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 Zillah Vi Britania

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Zillah Vi Britania Empty
MessageSujet: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyMer 18 Déc - 20:31



Présentation de 


Zillah Vi Britania
VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE





Nom : Vi Britania
Prénom : Zillah
Surnom : Illah
Date et lieu de naissance : 14 février 1718
Date et lieu d'étreinte : Le 14 février 1736
Age + Statut d'âge : Ancilla - 278 ans
Génération 9.
Faction Camarilla
Clan Trémère
Poste Astor -12e inquisitrice interne au clan-
Disciplines Domination (niv 3) Esprit Distrait - Thaumaturgie (niv 4) Vol de Sang - Auspex (niv 5) Projection Astrale




    Feat. Nom prénom de la personnalité


Les apparences sont trompeuses
A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?



Concernant mon physique, je vais commencer par ma fierté, mes longs cheveux d'ébène auquels j'apporte un soin tout particulier. Je les adore, et c'est pour moi un plaisir de passer un temps fou à les brosser. Généralement, je les laisse librement tomber sur mes épaules, allant et venant à leur convenance et au grès du vent. Dans certains cas rares, je les attache avec un élastique mais, jamais oh grand jamais, vous me verrez  avec des nattes ou des tresses... Et les couper courts, jamais de la vie. Sinon, je suis une grande femme d'1m81 à la silhouette fine et élancée. Plutôt maigre, je n'ai pas beaucoup de formes, même si je ne suis pas une planche à pain ; disons que, comme j'aime à le dire, j'ai pile ce qu'il faut où il faut. Pour mes yeux, ils sont gris bleutés, ce qui donnent à mon visage un air triste. J'apprécie secrètement les longues robes sophistiquées de grands couturiers, même si je ne porte essentiellement que des tenues que juge plus sobre et facilitant les mouvements et attirant peu l'attention faisant de moi un garçon manqué. En gros jean's basket. Mes couleurs sont le rouge le blanc et le noir. Ma démarche féline n'est que sensualité naturelle. Peu bavarde, je pèse toujours le moindre mot sortant de ma bouche. Pour ce qui est des bijoux, je porte en permanence un collier autour du cou et une chevalière pour pendentif le tout en or blanc. D'ailleurs, l'un de mes tics, est de faire rouler entre mes doigts fins ma chevalière sertie d'un diamant aux reflets roses... une pure merveille. Sinon, suivant mes envies, je porte ou non mes piercings... Au total, trois :

- deux à l'oreille droite,
- un à la gauche,

Pour le reste, je n'ai rien d'autre à ajouter excepté que je suis ambidextre.



A la découverte de votre esprit
QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ?



Zillah en plus du tic précédement vu, aime jouer de l'harmonica. Esprit cartésien, elle ne fera rien sur un coup de tête. Elle analyse, calcul et cherche à anticiper les problèmes avant qu'ils se montrent. Cela fait d'elle une personne renfermée en apparence. Elle peut se montrer féroce et sans pitié dans certains cas, même cruelle et sadique ; surtout si vous faites preuve de non respect envers son clan. Zillah est une grande joueuse d'échecs et la vie, pour elle n'est qu'une partie d'échecs grandeur nature. Sa voix est douce et mélodieuse et son regard coquin, est de ceux qui font chavirer les coeurs et qui vous donnent l'mpression de lire en vous.

Zillah est une vampire soumise à son Clan. Endoctrinée par Ailis et son rôle au sein des Astors, elle ne remettra jamais en cause les décisions de son Clan. Comme lors de son Serment, elle a juré de ne jamais remettre en danger son Clan et de toujours soutenir la Camarilla en maintenant la Mascarade. De ce fait, si ses actions venaient à mettre en périls la Camarilla, comme son Serment lui ordonne, elle ne poursuivra pas ses buts personnels. Car, pour elle, la force de la Maison et de son Clan dépend de la force de la Camarilla. Ainsi, les amis de la Maison et du Clan Trémère sont ces amis et de ce fait, les ennemis au Clan ou à la Maison deviennent ces ennemis.

Zillah n'a aucun préjugé envers les autres Clans composant la Camarilla, pour elle, une règle d'or ; travailler comme une seule entité pour prospérer. Mais, concernant le Sabbat, même si malgré les années vampirique passées elle n'en a pas rencontré, elle leur voue une haine presque viscérale.



My life before and after...
MA VIE  DE MA NAISSANCE A AUJOURD'HUI...









1718 Naissance et Etreinte

J'ai vu le jour à Paris en 1718 soit l'année de la fondation de la Nouvelle-Orléans par les Français sous la direction du Canadien Jean Baptiste Le Moyne, Sieur de Bienville. Son nom fut choisi en l'honneur du régent Philippe, Duc D'Orléans. Au départ cette ville ne fut qu'un simple comptoir, et c'est seulement en 1722 qu'elle devient la capitale de la Louisiane française.
Pourquoi je vous raconte tout ceci me direz vous. Tout simplement pour vous transporter à cette époque, comprendre où j'ai grandi, jeune française immigrée sur le nouveau continent si on peut dire à la recherche de liberté.

Il faut comprendre qu'à cette époque, la Louisiane était dépourvue de structures sociales, politiques et religieuses rigides. De plus, la Nouvelle-Orléans abritait une communauté cosmopolite et multiraciale. Tout cela mis bout à bout donnait à chacun le sentiment d'une grande liberté. C'est dans ce doux contexte qu'à l'âge de 16 ans, j'ai gagné cette ville du nouveau monde dans l'espoir de me construire une vie tranquille.

Nous sommes en 1734, lorsque j'ai gagné la Nouvelle-Orléans des rêves pleins la tête. J'étais l’aînée de trois filles. Ma mère étant veuve, elle ne pouvait pas subvenir seule au besoin de notre famille, notre père nous ayant quitté des suites d'une maladie qui l'emporta un an plus tôt. Ma mère malgré tous ces efforts ne pouvait pas nourir mes jeunes sœurs et de moi, j'ai donc du trouvé très jeune un travail et quitter le cocon familial et protecteur. Ma chance fut de rencontrer une bonne âme en la personne de Claudide de Fontenay. Cette femme splendide et douce était la gérante d'un établissement de joie pour noble. Je sais ce que vous allez penser, jeune fille belle, bien que plutôt renfermée, il était plus que probable que j'étais fille de joie ; et bien non. Mon travail était celle de domestique, je m'occupais des tâches ménagères comme laver les linges de maison, le ménage ou le dîner. Femme d'affaire avant tout, Claudide avait un don pour sentir le vent des affaires tourner ; ainsi, quand elle eût la possibilité de rejoindre le Grand Continent avec ces filles, elle n'hésita pas un seul instant me proposant de les accompagner étant plutôt fière de mon travail pour elle. N'étant point retenue par mes obligations envers ma famille dont je n'étais qu'une autre bouche à nourrir, je pris mon courage à deux mains pour tenter l'aventure. C'est donc ainsi, le 7 janvier 1734 que j'arrivais à la Nouvelle-Orléans.

