix suave, légèrement grave pour une femme, une voix de femme fatale avec un léger accent allemand. C'est d'ailleurs ce qui a charmé mon Sire...
Hope laisse échapper un léger rire, comme si elle venait de raconter une bonne blague.
Tout est dit ? Gut, passons à la suite.  

A la découverte de votre esprit

QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?

Hope a les yeux fermés, elle fredonne un air de vieux blues, comme perdue dans ses pensées. Soudain ses yeux s'ouvrent et son regard se pose sur vous.
Oh pardon, vous disiez ? Ah oui, mon caractère ! Et bien, je suis à la limite entre le "facile à vivre" et la garce.
Elle éclate de rire, un rire franc et agréable, mais légèrement déstabilisant.
Je m'explique. Je suis quelqu'un qui aime la vie. Enfin, la non-vie. Bref, vous me comprenez. Je sais apprécier les bonnes choses, je remercie chaque soir mon Sire de m'avoir ouverte à la nuit, j'ai un immense respect pour elle et pour mes Frères et Soeurs.
Je suis très loyale, quand l'un de mes frères du Sabbat requiert mon assistance, je viens l'aider sans poser de question, bien que les méthodes du Sabbat me répugnent un peu parfois. Beaucoup trop brouillon à mon goût. Mais bon, c'est pour cette raison que j'essaye de m'élever dans la Secte : pour faire évoluer les choses.
Bon, passons à ce qui vous préoccupe : pourquoi suis-je une garce ? Et bien, disons que de par mon expérience - humaine et immortelle - j'ai appris à ne plus me laisser marcher sur les pieds, à revendiquer ce qui me revient de droit, à tout faire pour ne jamais rester sur la touche. Et puis j'ai toujours été d'une franchise à toute épreuve, ce qui peut être une qualité comme un défaut, selon la personne à qui l'on s'adresse. Cela dit, vu que je sais quand même me tenir en société, on me pardonne certaines incartades verbales, parce que je sais tourner les phrases à mon avantage. D'ailleurs lorsque j'étais humaine, j'ai dû me mordre la langue à de nombreuses reprises pour ne pas finir à Auschwitz.
Je n'ai pas forcément un esprit de déduction des plus habiles, en tout cas pas en matière de connaissances humaines, mais je suis plutôt douée en sciences naturelles. De mon vivant je venais juste d'être promue chef de mon équipe de recherche lorsque mon Sire m'a transformée. Je vous raconterai ça en détail un peu plus tard, si vous êtes sage.
Dernier point : Vous saurez facilement si je suis en colère ou non ; lorsque je m'énerve vraiment, je me mets à jurer dans ma langue natale !

My life before and after...

MA VIE  DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...

Vie humaine :

Je suis venue au monde dans une famille bourgeoise de Postdam, Allemagne.
Fille unique, je devais combler à la fois les attentes de ma mère et celles de mon père, qui étaient tout à fait différentes. Ma mère ne me voyait que comme une parfaite petite femme d’intérieur, comme elle, faite pour être jolie et ne pas se mêler des « affaires des grands », comme elle disait. Mon père, lui, avait une plus grande ambition pour moi. Il voulait que je devienne une femme indépendante, cultivée, importante dans la société.
Ce fut la raison pour laquelle je reçus les deux éducations en même temps. D’un côté ma mère m’apprit les bonnes manières, la cuisine, la conduite en société, et de l’autre côté mon père me permit de suivre les études dans le domaine de mon choix.
Les sciences me passionnaient. Les sciences naturelles, principalement. L’étude du corps humain et de ses facultés me passionnait. Je fis donc naturellement de ma passion mon métier, même si à cette époque peu de femmes pouvaient se targuer d’être chercheur.  Au début je me heurtai aux moqueries de mes confrères, qui voyaient d’un mauvais œil l’arrivée d’une femme dans leurs laboratoires, mais finalement à force de travail je finis par avoir raison de leurs railleries. J’étais une femme, oui, mais j’étais avant tout une scientifique.
Avec l’avènement du Troisième Reich et l’arrivée du Fürher, les laboratoires dans lesquels je travaillais eurent beaucoup de travail, sur des sujets de recherche assez particuliers. Hitler était un homme très porté sur les sciences occultes, et cela se ressentait dans les travaux que l’on nous attribuait. Ce fut en faisant des recherches sur le sang que je fus amenée à rencontrer celui qui allait devenir mon Maître, mon Sire, mon père dans l’Après-vie.

