Présentation de  

Alexis CARTER

Nom : Carter Prénom : Alexis Surnom : Alex, parce qu'Alexis aux Etats Unis est majoritairement un prénom féminin Date et lieu de naissance : Los Angeles, 2 avril 1978 Métier : Propriétaire et gérant de la boîte de nuit Ground Zero Clan : Humain (100%)

Feat. James Spader

Les apparences sont trompeuses

A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?

Alexis est un homme qui porte bien sa trentaine et son costume noir. Atteignant à peine le mètre 80, il compense son manque de stature par une attitude blasée et une voix grave et suave. Il est plutôt en forme, malgré un début d'embonpoint qu'il s'efforce de perdre, mais le verre d'alcool qu'il semble toujours avoir à la main lors des soirées au Ground Zero lui complique la tâche. Il a les cheveux châtains foncés toujours savamment coiffés pour un effet faussement ébouriffé, et des yeux vert pâles qui savent communiquer son dédain. C'est un homme encore jeune, mais les lignes de l'âge commencent à se voir au coin de ses yeux. Il a un teint de peau assez pâle pour quelqu'un qui vit à Los Angeles, ce qui accentue les cernes qui se dessinent sous ses yeux. Il est souvent rasé de près. Il porte toujours une fine gourmette en or au poignet droit.
Sa façon de marcher et de paraître est volontairement nonchalante, et quand il se sent menacé ou mal à l'aise, sa première défense est une verve acide et ironique.

A la découverte de votre esprit

QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?

S'il n'a pas un mauvais fond, Alexis n'a aucun problème de moralité à jouer du mauvais côté de la loi pour se remplir les poches en fin de mois. Il a vite compris, depuis sa plus tendre enfance, que seuls ceux qui ont assez de pouvoir pour défendre le peu de territoire qu'ils peuvent grappiller s'en sortent en ce bas monde.
C'est un homme égoïste et intéressé, mais étrangement loyal. Il s'efforce de mener à bien ses projets et de faire tourner sa boutique en faisant en sorte que tous ceux qui travaillent pour lui y trouvent leur compte. Lorsqu'il travaille, il se montre généralement distant et critique, mais il est très attaché, si ce n'est possessif, de ces "affaires". Employés compris.
Il envoie régulièrement de l'argent à sa mère, une retraitée qui réside actuellement en France. Il n'a pas de famille, mais a eu plusieurs petites amies. Son côté machiste fait qu'il aime prendre soin d'elles, mais ne supporte pas qu'elles le contredisent, qu'elles travaillent, ou qu'elles se mêlent de son travail, ce qui rend ses relations pour le moins difficile.
Dans ce monde si stressant, il a ses petites bulles d’oxygène quand, le soir, il a le temps de faire quelques croquis sur son carnet à dessin en sirotant un verre de scotch. Il a un peu honte de ce hobby mais n'arrive pas à s'en passer.
L'enlèvement de sa sœur lorsqu'il était enfant le poursuit encore, et s'il a compris qu'il ne pouvait rien espérer du côté de la police et du FBI, il ne désespère pas de remonter la piste des coupables par des moyens moins légaux. Il a retenu de cet épisode traumatique un profond mépris des autorités publiques et un désir de vengeance qui s'est transformé en ligne directrice de sa vie. Il est en proie à une dilemme : plus il prend son temps, plus ce sera difficile de retrouver les malfaiteurs, mais s'il se précipite, il sait qu'il court à sa perte. Il a pour l'instant choisi la prudence.  

My life before and after...

MA VIE  DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...

Né à Los Angeles d'un père américain et d'une mère française, Alexis grandit dans un milieu ouvert et bien pensant. Son père est un avocat avec une petite réputation, sa mère travaille dans le monde de la mode, un métier bien nébuleux constitué principalement de soirées et de galas. Il a une soeur de quatre ans son aîné, Ignes, avec qui il est très proche.

Décembre 1985 : Alexis a sept ans, et il ne retient de l’événement que quelques flashs. Beaucoup de monsieurs inconnus portent le même uniforme bleu et lui posent des questions. C'est le milieu de la nuit mais on le laisse rester debout. On lui met une couverture sur les épaules, un chocolat dans les mains. Il ne comprend pas, mais il est content, il aime le chocolat. Il demande où est Ignès, mais on ne lui répond pas. Sa mère est en larmes et ne veut pas lui parler, son père n'est pas là non plus. Il boit son chocolat. Sa soeur n'est jamais revenue.
Plus tard, bien plus tard il comprendra qu'Ignes a été enlevée pour faire pression sur son père qui s'était retrouvé dans un procès à haut profil, à défendre les victimes d'un mafieux au bras long. Il comprendra que bien que son père soit resté fidèle à ses convictions et n'ait jamais craqué, préférant faire confiance au FBI pour retrouver sa fille, c'est à cause de la culpabilité de n'avoir pas cédé qu'il s'est suicidé cinq ans plus tard.