Depuis ma tendre enfance, j'ai un don. Quelque chose qui me rend différente des autres. Petite je n'en avais point conscience, mais en grandissant j'ai appris à utiliser ce cadeau des dieux. En effet depuis mon plus jeune âge, j'ai une mémoire eidétique ou mémoire photographique. Je vous l'accorde dit comme ça, cela à l'air génial et c'est ce que je pensais ayant pris conscience de mon don. C'est à 18 ans que j'ai vraiment compris que mon don pouvait être une malédiction ; c'était un froid matin de décembre. Je m'en rappelle aujourd'hui encore comme si c'était hier. Un tueur implacable avait choisi la Nouvelle-Orléans comme fief. Sortant comme un fantôme emmitouflée dans une cape à capuchon, à une heure tardive de la nuit ou très avancée du matin, pour prendre l'air et regarder les étoiles, j'étais tombée sur le corps éventré de sa dernière victime, un jeune homme blondinet, client de l'établissement un peu plutôt dans la soirée. Celui-ci vivant ses derniers instants, j'assistais impuissante à son trépas. Après ce jour, j'ai choisi d'utiliser mon don pour tenter de cerner la nature humaine, curieuse, de comprendre comment un être humain pouvait être aussi barbare et clairement dépourvu de la moindre once d'empathie. Incapable d'oublier la vision de ce pauvre corps en lambeaux, j'ai essayé de comprendre.

Ne pouvant me défaire de cette vision d'horreur, ce corps mutilé, très vite j'ai cherché à comprendre. La blessure ne pouvait être l’œuvre d'une quelconque arme connue... Trop profonde, trop large, quatre plaies pratiquement parallèles faites sans la moindre hésitation. Il m'était impossible de trouver le sommeil, mes nuits hantées par ce corps à l'agonie.

Pendant ce temps, ce monstre, ce prédateur sanguinaire continuait de tuer de ci de là, vieux, enfant, homme ou femme, blanc ou noir... Il était comme l'ombre de la mort planant sur nous tous. Les habitants pour la majorité vivaient maintenant dans la peur... Pour les plus courageux, ils s'étaient regroupés formant une sorte de milice... Mais, c'était plutôt des soûlards, brutes épaisses ou autres crapules à qui profitaient le crime. Comment me direz vous ? C'est simple, c'est enfoui dans la nature de l'homme... Retirez la justice, la loi et vous aurez d'un côté une majorité de personnes apeurées, de l'autre, ceux qui ont en eux les plus viles envies cachées et qui, le jour venu, les révéleront au nom de la Justice ; leur Justice. L'homme, sa nature me dégoutte de plus en plus... Plus le « boucher » laissait des cadavres derrière lui, plus la pseudo milice était violente et bafouait les lois ; expéditions punitives sur les minorités, lynchages en public pour unique crime d'être pauvre ou différents. Laissez une meute de loups dans une bergerie pour protéger les moutons d'un ours ; qui fera au final le plus de victime ? Dans ce chaos, les filles de joies furent bien vite victimes ; le peu de clients qui sortaient la nuit étaient armés ou se disaient de la milice, ils prenaient les femmes de forces, à la limite du viol, ne les payant pas et les brutalisant pour celles qui osaient tenter de se rebeller... Claudide était ce qu'elle était, mais, pour ces filles, elle aurait fait n'importe quoi. Elle fit donc fermer l'établissement jusqu'à ce que l'orage passe comme elle aimait à le dire. Un couvre feu au sein de l'établissement fut instauré et l'interdiction de sortir seule de jour comme en soirée.

Un soir, alors que deux des pensionnaires de notre établissements, pour ne pas dire des filles de joie, n'étaient point revenues, je fis la chose la plus stupide de ma vie... La fatigue sûrement, l'enfermement prolongé n'aidant point, je pris ma stupidité à deux mains et fit le mur pour les partir à leur recherche. Au départ, telle une ombre agile et rapide malgré ma maigreur apparente faisant de moi une grande perche chétive en apparence, je couru une hachette à la main à travers les ruelles d'abord éclairées de la ville, puis m’enhardissant dans des ruelles de plus en plus sombres. Combien de temps ai-je marché, je ne m'en souviens plus... Mais, très vite, je finis par comprendre mon erreur, ma folie... Mes pieds m'avaient conduit finalement en dehors de la ville... J'étais seule, paniquée et désorientée lorsque je réalisa dans quel bourbier je venais de me mettre. Mon cœur battait comme jamais auparavant, serrant le manche de mon arme, j'étais complètement tétanisée et me répétais sans cesse à quel point j'étais idiote. Le courage me quittant, j'allais partir en courant lorsqu'un grognement et une présence se fit sentir dans mon dos. Figée par la peur, je fermais les yeux sachant pertinemment que l'Ombre de la Mort allait m'emporter... J'allais devenir une victime, un corps mutilé qu'on retrouvera ou pas... Alors que la créature, oui, sans le voir, je pouvais savoir que le tueur bondissant sur moi n'avait en fait rien d'humain simplement par sa respiration. Les larmes coulèrent sur mon visage alors que je serrais la toute petite hache contre moi... Mais, la Mort, la Grande Faucheuse n'était point venue ce soir pour moi. Je restais un long moment sans bouger, écoutant le silence... Les secondes me paraissant des heures avant que, le courage me revienne et me fasse me retourner... Devant moi, se tenait un homme couvert de sang, et à ses pieds, la plus terrifiante des créatures... Je sais maintenant que cette chose que j'avais pris pour un loup garou, n'était en fait, qu'un Gangrel atteint de folie, et sans mon sauveur de l'instant, je ne serais plus de ce monde... Ai je des regrets ??? Aucuns.