Hope se redresse dans son fauteuil en souriant. Elle semble s’amuser et prendre plaisir à se rappeler cette époque.

Nous n’étions pas nombreux dans ce projet de recherche. Une petite poignée composée de l’élite des chercheurs du laboratoire. Le projet sur lequel nous travaillions avait pour nom « Dämmerung », « Crépuscule ». Nous devions faire des recherches sur des échantillons de sang dans le but d’en extraire ce qui devait, d’après Hilter, nous aider à créer des super-soldats, insensibles aux balles, plus rapides, plus efficaces et immortels. Il va sans dire que j’avais beau avoir une confiance aveugle en notre leader, je doutais fortement d’une éventuelle possibilité de réussite de ce projet.
J’avais raison de douter, et pourtant de telles créatures existaient bel et bien…

Une nuit, alors que j’étais restée au laboratoire plus tard que les autres, comme à mon habitude pour finir de remplir les comptes-rendus de la journée, je sentis un regard posé sur moi. Pensant qu’il s’agissait simplement d’un collègue qui avait décidé de faire du zèle, je me retournai, prête à l’enguirlander pour ne pas avoir osé s’annoncer directement. Mais au lieu de Frantz, Ulrich ou Gerarth ce fut un parfait inconnu qui croisa mon regard. Un homme d’un certain âge, je lui aurais donné la cinquantaine à peu de choses près. Bel homme pour son âge, même s’il ne correspondait pas aux critères de beauté actuels. Ni grand, ni blond, les yeux d’un noir profond. Il semblait tout savoir des travaux en cours ici, ce qui était surprenant vu les précautions que l’on prenait pour éviter tout espionnage Allié.
Il me dit s’appeler Petre, être un scientifique tout comme moi, et s’intéresser beaucoup à mes aptitudes. Il me proposa un marché : je le suivais sans discuter, et en échange il m’apprendrait tout son savoir scientifique et occulte, faisant de moi sa fille spirituelle. Je ne comprenais pas pourquoi me choisir moi. Il m’expliqua qu’il avait été envoyé ici suite à mes prouesses scientifiques (je me savais douée mais je n’avais pourtant rien accompli d’extraordinaire à mon sens, bien que je me rapprochai de l’objectif de mes dernières recherches depuis peu), et il insista sur le fait que j’étais destinée à accomplir de grandes choses, mais pas sous ma forme mortelle. Pour lui, je devais évoluer. Il me fallait plus d’une seule vie pour comprendre le grand TOUT, et il m’offrait ce cadeau, celui de l’éternité.  Il m’accorda une journée de réflexion, me faisant promettre de me donner ma réponse le lendemain, et s’en fut aussi subrepticement qu’il était arrivé, avec comme cadeau une petite fiole de sang noirâtre à côté d’un microscope. Curieuse, j’entrepris d’analyser ce sang, et compris qu’il n’était pas comme les autres…

Bien évidemment je fus présente le lendemain soir, quand Petre revint pour avoir ma réponse. Mais des réponses, il m’en fallait aussi. D’où provenait ce sang ? Comment était-il possible d’avoir un sang qui semblait mort et qui pourtant avait toutes ces capacités régénératives ? Il me promit des explications. Mais chaque chose en son temps. D’abord, il fallait que j’accepte son offre et que je le suive, peu importait ce qui en découlerait.
Ma curiosité était trop grande pour refuser, vous vous en doutez. Je vins donc à lui, et il m’emmena hors du laboratoire, hors de la ville même. Il me demanda de fermer les yeux, j’obéi – j’avais promis de ne poser aucune question – et je sentis ses lèvres contre ma peau. Un frisson d’excitation, le frisson de l’inconnu, et puis une déchirure, la douleur, la vie qui s’écoulait peu à peu de mon corps, et enfin un goût amer, métallique, puis le noir total…