Alexis comprend alors qu'il existe des forces dans ce monde qui peuvent faire pire que tuer. Qui peuvent faire qu'on se tue soit même. Que les foutues convictions de son père, l'homme juste et droit en toutes circonstances, l'ont tué, et ont probablement tué Ignès aussi.
Sa mère, ne supportant plus cette situation, est retournée en France. Alexis quant à lui a décidé de poursuivre sa scolarité aux Etats-Unis, dans un pensionnat. C'était cher, mais qu'importe.
A quinze ans, il touche à la drogue, et se rend compte de son pouvoir addictif. A dix sept ans, il sort du centre de réhabilitation.
Addict à la drogue, ça fait mauvais sur son CV. Il fouille dans les vieux dossiers juridiques de son père que sa mère n'a jamais osé jeter jusqu'à trouver ce dont il a besoin : un moyen de pression sur une personne assez influente pour effacer cette trace de son dossier. A dix huit ans, il achète son premier costume, qui lui donne vingt ans de plus, et met son plan à exécution.

Ses genoux tremblent et il a envie de vomir, mais il tient tête à au magistrat bedonnant qui l'insulte le visage rouge, et lui expose froidement la situation : soit il coopère, soit son mariage est fini. L'homme cède, et les genoux d'Alexis arrêtent de trembler.

Il finit son lycée, change de nom, pour se débarrasser du patronyme de son père et prendre celui de Carter, et achète sa place dans l'université de Californie, à Los Angeles. Il s'est endetté, mais ce n'est pas grave. Il se remplira les poches bien assez vite. Il passe ses années universitaires à travailler et à se faire des contacts. Il repère les lieux branchés, les personnes de son entourage qui consomment des substances plus ou moins légales. Il sourit, il fait de la lèche, il donne de bons conseils et fait semblant de consommer, lui aussi. Il achète, en tout cas. Mais plus jamais il ne reniflera la poudre blanche ni ne plantera une aiguille dans son bras. Il est finalement accepté dans la fraternité Gamma, qui regroupe futurs avocats, juges et hommes d'affaires.

Son diplôme de business management en poche, il ne perd pas de temps, et fait ses classes auprès de plusieurs boîtes de nuit, apprenant à les gérer et surtout, à évaluer quels quartiers sont les plus surveillés par la police, et lesquels sont plus 'viables' pour ce qu'il souhaite entreprendre. Il se crée en quelques années un réseau peu étendu mais fiable de personnes sur qui il peut compter, ou tout du moins avec qui il peut négocier.

Dès qu'il a un peu d'argent, il gâte sa petite amie du moment, Linda, lui promettant qu'elle ne manquera jamais de rien, et ne voulant d'elle en retour que son soutien absolue en toutes circonstances. Même les circonstances qu'elle ne connaît pas. Si Linda s'accommode de ce mode de vie pendant un temps, elle se lasse vite de jouer la 'femme trophée', et leur histoire se termine au bout de quelques mois. C'est ce schéma de relations qu'Alexis répète depuis plusieurs années, incapable par machisme et par peur d'amener la femme qu'il aime dans un monde dangereux.

Il va en secret aux réunions des AAs pendant deux ans. Il ne peut pas se permettre de ne pas boire, dans son milieu ce serait mal vu, mais il se jure de garder le contrôle, et les réunions l'aident à rester les pieds sur terre.
En 2010, il réunit les fonds pour reprendre un établissement du côté de Westside: le Ground Zero. L'endroit attire selon les nuits une clientèle d'étudiants et de jeunes actifs.
En ce qui concerne le trafic de cocaïne, peu de ventes s'effectuent dans le Ground Zero même, qui sert plutôt de QG et à blanchir l'argent de la drogue. Alexis est prudent, et préfère éviter les débordements dans un lieu qui lui appartient.
Le personnel de son nightclub est à présent constitué d'individus de confiance :
- Ralph Serrano, le barman
- Paul West, le videur
- Andrew Brenton, son comptable
- Rickey Herrera, son dealer principal
Ces trois personnes sont dans le coup en ce qui concerne les activités d'Alexis. Paul s'assure qu'il n'y a pas de débordements, Ralph fait de même et dirige les clients en cas de besoin, tandis qu'Andrew s'arrange pour que rien ne transparaisse sur le livre de compte, tandis que Ricky écoule la marchandise, deux fois par semaine au Ground Zero, et par revendeurs ailleurs dans le quartier.
Alexis a plusieurs contacts utiles :
- un policier à qui il graisse la patte pour éviter les patrouilles et/ou être prévenu en cas de descente
- un avocat, un copain d'université, bien utile pour naviguer les eaux troubles des pièges juridiques
- un intermédiaire avec les cartels chez qui il se fournit en drogue

Le but auquel il travaille, lentement et prudemment, depuis des années, est celui de monter carrément dans le milieu de la pègre, et d'obtenir suffisamment de connections pour savoir enfin qui a enlevé sa sœur quand il était enfant. Il est à un tournant capital de sa vie, où il ne lui suffirait que d'un pas pour décidément franchir la barrière et s'impliquer avec les figures les plus dangereuses de Los Angeles.

 

En dehors du forum

QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?

Pseudo : Kinburi
Age : 25 ans
Comment avez vous découvert le forum ? par recherche google sur vampire la mascarade
Votre avis sur le forum ? très beau, mais très long à s'afficher
Votre présence sur le forum ? une fois par jour ça me paraît raisonnable
Quelles sont les caractéristiques de votre race ? Validé par l'admin. Non mais.

Citation :

que tuer. Qui peuvent faire
qu'on se tue soit même.