Ayant perdu connaissance, je me réveilla bien plus tard dans un lit douillet, mon sauveur, qui deviendra mon sire sous peu à mes côtés. Après un long cérémonial dans lequel je fus la vedette et que je me dois de garder secret, je perdis la vie... Pour renaître plus forte et surtout immortelle... Oui, cette nuit là, j'étais devenue une infant de Tremere et servir mon clan pour son hégémonie était devenu mon but, ma mission, ma vie...


Ma Vie Vampirique


Mes premiers pas comme Tremere.

Mon sire m'avait choisi au départ pour ma plastique avantageuse et même si cela n'était point glorieux pour moi, cela m'avait permis de survivre. C'était un homme, enfin un vampire bon et érudit. Le peu d'années passées à ces côtés m'apportèrent beaucoup autant sur le plan purement intellect mais aussi sur ma condition de créature de la nuit. Ayant fait de moi sa chose pour de bases besognes, j'eus grand mal à gagner sa confiance mais surtout son respect. En effet, parmi tous les clans vampiriques, j'étais devenue une infant de « Tremere » pour ma beauté et rien d'autre. Ce clan, sûrement le plus complexe et le plus secret était un mystère pour moi, pendant bien longtemps. Enfin, bien longtemps étant un bien grand mot pour une nouvelle vie d'immortelle...

Charles « Luxus » Xavier était de ces vampires cultivés qui jugeaient les autres sur leurs actions et non sur leurs aptitudes innées. Pour lui, n'ayant rien accompli dans ma vie humaine, je n'avais qu'un rôle de potiche, la simplette à qui on demande de sourire et de ne surtout pas parler. Charles était un esprit vif et avait pour mission de traquer les créatures surnaturelles impactant la vie des êtres humains et risquant ainsi de révéler l’existence des vampires. Le regard de mon sire à mon écart changea lors d'une de ces enquêtes. Nous sommes en 1798 à Paris, la ville des Lumières.
Nous étions au mois de mai. Depuis que j'avais quitté Paris pour la Nouvelle-Orléans, je n'avais jamais remis les pieds dans ma ville natale. Mon sire avait pour mission de traquer un tueur qui sévissait dans la capitale française. Je l'avait déjà vu enquêter sur d'autres affaires, trouver des preuves, remonter la piste et d'autres choses. Encore une fois, celui-ci me tenait à l'écart de l'affaire préférant me sortir pour les mondanités où j'avais selon lui plus ma place. Mais, j'en avais marre de faire la potiche, certes, j'étais une belle jeune femme, mais j'étais surtout autre chose, une femme avec des capacités et une intelligence hors norme. Il ne me fallait plus que lui prouver, prouver à mon Clan l'étendue de mes compétences. Serviable comme à mon habitude, j'apportais le thé à mon maître. Devant lui, se trouvait ces notes que je peux aisément mémoriser grâce à ma mémoire photographique. Il y faisait référence à la nature brutale des crimes et aux cibles du tueur ; de belles jeunes femmes brunes autant dire que je faisais un leurre de choix. Un petit sourire se dessina sur le visage de mon maître.

« - Il semble que je n'ai pas besoin de t'expliquer ce que j’attends de toi. J'ai remarqué ton regard sur mes notes... Et ta capacité à enregistrer le moindre petit détail d'un simple coups d’œil. C'est un don assez rare que tu possèdes, mais dit moi, as tu la capacité mentale pour utiliser ce don au mieux et servir le clan ? »

Sans même avoir le temps de lui répondre, il me parla longuement de mon don, ma mémoire photographique et comment au fil de notre vie commune, dans mes petits gestes, mes réactions, il l'avait d'abord envisagé avant de finalement en avoir la certitude. Je m'étais littéralement trompée sur mon sire, en plus d'être âgé et sage, il avait ce petit quelque chose, cette petite touche de folie faisant les grands hommes. Jamais il n'aurait du me donner ma chance, la chance de lui montrer que je n'étais pas qu'une jolie plante. Ainsi Charles m'accorda quarante huit heures pour faire mes preuves et débusquer le tueur. Bien sur, c'était tout un challenge, le peu d'informations que j’avais pu voir sur ces notes n'avaient rien de bien détaillé ; à l'exception faite que les victimes étaient toutes jeunes et brunes. Après réflexion, j'étais certaine qu'il l'avait fait exprès. Mais cela n'avait aucune importance ; j'avais ma chance, à moi de la saisir.

Devais-je me montrer dans le quartier où le dernier corps avait été retrouvé ? Pas très intéressant. Je n'avais que peu de temps et rien ne me permettait d'affirmer qu'il s'en prendrait à moi. Je finis par décider d'arpenter les quais dans un tout autre but ; glaner des informations sur la victime qui y vivait. Le temps passa à une vitesse folle et mon investigation semblait ne mener nulle part. La seule chose digne d'intérêt que j'avais pu récolter, était que deux des trois victimes fréquentaient une taverne non loin d'où je me trouvais actuellement. N'ayant rien d'autre à faire et surtout manquant à la fois de temps et d'indices, je me rendis dans cette taverne.  Là-bas, rien de très palpitant avant que je finisse par remarquer un détail troublant. Plusieurs individus après avoir commandé une poêlé forestière descendaient à l'étage du dessous ; sûrement la cave sans avoir leur commande bien évidement. Des femmes, des hommes, il ne semblait pas avoir d'autres critères que celui de commander ce menu ne figurant point à la carte. M'approchant de l'aubergiste, je passais commande de ce dit plat. Comme je le pensais, c'était un code pour avoir accès au sous sol. Était-ce un tripot clandestin ? Ou une maison de passe cachée ? Pour le second, j'étais plutôt sceptique. En bas, la vérité était tout autre ; j'avais mis les pieds dans ce qui abritait des combats clandestins. Là, il me fallu peu de temps pour remarquer le maître de maison ; son attitude, sa prestance, ne pouvait me tromper, j'avais en face de moi un vampire. Me fondant dans les ombres, je me fis discrète espérant ne pas me faire remarquer par le prince des lieux. Même si il ne révélait pas sa nature de vampire, celui-ci utilisait ce lieu pour ce trouver du gibier qu'il vidait de toutes gouttes de sang avant de maquiller ces crimes en simple meurtre. Mais, cela allait à l'encontre de la Camarilla, il était donc une menace pour mon Clan. Fronçant les sourcils, je finis par décider de révéler ma présence en allant m'adresser à ce « confrère ». Il me fut facile d'arriver à lui sans faire trop de vague et de découvrir que malgré toute ma discrétion, le vampire m'avait remarqué à peine arrivée. M'invitant à m'installer à ces côtés, il semblait amusé, comme si tout ceci n'était qu'un simple jeu. Comme je l'avais déduit, ce misérable vampire se croyait intouchable, libre de faire ce que bon lui semblait peu importe si ces actes, tôt ou tard, porteraient préjudice à la Camarilla. Je me devais de le neutraliser... Je ne pouvais le faire devant des témoins, nombreux qui plus est. Mais, j'avais un atout, il était clair que malgré ces dire, il n'allait pas me laisser tranquillement repartir. Il allait sûrement tenter de m'éliminer, à moi, le moment venu d'être prête et surtout plus forte que lui. Quelques heures plus tard, une fois le dernier combat terminé, il m'invita à le suivre dans ces quartiers personnes. Trop sur de sa supériorité sur moi, ou simplement par stupidité, il avait décidé de me neutraliser seul, sa dernière erreur.