Vie vampirique :

… Un goût de terre. Une sensation d’oppression, d’étouffement. Je devais sortir de là, creuser à m’en arracher les ongles si nécessaire. Le temps sembla durer une éternité avant que je ne finisse par sentir la caresse de l’air frais sur mon visage. L’incompréhension, la panique, la sensation qu’on s’était joué de moi, la faim… Tout m’assaillait en une volée d’émotions et de sensations. Tout semblait changé. J’y voyais mieux, j’entendais mieux, je pouvais sentir chaque granule de terre sur ma peau comme si elle était unique… J’étais vampire.
Petre était là à mon réveil. Il m’expliqua tout. Ce que j’étais devenue, ce que j’allais devenir, ce qu’il me faudrait faire pour survivre physiquement et moralement. Il m’expliqua la Mascarade. Les Sectes, les Clans. En plusieurs mois je finis par tout assimiler. Je ne lui en voulais pas d’avoir été si mystérieux. Ni de m’avoir ouvert le crâne à coup de pelle avant de m’enterrer pour mieux fêter ma renaissance.
J’appris beaucoup avec Petre. Sur nous, les vampires en général, les Démons en particulier. Sur les sciences occultes, la modification du corps, ce qui me passionnait déjà de mon vivant me fascinait encore plus dans l’Après-Vie.
Nous passâmes près d’un an en Allemagne, j’étais considérée comme morte pour le Reich, mais je poursuivais mes recherches à titre personnel, dans le but ultime de créer des Übervamps.

Mais la fin du règne d’Hilter nous poussa à partir. Nous quittâmes Berlin pour Moscou, où nous passâmes une partie de la Guerre Froide avant de finalement opter pour l’Amérique après le succès de la mission Apollo. Ils avaient plus de moyens, plus d’ambition, et nous aussi.

Nous nous installâmes d’abord à Boston pendant quelques décennies, puis nous migrâmes à New-York dans le but de nous y installer définitivement. C’était sans compter sur des chasseurs de vampires. Ils débusquèrent mon Sire alors qu’il était parti chercher de quoi se nourrir, et le tuèrent sans état d’âme. J’aurais dû les traquer, le venger, et croyez-moi j’en ai eu envie… Mais mes frères et sœurs du Sabbat m’avaient alors dissuadé de le faire, pour ne pas compromettre toute la Secte de la ville, et de rage je finis par fuir la ville pour des contrées plus accueillantes… Direction L.A.

Cela fait maintenant quelques semaines que je suis ici, à Los Angeles. J’y ai fait mon petit nid, et j’essaye de monter dans la hiérarchie politique pour faire bouger un peu les choses. Il faut que l’ordre établi soit modifié, on ne peut pas accepter de partager la ville avec la Camarilla, c’est inadmissible ! Nous sommes là pour régner, par pour cohabiter. Et pour y parvenir, tous les moyens sont bons…

En dehors du forum

QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?

Pseudo : Aetherya
Age : 28 ans, bientôt 29. Le premier qui me traite de vieille... Je le mords. >.<
Comment avez vous découvert le forum ? Tout simplement en cherchant "forum RPG Mascarade" sur Google.
Votre avis sur le forum ? A voir pour l'ambiance, vu que je viens d'arriver. Graphiquement très réussi, j'espère retrouver l'ambiance de Vampire : La Mascarade que je connais d'après les JDR sur table.
Votre présence sur le forum ? Sauf imprévus, plusieurs fois par semaine.
Quelles sont les caractéristiques de votre race ? Validé par Nod

Citation :

- Les lignées ne sont pas accessibles en premier compte. Il vous est demandé d'avoir déjà un personnage bien construit, actif et bien installé, avant de créer un personnage de lignée.