Comme je l'avais prévu, il chercha à me tuer et le combat fut difficile pour moi mais finalement je réussi à prendre le dessus sur mon adversaire par l'utilisation instinctive d'un sort de thaumaturgie -la rage du Sang- qui me permis de prendre le dessus sur mon agresseur en lui faisant perdre du sang par, les yeux, le nez la bouche et les oreilles, le déstabilisant suffisamment pour en venir à bout. Nettoyant toute trace que mon confrère vampire aurait pu laisser, telle une ombre, je disparut retournant auprès de mon Sire pour lui faire un rapport détaillé et l'informer de la mort du vampire.
Il ne semblait point touché par ce final et après mon récit, après ce jour, il m'initia avec patience aux secrets et à la connaissance qu'il maîtrisait voyant enfin en moi un atout au Clan, et non plus une belle femme.

Je vécu une cinquantaine d'année encore à ces côtés avant de finalement pouvoir prendre mon envol et suivre mon propre chemin devenant maîtresse de mon destin. Je ne l'ai revu quant de brèves occasions. Mais, encore aujourd'hui, nous entretenons une correspondance... Enfin, si une lettre par an peut être vu comme une correspondance.


1888 : Jack the Ripper ou la première traque.

Je vais vous passer ma période d'apprentissage, les premières fois où j'ai du me nourrir, apprendre l'histoire des miens... Cela serait long, et sans grand intérêt. Il faut juste retenir que j'étais douée, très douée même pour chasser les criminels. Mon esprit logique et mon entêtement étant vu par mes pères comme une arme qu'ils souhaitent aiguiser au mieux pour les servir. Pour cette raison, je fus envoyé en Angleterre pour faire mes preuves...

Nous sommes en 1888, Londres est plongée dans la peur ; cette peur a pour nom Jack The Ripper. Assassin sévissant dans le quartier pauvre de Whitechapel. Ce tueur en série, dont l'identité ne fut jamais établie, était accusé du meurtre d'au moins quatre prostituées lorsqu'on me donna pour mission de le traquer. Pendant le voyage de France vers l'Angleterre, mon esprit travaillait déjà sur l'affaire, se remémorant les informations recueillies par mes pères. C'était pour moi, un tournant dans ma non vie... La possibilité de faire mes preuves, montrer ma valeur à mon clan... La pression était là, palpable, terrifiante... La plupart des informations fournies étaient des coupures de presse de l'époque. La première victime, Mary Ann Nichols avait été tuée dans la nuit du 31 aout 1888 sur les coups de 3h30, 3h45 du matin. La seconde victime, Annie Chapman, fut elle retrouvé le 8 septembre 1888. Ensuite venaient deux victimes dans la même nuit, le 30 septembre de la même année, Elizabeth Stride et Catherine Eddowes...

La sauvagerie de ce tueur était sans égale et de plus en plus barbare... Les femmes étaient égorgées avant d'être éventrées... Entre le premier et le quatrième crime, seulement un mois... Information plus qu'intéressante, nous avions donc affaire à un tueur prolifique, en pleine évolution comme l'indiquait son mode opératoire... Polly, la première victime n'ayant été qu'égorgée et lacérée à la langue, l'abdomen et à ces organes génitaux... Dark Annie, elle, avait eu moins de chance, égorgée, elle fut éventrée afin de pouvoir prélever certaines organes que je ne citerais point ici, la chose marquante, ses intestins déposés sur son épaule droite. Long Liz, ou Lucky Liz comme les journaux la nommée, avait vraiment eu de la chance semble t-il, ne se faisant qu'égorger ; un passant ayant fait fuir Jack The Ripper... Enfin si c'était bien lui... La même nuit, Eddowes était assassinée, non, massacrée avec une rage et une cruauté sans nom. Quasiment décapitée, défigurée, elle fut retrouvée le ventre ouvert dans une mare de sang. Comme pour Annie, on lui avait retiré certains organes, les intestins placés sur l'épaule droite.

Mon étude comportementale me permit de dresser un premier profil du tueur... Chez ce tueur, il n'y avait aucune trace de remord. Tuer pour lui était un acte aussi simple que respirer comme l'indiquait la sauvagerie de ses crimes. Un meurtrier sans remord, ceux sont les pires. Mais, une chose était certaine, pour un être humain, il était doué d'une grande force, égorger quelqu'un au point de le décapité, n'est point facile. De ceci, j'en avait déduit qu'il s'agissait d'un homme ; enfin si il était humain. La seconde chose importante, Eddowes, elle n'était point dans le périmètre de confort du tueur et son crime faisait montre une barbarie extrême. En effet Eddowes ne fut pas assassinée dans le quartier de Whitechapel. Et si nous partons du postulat que Liz fut l'une de ces victimes, alors Eddowes fut un crime d'opportunité dans sa fuite. C'est un narcissique exprimant une très grande colère. Voilà où j'en étais lorsque mon voyage vers Londres pris fin.

Londres, quelle ville merveilleuse... Grâce aux contacts de mes pairs, j'ai pu avoir accès aux informations de la police qui n'avaient pas été dévoilées aux médias. De plus, le dernier meurtre ayant eu lieu à Aldgate, la police de la City hérita de l'affaire qui n'était jusqu'à présent que du ressort de la Metropolitan Police. Pour moi, cela était un point positif, en effet, le temps que les données circulent entre les deux forces de l'ordre, j'avais le temps de mener mon enquête en toute discrétion. Mon investigation me conduisit dans le district de l'Aldgate. Après plusieurs jours à récupérer des témoignages inutiles, mon enquête piétina, se retrouvant au point mort. C'est alors que le 09 novembre Jack The Ripper frappa à nouveau en massacrant Mary Jane Kelly. Elle fut retrouvée chez elle, au 13 Miller's Court. Veuve et vivant seule Jack eu tout le temps pour faire dans l'horreur avec ce meurtre. Grâce au docteur Thomas Bond, chirurgien de la Metropolitan Police, j'ai pu avoir accès à la scène du crime me faisant passer pour un assistant. Ma grande taille et ma maigreur aidant à me faire passer pour un homme malgré mes longs cheveux. Inspectant les lieux du carnage, j’eus pour la première fois une vision en touchant un objet. C'était la première fois que j'étais sujet à la psychométrie. Tenant le draps du lit serré par la victime au moment de sa mort, je ressentit sa peur, la terreur qu'elle avait éprouvé avant sa tragique mort, la souffrance qu'il lui avait fait endurer. Tétanisée, le visage convulsé par sa souffrance devenant mienne le temps d'un souffle, je pu entrevoir la vision du tueur lorsqu'il toucha le draps. Comme un flash, je pouvais le voir lui retirer les organes avant de les disperser ici et là dans la pièce. Thomas avait réagi vite pour un simple mortel me sortant de ma transe... Était il plus au fait de ma nature vampirique que je l'avais imaginé ? Qui était-il vraiment ? Je n'eus pas de réponse sur le moment, ne l'ayant jamais revu depuis cette nuit. Je su bien plus tard que le docteur Thomas Bond était une goule, ayant pour maitre un Nosferatu à qui les Astors avaient graissé la patte, si on peut dire, pour m'aider dans mon enquête. Mais, je savais qui était le meurtrier ; Michael Ostrog, chirurgien russe, escroc notoire et plusieurs fois interné pour démence. Ma mission touchant à sa fin, j’informais mes pères de ma découverte. La suite, fut prise en charge par un groupe spécial, les Astors dont j'entendais parler pour la première fois.



Ted Bundy ou comment j'ai trouvé ma voie.



J'ai continué longtemps à travailler comme enquêtrice pour mes pères, pour mon clan. Nous sommes en 1976, cela fait deux ans que les États-Unis sont sous la terreur du tueur de femmes - Ted Bundy – lorsqu'on fit appel à mes talents. L'enquête en elle même n'était point la plus intéressante le coupable nommé Ted Bundy n'étant en réalité qu'un simple pion sur un échiquier. Non pas qu'il n'était point coupable des odieux crimes qu'on lui avait imputé... En réalité, il n'était qu'un instrument, un pauvre humain asservi à un maître. Mais reprenons du début...

J'avais fait mon bout de chemin, menant du mieux que je pu chacune des tâches qui me fût donnée par mes pères. Aiguisant de plus en plus mes dons surtout dans le domaine de l'Auspex ; pour certains, j'étais un génie, pour d'autres, une bête de foire. Nul ne pouvait me duper, pour certains, j'étais un bon présage pour les autres, une gêne. Mais, je m'en moquais, ne cherchant qu'à servir de mon mieux mes pairs et mon clan... Pourtant, je les ai tous trahi … Comment me diriez vous ? J'ai enquêté dans mon seul but... Enquête après enquête, crime après crime, l'unité secrète des Astors intervenait pour « nettoyer » dirons nous... J'ai donc cherché après eux. Et c'est en 1976 que je pu dire schachmatt setzen...

J'avais toutes les preuves... Je pouvais affirmer que Ted n'était qu'un simple pion sacrifié... Pourtant, comme pour les autres enquêtes, on me pria de laisser faire les Astors... A grandir, malgré ma grande foi en mes pairs, j'avais besoin de réponses, plus encore de la vérité. Je les ai donc traqué. Enfin j'ai cru naïvement que j'étais le prédateur ; il n'en état rien, j'étais la proie. J'avais réussi à remonter la piste d'un Astor dans une vieille usine de textiles désinfectée. A l'intérieur, se tenait la plus belle femme que j'avais vu. Bien que petite, la rouquine aux tâches de rousseur était une vraie merveille. Je su après que cette vampire irlandaise était la Grande Inquisitrice des Astors... Numéro un sur les sept que formait cette élite secrète au sein des Trémères.

« - Bonjour ma Sœur. C'est avec une grande joie que je t'accueille ici. » Me dit elle d'une voix mélodieuse et oh combien envoûtante. Comme si, elle avait toujours su tout de moi.

« - Qui... Qui êtes vous ??? Et surtout.. Vous le savez innocent... » Répondis-je doucement.

« - Je suis Ailis Mc Carty, Grande Inquisitrice des Astors. Cela fait bien longtemps que je te suis ma Sœur. »


Elle m'expliqua pendant un long moment le rôle des Astors au sein du clan mais aussi le sort de Ted Bundy qu'allait être le sien. Dans les jours à venir, en prison, il finira par avouer tous les crimes commis. Lui qui en réalité n'était que le pauvre servant d'un vampire. Malheureusement, pour l'esclave humain, aux yeux de l'Amérique, du monde, il fallait un assassin humain ; pour cette raison, il payera des crimes de son maître. Pour le vampire, son sort avait été scellé dans la nuit ; la Mort Ultime.

J'ai poursuivi ma route comme apprentie d'Ailis. Elle m’entraîna, me forma. A la fois sur l'art de la Thaumaturgie ; domaine dans lequel elle excellait, l'art en général surtout Japonais et l'Opéra qu'elle adorait plus que tout. Les années passèrent à vitesse grand V à ces côtés. Mon travail d'enquêtrice restait plus ou moins le même sauf lorsque le criminel était une créature dite surnaturelle ; là, on effaçait les preuves aux yeux des humains et on faisait en sorte de mettre fin aux agissements du monstre. L'autre travail était de nettoyer le Clan de la vermine qui le gangrenait de l'intérieur. Tout Trémère que l'on jugeait indigne ou portant préjudice à notre Clan était traqué, jugé et condamné...




Aujourd'hui,

Récemment promue dans la faction Astor, j'ai aujourd'hui le privilège d'appartenir à l'unité secrète Trémère ; je ne suis plus une apprentie. Je suis numéro douze. J'ai le pouvoir et surtout le devoir en tant qu'inquisitrice interne au clan de juger et châtier les félons qui par leurs actions entachent notre noble et puissant clan. Nous œuvrons dans l'ombre la plus totale sans jamais nous dévoiler. Aux yeux de tous, ou presque, je suis une "simple" Trémère. Après plusieurs décennies d'apprentissage à Vienne, je peux maintenant montrer mon engagement et ma foi inébranlable envers mes pères.
Los Angeles, ville de vis et de péchés, attention me voici ; moi l'oiseau de proie.
L'absence de primogéne trémère ne rendra pas ma tâche facile, mais je ne faillirais pas. Je suis un roc, un titan et  rien ne pourra me détourner de ma mission, traquer et détruire ceux qui auront la folie de trahir notre clan en leurs offrant le châtiment approprié à  leur félonie... Nous, Astors, nous sommes juges, jurés et bourreaux, alors craignez nous traîtres au clan.

Le vent fouetta mon visage alors que je me retournais lentement vers Ailis. M'inclinant avec respect sachant pertinemment qu'elle me demandera de redresser. Ce qu'elle fit s'approchant de moi pour replacer le col de ma veste.

"- Tu connais ta mission ma Sœur. Aujourd'hui et pour la première fois, tu seras seule devenant vraiment une Astor. Je suis très fière de toi."

Elle me tourna le dos me parlant ensuite par télépathie :


"-Je vais te donnais une mission secondaire dont je devrais être la seule au courant de ton avancée. Il semble que certaines rumeurs circulent sur un ancien livre... Une traduction qui aurait été écrite par un Malkavien Aristote de Laurent pour être exacte. Renseignes-toi sur ces rumeurs... Soit vigilante Illah."








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Ismahel Lucilius
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyJeu 19 Déc - 2:11

Bienvenue Smile
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Lenneth Mahler
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyJeu 19 Déc - 8:36

Bienvenue par ici, bon courage pour la fichette. Est ce que je me trompe si je crois reconnaitre une référence à Code Geass dans le pseudo ?
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyJeu 19 Déc - 19:01

Merci pour l'accueil Very Happy
J'espère finir ma fiche avant Samedi soir, mais beaucoup encore à écrire et corriger mon étreinte qui va pas Very Happy Mais, avec le taf, peut être que samedi du coup. Hate de vous rejoindre.

Ps : Lenneth tu as raison, Vi Britania est le vrai nom de Lelouch Lamperouge qui est le 16ième empereur ^^
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Lenneth Mahler
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyJeu 19 Déc - 23:09

J'étais sur de ne pas me tromper en fait, Code geass est un très bon anime.^^
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptySam 21 Déc - 16:05

Oui, je le recommande pour ceux qui connaissent pas et si vous aimez pas les animes avec des Mechas comme moi, vous y arrêtez pas, CG s'arrête pas qu'à ça. Very Happy
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyDim 22 Déc - 20:22

Bon courage pour la rédaction de ta fiche ^^
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyVen 27 Déc - 18:44

Je vais me risquer et dire fini? J'espère que j'ai rien oublié et que j'ai pas fait trop de fautes. :$
En espèrant que vous pendrez plaisir à me lire.
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Lilith
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptySam 28 Déc - 18:40

Bon, je t'ai dit que je m'occuperai de toi, et maintenant, c'est parti
J'ai demandé par contre à l'admin de Carmilla qu'elle me passe le double de ta fiche, que je puisse comparer, suite à ce que je t'ai expliqué, et du coup, ça commence mal :

Physique :

Citation :
Je suis une grande brune d'1m81 aux longs cheveux d'ébène. Mon physique est plutôt agréable. J'ai ce qu'il faut où il faut. Sans pour autant avoir une grosse poitrine... Loin de là, à défaut, mes seins sont fermes et je trouve plutôt jolis. Bien ronds. M'enfin c'est histoire de goût. Mes yeux, la chose après mes cheveux que j'adore, sont eux, gris bleuté. Toujours triste...

Tout ce passage, mot pour mot, c'est le même. Pour une présentationt de taille-cheveux-yeux-poitrine, je pense que tu peux réécrire quelques lignes.

Pour les pierçings et le tatouages, je te l'ai dit en CB, du coup, j'attendrais tes maj.


Histoire :

Bon, on va s'arrêter au premier truc que j'ai relevé :

Citation :
J'ai vu le jour à la Nouvelle Orléans en 1718 soit l'année de sa fondation par les Français sous la direction du Canadien Jean Baptiste Le Moyne, Sieur de Bienville. Son nom fut choisi en l'honneur du régent Philippe, Duc D'Orléans. Au départ cette ville ne fut qu'un simple comptoir, et c'est seulement en 1722 qu'elle devient la capitale de la Louisiane française.
Pourquoi je vous raconte tout ceci me direz vous. Tout simplement pour vous transporter à cette époque, comprendre où j'ai grandi, jeune française de parents immigrés sur le nouveau continent si on peut dire à la recherche de gloire et de fortune.

Il faut comprendre qu'à cette époque, la Louisiane était dépourvue de structures sociales, politiques et religieuses rigides. Cela donnant à chacun de nous le sentiment de grande liberté. Bref, la ville de La Nouvelle-Orléans abritait une communauté cosmopolite, multiraciale et même, par certains aspects, interlope. C'est dans ce doux contexte que j'ai grandi, peut être pour cela suis je enfin étais-je volage, libertine et libre avant de la rencontrer. Oui, je vais vous en parler avec plus de précisions. Mais, avant ça revenons voulez vous à l'époque où tout a commencé ; le jour de ma transformation, ma Mort avant ma renaissance.
Nous sommes en 1746, j'ai grandi loin du besoin, une cuillière en argent dans la bouche. D'une ancienne famille noble française, avec des origines germaniques qui ne transparaissent maintenant que dans mon Nom. Nous étions des Nobles à la grande époque glorieuse de mes ancêtres. C'était bien avant les grandes guerres et luttes de territoires forçant mes aïeux à s'exiler abandonnant leur fortune et leur pouvoir, trouvant refuge en France. Là, pour mes ancêtres, il leur a fallu reconstruire leur gloire d'antan. Et c'est seulement avec mes parents et la découverte d'une nouvelle terre d'accueil que tout ceci pu redevenir réalité et non plus qu'un rêve.

Mon père était un homme bon, un orateur de première classe et la beauté de ma mère, une femme oh combien magnifique, ont rendu possible notre insertion dans le milieu aristocratique. Comme le poisson pilote nageant de concert avec le grand requin blanc, mon père a pu gravité dans les sphères mondaines via ses relations. Au départ, tout ceci était très dur, nos maigres deniers allant dans les apparences avant de remplir nos assiettes. Dieu merci, cette période de vache maigre, je ne l'ai point connu, mais, même si j'ai grandi loin du besoin sans être extrêmement riche, mes parents m'ont inculqué de bonnes valeurs... Et qu'un dur labeur finit par payer si nous en avons la patience. C'est en 1733 alors que Jean Baptiste Le Moyne de Bienville reprenait son rôle de gouverneur de la Louisiane que ma famille retrouve ses lettres de noblesse. En effet, mon père homme sage et avisé est alors son conseiller personnel nous mettant à l'abri du besoin définitivement. A cette époque, j'avais alors 15 ans, l'âge de l'insouciance. Fille de bonne famille j'ai eu droit à une bonne éducation, la danse, le violon et la lecture. Peu à peu, avec l'âge et ayant hérité de la beauté et la grâce de ma mère, j'écumais les soirées mondaines, volant d'un amour à un autre telle une abeille butineuse. Très vite, devenue libertine je me suis perdue dans les maisons closes, à la recherche de tendresse, de plaisir et d'opium. Jusqu'à ce jour, du 14 février 1746 où ma Vie à basculée.

Bon, ça, c'est MOT pour MOT le début de ta fiche, et je t'avais demandé de changer.
On ne demande pas une vie humaine très précise, mais au moins quelques mots

Par contre, à l'inverse, on préfère une histoire vampirique plus précise, surtout quand ça implique des postes et des nominations particulière
Tu as quand même plus de 250 ans, et on ne sait presque rien des péripéties que ton personnage à traverser dans le monde des ténébres pour devenir ce qu'elle est
On n'a qu'un résultat des faits, un peu lancé comme ça.

Donc voilà, pour l'instant, on va s'arrêter là, je voudrais que tu changes cela, car pour moi, la fiche n'est pas validable ainsi. on ne peut pas tester ta manière d'écriture ainsi, car la fiche est une manière d'évaluer cela.
Si tu as des questions n'hésite pas à me les poser.
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptySam 28 Déc - 21:03

Merci tout d'abord de m'avoir écouté.

Pour le physique, je modifie maintenant.
Pour la partie historique / intro ... Comme vu avec toi, je vais attendre.
Pour développer et compléter l'histoire de mes 200 ans comme vampire, je vais le faire car, je comprend l'importance de cette période. Je préviendrais quand cela sera terminé ; cela risque d'être un roman et de me prendre un peu de temps pardon d'avance.

Pour ce qui est des piercings et du tatouage, j'ai pris bonne note. J'ai déjà changé dans le physique, pour le tatouage, j'ajouterais une explication au niveau de l'histoire.

Cordialement,
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptySam 28 Déc - 21:25

Tu n'es pas obligée de faire des pages et des pages. Mais que ça soit exhaustif (oui très logique ce que je dis). Je suis de ceux qui écrivent des pavés mais pour les admin c'est parfois un problème. Donc ne te pousse pas à nous pondre un Mobby Dick, raconte nous juste ce qu'elle a fait pendant 200 ans pour devenir inquisitrice Astor Very Happy
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyLun 30 Déc - 9:35

Merci pour les conseils Charon Razz
Après, je me connais, j'essayerais de faire une fiche intéressante mais, promettre de ne pas faire un roman... Oups pardon ^^

Voilà, encore merci pour votre compréhension et encore pardon pour les tracas... Sad
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyVen 10 Jan - 10:58

Pardon pour le double post... Juste...

*La voix tremblante et peu sûre* "-Fiche finie..." (worry)
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyVen 10 Jan - 20:16

J'ai lu et relu.
Voilà le terrible jugement.
A mon avis, c'est suffisant. Tu nous présentes l'évolution vampirique de Zillah à travers des enquêtes, c'est intéressant. Tu ne détailles pas vraiment ce qu'elle pense du Sabbat (peut-être n'a-t-elle jamais eu affaires aux sabbatiques) ou des autres clans (plus embêtant à mon avis) cependant. J'aurais bien aimé en apprendre plus sur Thomas Bond et ses rapports avec les Caïnites mais bon il faut parfois garder de la surprise pour le Jeu Smile

Donc hormis quelques fautes de frappes et de syntaxe (répétition de "mes pères" = mes pairs, si j'ai bien compris ce que tu voulais dire, répétition un peu trop récurrente à mon humble avis mais bon ça passe) ; je pense, une fois les quelques détails réglés, pouvoir te donner un premier Avis positif.
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyVen 10 Jan - 21:01

Correction de mes pairs faite.
Par contre, je sais pour la répétion, pas très élégante, je sais, mais c'était pour montrer son dévouement presque aveugle pour les représentants de son Clan en fait :$


Merci Charon Smile

Edit, petite note rajoutée sur Thomas le médecin légiste.
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyVen 10 Jan - 22:57

Errare humanum est, persevare diabolicum

Etant épuisé et peu concentré, j'ai fait une grave erreur de jugement. Je n'ai en effet lu que ce que je croyais etre la suite de ton histoire (partie que je valide en effet) mais je n'avais pas vu ta vie humaine et le manque flagrant de détail sur ta personnalité (que je t'avais déjà demandé d'étoffer)...

Je m'excuse encore pour ce faux espoir. Je retire mon avis et attends les modifications que je t'ai fait suivre par MP.
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyJeu 16 Jan - 13:14

Hello,

J'ai apporté quelques modifications à ma fiche, sur le mental du perso et son histoire humaine.
Je ne vais pas dire fini, juste bah, si vous pouvez lire et me donner vos impressions afin que je puisse corriger ce qui ne va pas.

Merci.
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyDim 19 Jan - 16:04

Waw Very Happy
Bienvenue !
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyLun 20 Jan - 12:06

Yop ^^
Je n'ai pas encore pris le temps de lire ta fiche en détail, de plus je préfère attendre que Charon se prononce, mais je voudrais juste signaler que Jack l'éventreur est un perso du BG officiel, un Malkavian : voir ici. Ça pourrait t'amener à des changements dans ton histo Wink
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyLun 20 Jan - 12:50

Juste rapido a propos de Jack, elle ne détaille rien de particulier et laisse les Astors s'occuper de l'affaire en elle même. Elle ne parle que du prélude de l'enquête ce qui lui sert à souhaiter en apprendre plus sur cette faction secrète. 
A mon avis, la partie sur Jack est satisfaisante Smile
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyLun 20 Jan - 13:17

hello Nod, je vais voir ton lien ayant été mise au courant par Aurélio de la fiche de Jack. Je vais lire, et voir si j'arrive à faire un lien avec la dite fiche ou pas, sinon , je changerais soit le lieu (pays) ou l'époque.

Après, comme le dit charon, j'étais volontairement pas rentrée dans les détails de cette histoire pour l'arrestation , Rien ne dit que tous ces crîmes sont du dit Jack. Enfin, je vais lire le lien merci encore, je le cherchais justement.

Edit :

Après lecture du lien, je ne pense pas être hors sujet? Elle est peu détaillée cette fiche. Mais je peux modifier sinon. Juste je peux croire -dans mon histoire vampirique- que c'est Jack à tord (du coup, j'aurais juste à rajouter quelques mots dans ce sens) . Ces crimes (ceux de mon histoire vampirique) ne lui étant pas imputés dans le lien linké.
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyMar 21 Jan - 9:13

Un physique suffisant selon moi, une mentalité étoffée avec la prise en compte de mes demandes et une histoire humaine modifiée font que ma décision est réitérée mais cette fois-ci en pleine connaissance de cause, je t'accorde un premier avis positif. 
Tu as su prendre en compte les attentes du staff, faire des concessions sur ce pourquoi tu te battais bec et ongles à l'origine, et de fait tu m'as convaincu de ta bonne foi.
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyMar 21 Jan - 10:01

Je m’arrête simplement a la vie humaine pour ma part, changements qui me conviennent davantage. Seulement quelques points me chiffonnent.

Tout d"abord cela a déjà été dit, même si ce sont quelques lignes on ne copie colle du wikipedia. Rien que le mot "interlope" fait vraiment tache dans ce récit.

Ensuite mon seul soucis réside dans la raison pour laquelle un tremere aurait étreint ton personnage. Plus que les autres clans, les Tremeres sont très sélectifs. Et la j'imagine le tremere venant de tuer l'abomination et qui rencontre ton personnage (assez folle pour s'aventurer de nuit vers la tanière du tueur). Bref au pire le tremere se dira qu'il a gagné un casse croute après avoir réussi sa mission, au mieux il rentrera à la maison sans te toucher. Il faut donc revoir se passage.

Enfin, un point qui m'intrigue. Tu parles de 7 présences imposantes à ton réveil, tu ne fais tout de même pas référence des 7 anciens tremeres tout de même. Eux sont a Vienne et rarement au complet, et ils ont certainement mieux à faire que de veiller une toute nouvelle née. Aussi j'aimerais que tu dises quelques mots sur le grand inconnu de ta fiche, à savoir ton sire. Ce dernier est très important, il sera ton premier instructeur et guide. Quelques mots ne feraient pas de mal à mon sens.
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyMar 21 Jan - 11:09

Partie du copier/coller modifiée


Angra Mainyu a écrit:


Enfin, un point qui m'intrigue. Tu parles de 7 présences imposantes à ton réveil, tu ne fais tout de même pas référence des 7 anciens tremeres tout de même. Eux sont a Vienne et rarement au complet, et ils ont certainement mieux à faire que de veiller une toute nouvelle née. Aussi j'aimerais que tu dises quelques mots sur le grand inconnu de ta fiche, à savoir ton sire. Ce dernier est très important, il sera ton premier instructeur et guide. Quelques mots ne feraient pas de mal à mon sens.

Pour les 7 présences, j'ai peut être mal compris quelque chose ou peut être pas assez expliqué :

Dans les Litanies de Sang,

http://bindusara.free.fr/web/vampires-clans-tremere.php

Selon leur Loi, tout Tremere doit boire le sang des 7 plus anciens du clan (le Conseil Interieur des Sept) à sa création, et de ce fait, il est devient lié au reste du clan au premier niveau (du point de vue du Lien de Sang).

D'après ce que j'en comprend, un Tremere boit le sang de 7 autres anciens du clan ( bon, là, il parle du Conseil Intérieur des Sept ) je suis d'accord, que voir les 7 anciens de Vienne est un peu Gros. Ce que j'en comprend juste, c'est que pour être Tremere, il faut boire le Sang de 7 autres vampires anciens au Clan ; des vampires lambda du coup mais assez anciens pour avoir le droit de créer un vampire non? Et donc, du coup, j'ai 7 sires et non 1 .

Pour cela que je suis restée vague sur les 7 peut être trop vague d'ailleurs, mais j'avoue que ce point m'est flou.

Pour le reste,

La raison, il est vrai qu'il me fut remonté que, la mémoire photographique n'est pas une raison assez importante pour rejoindre le clan, disont, que je me suis un peu basée sur cette aide de fiche :

- La sous estimée : dans le book Vampire la Mascarade.

Mais, je vais essayer de développer cela aussi, mais avant de modifier, apporter des précisions (sur les 7, la raison de leur choix de me vampiriser), j'aimerais savoir si je pars dans la bonne direction en ayant déjà bien compris.
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MessageSujet: Re: Zillah Vi Britania   Zillah Vi Britania EmptyMar 21 Jan - 12:09

Euh... Non, t'as pas compris.^^ Tu as un sire et après lors d'un rituel tu as bu le sang des anciens. Si les anciens devaient se déplacer pour chaque tremere nouveaux nés, les pauvres n'auraient plus de non-vie. Le fait de boire du sang d'un ancien n'implique pas leur présence, de plus Tremere est en torpeur à l'époque je le vois mal se déplacer. Seule Meerlinda basée à New York pourrait faire le voyage et encore... Tu n'as pas sept sire, tu as des liens de sang. Je te prie de te documenter au maximum sur l'univers de vampire car que tu puisses confondre ce fait, est un peu inquiétant.

Ensuite concernant ta mémoire, ça n'est pas écrit sur ton front. Même avec télépathie un tremere ne saurait le détecter. Généralement les tremeres préfèrent étreindre des gens instruits, des gens avec un fort potentiel d'apprentissage.

Edit : Après recherche, je me suis documentée sur la sous estimée. Si a la base tu veux partir avec ce genre d'handicap à savoir être mordue jusque parce que la fille est jolie et parce qu'elle ferait un joli appât. Tu te rajoutes à mon avis une difficulté, car dès le départ tu seras mis à l’écart et peu instruite par le clan. Cela reste néanmoins jouable mais va falloir forcer sur l'explication de ta montée en puissance. J'ajouterais que tu joues le rôle d'un Astor, poste très important au sein du clan. D'une réputation de belle fille sans cervelle, va falloir expliquer cette ascension fulgurante.^^
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